Agence de Développement de l'Economie et de l'Environnement de la Province de Hainaut

Vous voulez contribuer à l'évaluation de la législation européenne sur les produits phytopharmaceutiques et les résidus de pesticides ?

Répondez à l’enquête proposée par la Commission européenne avant le 10 janvier 2018! 

>>>  https://www.wallonieeurope.be/formulaire-pesticides-2017/

Relative à un sujet brûlant s’il en est au regard de l’actualité, cette enquête vise à recueillir les avis des micro-, petites et moyennes entreprises (PME) sur la législation de l’UE concernant les pesticides [règlement (CE) nº 1107/2009] et les résidus de pesticides [règlement (CE) nº 396/2005]. En particulier, elle vise à recueillir des informations sur la manière dont les règles existantes régissant l’approbation des substances actives, l’autorisation des pesticides et la fixation de limites maximales de résidus de pesticides sont appliquées. Les résultats de cette consultation sont essentiels pour déterminer l’impact de la réglementation existante sur les PME et seront utilisés pour évaluer dans quelle mesure les règles en vigueur sont adaptées à leur finalité et pour élaborer une réponse stratégique appropriée comportant d’éventuelles modifications de la réglementation.

Elle s’adresse en priorité aux types suivants de PME:

  • fabricant de produits phytopharmaceutiques;
  • exploitation agricole;
  • transformateur/fabricant de produits destinés à l’alimentation animale;
  • transformateur/fabricant de produits destinés à l’alimentation humaine;
  • négociant en gros de produits destinés à l’alimentation animale ou humaine (y compris pour l’importation/exportation);
  • détaillant (spécialisé, et non spécialisé actif principalement dans le domaine des produits destinés à l’alimentation animale ou humaine);
  • transport/stockage/conditionnement (spécialisé, et non spécialisé actif principalement dans le domaine des produits destinés à l’alimentation animale ou humaine).

 

Trouvez ici plus d’informations sur le processus mis en oeuvre par la Commission européenne.

 

Plus de 700 visiteurs ont participé à cet événement automnal, que ce soit pour venir chercher un plant d’arbre, déguster des produits locaux, assister aux séances d’informations, en savoir plus sur la biodiversité (fabrication d’hôtels à insectes), découvrir diverses variétés de bonsaïs,… Il y en avait pour tous les goûts! Une belle occasion pour passer un moment agréable en famille ou entre amis, avec en prime le soleil tout au long de la journée.
Rendez-vous l’année prochaine, le dernier dimanche de novembre!

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La révision du règlement européen sur l’agriculture biologique est en discussion depuis près de trois ans. Une nouvelle réunion du comité spécial agriculture s’est tenue lundi.

Une fois encore, le sujet de l’agriculture biologique était au menu bruxellois. Lundi 20  novembre, le comité spécial agriculture du Conseil de l’Union européenne s’est penché sur le futur règlement, en négociation depuis près de trois ans. Une durée qui prouve la difficulté de tracer un chemin consensuel pour l’avenir de cette agriculture respectueuse de l’environnement.

Après moult tractations entre la Commission, le Conseil et le Parlement, le 12 juin, les ministres de l’agriculture s’étaient réunis à Bruxelles pour statuer. Un sommet qualifié alors de crucial. Mais ils avaient, une fois encore, échoué à convenir d’une décision.

Finalement le 28 juin, la présidence maltaise et le Parlement européen sont parvenus à un accord préliminaire. Mais le 17 juillet, les ministres de l’agriculture ne l’ont pas adopté, l’Allemagne se maintenant dans une position d’abstention. Finalement, lundi, le comité spécial agriculture du Conseil de l’Union européenne, a approuvé la copie adopée fin juin.

En juin, les acteurs de l’agriculture bio en France s’étaient mobilisés pour faire entendre leur voix. Un front commun formé par les chambres d’agriculture, la coopération représentée par Coop de France, les agriculteurs regroupés au sein de la Fédération nationale de l’agriculture biologique (FNAB), l’association des organismes certificateurs Cebio et le syndicat des entreprises bio Synabio….

