Agence de Développement de l'Economie et de l'Environnement de la Province de Hainaut

Une start-up néerlandaise a inventé le panneau solaire qui s’installe en 5 minutes. Il suffit de le poser et de le brancher sur une prise électrique pour obtenir rapidement de l’électricité.

Ce panneau solaire se branche sur n’importe quelle prise de courant. Il est automatiquement reconnu par votre installation électriqueet fournit immédiatement de l’énergie. Le plus petit modèle mesure environ 2 mètres carré peut ainsi réduire de 10 à 15% votre facture d’électricité.

C’est Supersola, une start-up néerlandaise qui est à l’origine de ce produit. Elle souhaite ainsi démocratiser et simplifier la production d’énergie solaire pour les particuliers. On peut brancher jusqu’à quinze panneaux les uns aux autres en les emboîtant comme des Légos et surtout vous n’avez pas besoin de les mettre sur votre toit…

Source : Un panneau solaire qui s’installe et fournit de l’électricité en 5 minutes

Depuis six mois, une coopérative confectionne des plats préparés “100% bio” du côté de Liège. Cette initiative est le fruit de la rencontre entre un ancien chef étoile et sept producteurs liégeois. Nos journalistes Fanny Dehaye et Marc Evrard les ont rencontrés.

Aujourd’hui j’ai fait un potage aux carottes blanches, un potage au céleri, un potage aux tomates, et un potage avec du potimarron“, annonce fièrement Philippe Renard quand notre équipe l’a rencontré. Des potages qui se retrouveront ce lundi dans les cantines scolaires.

Ces plats préparés, Philippe les doit en partie à Laurent Streel, un des sept producteurs de la région qui se sont engagés dans la coopérative. Aujourd’hui, il apporte oignons et carottes. “On fera un potage aux carottes jaunes, ça va être super, impeccable“, réagit Philippe en voyant les caisses de légumes. “On a commencé avec l’idée de développer des potages bio avec des légumes déformés. Ensuite on a voulu développer un peu plus la cinquième gamme“, indique Laurent, producteur et membre de la coopérative ADM Bio.

Dans un petit sondage avec les étudiants, on s’est rendu compte que même dans le bio, les gens veulent que les produits soient pratiquement terminés. Donc c’est pratique pour tout le monde. On rentre du boulot, on ouvre son petit sac, on a à manger, on a des légumes mais on peut avoir des féculents, on peut avoir tout ce qu’on veut“, explique Philippe.

Source : Manger bio, belge, mais sans devoir préparer son repas: c’est possible avec cette nouvelle coopérative liégeoise – RTL Info

La définition européenne de la PME, c’est celle existe depuis 2003 et qui est maintenant utilisée dans la plupart des mécanismes de support public en Wallonie, en Belgique et en Europe pour déterminer si une entreprise est éligible ou non à certaines aides.

Cette définition établit notamment les seuils entre micro, petites et moyennes entreprises en termes d’emploi et de données financières  (chiffre d’affaires, total bilan).  Elle précise également tenir compte des liens (en termes d’actionnariat) avec d’autres entreprises.

Vous voulez savoir si vous êtes une PME.  C’est simple, faites le test: http://testpme.wallonie.be/.

Après 15 ans, la Commission européenne cherche à savoir si sa définition tient toujours la route … et la fera évoluer si elle se rend compte que ce n’est plus le cas.

Des avis de PME sont donc recherchés.

Comment faire?  Complétez le questionnaire suivant  avant le 12 mars prochain en y indiquant pour terminer la référence de votre partenaire EEN wallon:

Brabant wallon – CapInnove – BE00116

Hainaut – Hainaut Développement – BE00009

Liège – SPI – BE00492

Luxembourg – CCI Luxembourg belge – BE00177

Namur – BEP – BE00087

Lien vers le questionnaire:  https://ec.europa.eu/eusurvey/runner/targeted_sme_definition 

Selon une étude de l’Agence internationale des énergies renouvelables, l’éolien et le solaire deviendront prochainement aussi compétitifs que le gaz et le charbon.

Source : Les énergies vertes bientôt moins chères que les énergies fossiles – Le Point

Le défi que représente pour l’humanité l’effondrement de la biodiversité est à traiter avec le même niveau d’importance que le défi climatique, explique un collectif d’experts dans une tribune au « Monde ».

Les chercheurs et les acteurs qui, comme nous, travaillent sur la biodiversité saluent l’initiative prise par le président de la République de relancer, à travers la réunion One Planet Summit, la dynamique portée par l’accord de Paris. Au moment où il apparaît clairement que l’objectif de la limite des 1,5 °C ne pourra probablement pas être atteint, mobiliser les ­acteurs économiques pour réduire les pressions humaines responsables du changement climatique et contribuer aux processus d’adaptation constituait un impératif. Les engagements pris par les donateurs, les Etats ou des organismes comme la Banque mondiale vont dans un sens positif, et il est important que la France ait joué ici un rôle majeur.