Source : http://www.lemonde.fr/economie/article/2017/11/20/l-avenir-de-l-agriculture-biologique-se-joue-a-bruxelles_5217372_3234.html

La réhabilitation de la cité du centenaire est à nouveau primée à Charleroi, et à l’international cette fois. Après la province du Hainaut avec “le prix du développement durable” et un prix national “Green Award”, ce mercredi 16 novembre, le projet d’éco-quartier de la cité du centenaire a remporté le Grand Prix international du quartier durable à Bonn. Il était en compétition avec 10 autres quartiers dans le monde.

ans la cité sociale du centenaire à Montignies-Sur-Sambre, les habitants n’ont rien à redire sur leur logement. Pour 350 euros par mois, ils peuvent profiter d’un logement social passif, l’un des premiers au monde.  Le “passif” n’a pas besoin d’un dispositif de chauffage important. Le soleil, l’isolation et les gains intérieurs suffisent pour maintenir le bâtiment à une température agréable.

Une caractéristique que confirme Marcel Barattucci, l’ingénieur et architecte du projet : “Dans un appartement ou une maison, on a une chaudière de 30 kilowatts. Avec une chaudière de 60 kilowatts, les 60 logements de la cité du centenaire sont chauffés “. Cette performance permet de faire une économie d’à peu près 1000 euros par an par foyer.

Un habitat passif pour des logements sociaux

Un projet réfléchi pour le confort du locataire. “Ça n’a pas été uniquement une approche de travaux purement de rénovation, nous avons mis d’abord l’humain au centre de nos préoccupations” nous confie le directeur de St.ar.tech, Marcel Barattucci. …

Suite et source : https://www.rtbf.be/info/regions/detail_cop23-un-prix-international-pour-une-cite-durable-a-charleroi?id=9764578

Le nouveau musée du Louvre Abou Dhabi est un peu belge ! Les carrières du Hainaut ont en effet fourni la pierre bleue servant à fabriquer les socles des œuvres et une partie du dallage.

Source : Le Louvre Abou Dhabi un peu belge grâce à la pierre bleue du Hainaut

Selon une étude scientifique, le scénario est possible à condition de réduire le gaspillage alimentaire et de limiter la consommation de protéines animales.

Les bénéfices du bio pour la santé et pour l’environnement sont aujourd’hui prouvés. Mais pour ses contempteurs, ce type de production ne pourrait pas être généralisé, faute de rendements suffisants pour subvenir aux besoins d’une planète à la démographie galopante. Une idée répandue que réfutent des chercheurs européens dans une nouvelle étude publiée par la revue Nature Communications, mardi 14 novembre.

Dans ce travail, le plus abouti sur la question, ils affirment qu’il est possible de nourrir plus de 9 milliards d’êtres humains en 2050 avec 100 % d’agriculture biologique, à deux conditions : réduire le gaspillage alimentaire et limiter la consommation de produits d’origine animale. Et ce, sans hausse de la superficie de terres agricoles et avec des émissions de gaz à effet de serre réduites. Un défi de taille, alors que le bio ne représente que 1 % de la surface agricole utile dans le monde – 6 % en France.

En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/planete/article/2017/11/14/une-agriculture-100-biologique-pourrait-nourrir-la-planete-en-2050_5214822_3244.html#aE0bFFHF4Trl8LAh.99

Source : Une agriculture 100 % biologique pourrait nourrir la planète en 2050

Avec la nouvelle réglementation entrée en vigueur le 30 juin dernier, les marchés publics sont amenés à se dématérialiser à plus ou moins brève échéance.
En pratique, à quelques rares exceptions, l’ensemble des marchés seront, à l’horizon 2020, réalisés via des moyens électroniques. Pour ce faire, le planning est établi comme suit:

  • 30/06/2017: marchés passés par les centrales d’achat;
  • 18/10/2018: marchés dont la valeur estimée est égale ou supérieure au seuil fixé pour la publicité européenne (à savoir 209 000 € HTVA pour les fournitures et services, et 5 225 000 € HTVA pour les travaux);
  • 01/01/2020: marchés dont la valeur estimée est inférieure au seuil fixé pour la publicité européenne.

Concrètement, la dématérialisation implique que les communications et les échanges d’informations entre l’adjudicateur et les opérateurs économiques,
doivent être réalisés à tous stades de la procédure par des moyens électroniques.