A l’heure où de grands acteurs économiques commencent à se soucier fortement de l’impact de leurs activités sur la biodiversité et alors que le récent appel des 15 000 scientifiques du monde ­entier a rappelé que l’impact croissant des activités humaines compromet notre avenir, on aurait pu souhaiter que ce sommet traite à la fois de la lutte contre le réchauffement climatique et de la lutte contre l’érosion de la biodiversité.

« La dégradation des écosystèmes est notamment à l’origine de la diffusion de certaines maladies à l’homme »A l’image d’une étude qui montre que plus de 75 % de la biomasse des insectes volants a disparu au sein d’espaces pourtant protégés en Allemagne, en vingt-sept ans, les travaux scientifiques récents soulignent tous la gravité des ­atteintes à la biodiversité. Ils montrent également…

Source : « La lutte contre l’érosion de la biodiversité doit être une priorité internationale »

Ce 11 décembre, la Coopérative Bio de la Botte a vu le jour. Après plusieurs mois de réflexions, 18 producteurs bio de la région de Chimay se sont associés pour créer ensemble une Coopérative à responsabilité limitée et finalité sociale.

En se serrant les coudes… Voilà comment une petite vingtaine d’agriculteurs a pris le pari de développer et de soutenir le marché des céréales bio régionales, ainsi que d’autres cultures comme le maïs, le quinoa ou le chanvre.

La coopérative bio de la botte qui vient de voir le jour poursuit quatre objectifs, à savoir :

  • permettre aux producteurs céréaliers de la région de la botte de venir sécher, trier et stocker leurs céréales pour ensuite les vendre de manière groupée en alimentation humaine et animale ;
  • développer des ateliers de transformation pour céréales, ainsi que pour d’autres filières bio (exemple : découpage à façon…) ;
  • mettre à disposition des bâtiments pour développer l’entrepreneuriat bio local ;
  • proposer aux consommateurs un lieu d’achats rassemblant l’offre bio régionale.

Que ce soit simplement pour soutenir les agriculteurs bio, pour s’investir plus activement dans le développement d’une coopérative locale ou pour profiter des avantages qu’une telle structure peut proposer, le citoyen est invité à investir dans une ou plusieurs parts catégorie B d’une valeur de 50 euros, qui donnera à la partie prenante un statut de coopérateur sympathisant.

Le projet, soutenu par Biowallonie et par le ministre wallon de l’Agriculture, fait partie de la sélection de 18 projets de halls relais. Il pourra dès lors bénéficier d’une subvention de 396.000 € pour sa création. ….

Source : Une coopérative bio dans la botte du Hainaut – SillonBelge.be

Un logiciel mis au point par la SPI, l’agence de développement économique en province de Liège, a permis d’identifier près de 104.000 sociétés en Wallonie, dont 23.000 ont un impact sur l’environnement socio-économique, rapporte L’Echo mercredi.

D’après Leodica, ce logiciel mis au point par la SPI et le Pr Didier Van Caillie (ULg), la Wallonie compte près de 104.000 entreprises ayant au moins 1.000 euros d’actifs et ayant publié leurs comptes à la BNB. Parmi elles, on dénombre près de 23.000 entreprises dites “structurantes”, soit le quart du total. Une entreprise structurante a une valeur contributive au niveau local et un impact sur l’emploi direct et indirect. L’analyse des données indique donc qu’une entreprise sur quatre développe le tissu économique wallon.

La province du Hainaut abrite 32% des entreprises structurantes et, Liège 30,7%. Le Brabant wallon en accueille 17,5% et Namur, 13,8%. Pour l’emploi, le Hainaut arrive en tête avec 140.002 travailleurs équivalents temps plein (ETP), suivi de Liège (129.714 travailleurs).

Source : Une société sur quatre développe la Wallonie – La Libre

Pas de doute, l’agriculture bio est moins productive que le conventionnel mais elle a de meilleures performances économiques, estime l’INSEE dans une nouvelle étude. Grâce à des ventes en circuit court, l’absence notable d’intrants chimiques et des prix de vente plus élevés, les agriculteurs bio s’en sortent mieux.

C’est une étude d’une ampleur inédite que vient de publier l’INSEE (Institut national de la statistique et des études économiques) sur la performance économique de l’agriculture biologique comparée à celle du conventionnel. L’Institut a étudié la rentabilité de 1 800 fermes bio et de 28 000 exploitations conventionnelles. Trois secteurs sont représentés : le maraîchage, la viticulture et la production laitière. Selon ces travaux, l’agriculture bio est plus rentable que le conventionnel.

Davantage de salariés mais des économies sur les intrants chimiques

Du côté des viticulteurs bio, le chiffre d’affaires moyen est de 17 000 euros par hectare, soit… 46 % de plus qu’en conventionnel ! Une différence d’autant plus surprenante que les frais de personnel y sont une fois et demi supérieur. “Près de 0,14 équivalent temps plein salarié par hectare en bio contre 0,08 en conventionnel”, détaille l’INSEE. Cela s’explique, d’une part, par des prix de vente supérieurs de 10 % à 40 % selon les produits. D’autre part, la différence est due au nombre d’exploitations bio en zone AOP (Appellation d’origine protégée). Au final, l’excédent brut d’exploitation (EBE) est de “6 400 euros à l’hectare contre 3 700 euros pour les viticulteurs conventionnels”.

Pour le secteur du maraîchage, le chiffre d’affaires des producteurs de légumes bio est inférieur à celui des producteurs conventionnels (10 900 euros contre 12 500 à l’hectare). Mais “les maraîchers bio utilisent moins d’intrants de synthèse (engrais, amendements, produits de protection des plantes…) et économisent ainsi sur les consommations intermédiaires”, note l’institut. L’EBE est donc de 3 300 euros en moyenne pour les bio contre 2 500 pour les conventionnels.

De la vente en circuit court permet de “capter davantage de la valeur finale du produit”.

Pour la production laitière, ce…

Source : http://www.novethic.fr/actualite/environnement/agriculture/isr-rse/l-agriculture-bio-est-plus-rentable-que-le-conventionnel-145229.html

Une pâture de 4 ha en plein village de Marchipont (Honnelles). C’est là que paissent les chevaux dont s’occupe Lauriane Carlier et Pierre Lion. Elle gère une pension pour chevaux et souhaitait leur permettre d’évoluer dans un milieu le plus proche…

Une pâture de 4 ha en plein village de Marchipont (Honnelles). C’est là que paissent les chevaux dont s’occupe Lauriane Carlier et Pierre Lion. Elle gère une pension pour chevaux et souhaitait leur permettre d’évoluer dans un milieu le plus proche possible de leur habitat naturel “Le cheval ne se nourrit pas que d’herbe, mais aussi de racines, de baies, de feuillage. Il a aussi besoin de zones naturelles où il peut se mettre à l’abri du soleil et des intempéries“. La jeune femme a fait appel au Parc naturel des Hauts Pays et à Hainaut Développement, pour recréer cet environnement, finalement assez proche du paysage bocager traditionnel de la région. “Autrefois les terres étaient plus morcelées, avec des haies qui délimitaient les propriétés. Cela a progressivement disparu avec l’apparition d’une agriculture plus intensive. Ce qui fait qu’on a beaucoup perdu en termes de biodiversité, de protection. Aujourd’hui nous essayons de favoriser la réintroduction de ces éléments“, explique Romain Jenard, chargé de mission en agroforesterie au sein d’Hainaut Développement.

Réinstaurer la confiance envers la nature

Cette semaine toute une équipe de planteurs était donc à pied d’œuvre pour mettre en place des haies, des vergers, des alignements d’arbres. Ce sont en tout un millier de plants de diverses espèces indigènes qui ont été répartis sur le site. Un futur petit paradis pour les chevaux, mais aussi une belle vitrine de ce qu’est l’agroforesterie pour le Parc naturel. Car tout un travail de sensibilisation est en cours auprès des agriculteurs locaux. “On ne leur demande pas de passer du jour au lendemain à la plantation de haies et de vergers, mais on veut leur montrer que la diversification est bénéfique pour leurs sols, pour la biodiversité et même en matière de production, car les haies et les vergers protègent les cultures. Il faut réinstaurer chez eux cette confiance envers la nature“, insiste Sébastien Delfar, du Parc naturel.

Une contrainte supplémentaire pour les agriculteurs?

Les monocultures intensives sont aujourd’hui pointées du doigt lors de grosses intempéries. Les arbres et les haies, au contraire, retiennent les terres et empêchent les eaux de ruisseler C’est un des arguments mis en avant par les partenaires. Tout comme les revenus générés par ces plantations: “On propose des espèces choisies en fonction de la qualité de leur bois, de leur potentiel de production“, ajoute Romain Jenard. Certains agriculteurs s’imaginent aussi qu’il s’agit d’une contrainte supplémentaire. Sébastien Delfar prend l’exemple d’un verger planté dans une prairie. “On peut planter avec suffisamment de distance pour permettre aux machines de passer.Il y a très peu d’entretien à faire. Juste une taille de formation quand les arbres sont jeunes. Mais une fois qu’ils sont partis, ce seront des récoltes, un abri pour son bétail, et cela fixera son sol“. De son côté, Lauriane Carlier s’attend effectivement à devoir faire un peu de taille d’ici quelques années, “mais les chevaux vont nous aider en mangeant les branches qui dépassent“….

Source : http://www.vivreici.be/article/detail_hauts-pays-les-arbres-et-les-haies-remis-tout-doucement-au-gout-du-jour?id=150005

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