Dans ce cadre, la plateforme e-Procurement, qui informatise les processus et les échanges en matière de marchés publics, est incontournable.

Potentiellement, l’ensemble des échanges nécessaires à la passation d’un marché public peuvent être réalisés via cette plateforme.

Elle est composée de 5 applications, chacune d’elle se rapporte à une phase spécifique de la procédure:

  • e-Notification: pour la publication,
  • e-Tendering: pour la soumission des offres/demandes de participation,
  • e-Awarding: pour l’évaluation et l’attribution,
  • e-Catalogue: pour l’utilisation de catalogues,
  • e-Auction: pour l’organisation d’une enchère électronique inversée.

Les centrales de marché doivent déjà recourir aux moyens électroniques. D’autre part, l’ensemble des marchés devant faire l’objet d’une publicité sont publiés en ligne.
Par conséquent, il est vivement recommandé à toute entreprise intéressée à travailler avec le secteur public de se former, dès à présent, aux nouvelles méthodes et de disposer d’un accès à e-Procurement qui permet, via les applications e-Notification et e-Tendering, d’obtenir une information sur les marchés en cours et, le cas échéant, d’introduire les soumissions.

Plus précisément e-Notification permet:

  • de faire des recherches ponctuelles sur les marchés susceptibles d’intéresser votre entreprise;
  • de créer un ou plusieurs profil(s) de recherche qui permet(tent) de suivre les marchés publics et d’être averti automatiquement en fonction de critères préalablement définis;
  • d’obtenir les documents du marché.

100 % des marchés publics devant faire l’objet d’une publicité y sont repris via le BDA (Bulletins des Adjudications). Avec les nouveaux seuils applicables
aux marchés publics, seuls les marchés dont le montant est égal ou supérieur à 135 000 € HTVA doivent faire l’objet d’une publicité.

En outre, e-Notification permet également une recherche via le Free market qui permet aux pouvoirs adjudicateurs qui le souhaitent, de publier des marchés
qui se trouvent en deçà des seuils pour la publicité obligatoire.

Pour simplifier les recherches, il est conseillé de recourir aux codes CPV. Il s’agit d’une nomenclature propre aux marchés publics. Les codes sont composés
de 9 chiffres. Cette terminologie permet d’identifier clairement l’objet des marchés. Le pouvoir adjudicateur doit faire référence à cette nomenclature dans ses avis de marchés.

L’application e-Tendering permet, quant à elle, aux entreprises de déposer les offres ou les demandes de participations via les moyens électroniques et aux pouvoirs adjudicateurs de procéder à l’ouverture des offres.

Elle offre de nombreux avantages: réduction des coûts (économie de papier et de frais d’envoi), possibilité de signer l’offre en ligne, pas de risque de voir se
perdre les offres ou demandes de participation, possibilité de consulter le PV d’ouverture.

Notons qu’actuellement, le dépôt via e-Tendering n’est pas généralisé. Pour chaque marché, il convient de s’assurer des modalités de dépôt acceptées, autorisées ou imposées par le pouvoir adjudicateur.

Pour accompagner les entreprises dans leurs démarches, les services e-Procurement ont élaboré une série de manuels disponibles en téléchargement
sous le lien suivant: http://www.publicprocurement.be/fr/entreprises/manuels-check-lists

Ces manuels, pour entreprises, expliquent pas à pas, avec recours à des copies d’écran, les démarches à accomplir pour exploiter au mieux les fonctionnalités des différentes applications.

En pratique, seul un enregistrement est nécessaire pour accéder aux différentes applications. L’utilisation d’e-Procurement est entièrement gratuite.


Virginie BOURGOIS
Hainaut Développement
tél.: +32 65 342 615
virginie.bourgois@hainaut.be

Rejoignez-nous le 30 Novembre pour une soirée inspirante et décalée animée par des entrepreneurs français et belges qui présenteront leurs succès et leurs échecs dans leur croissance à l’international, avec notamment Omar Mohout !

Thinking about taking your company global?

Happy to present, the 30th of November, inspirational talks by Belgian and French entrepreneurs about international successes, failures, dos and don’ts when crossing borders.

Date: 30th of November 2017

Destination: Aquamuse Kuiperskaai 24 – Ghent

Program:

18:00 Live music & bites

18:30 Introduction by Omar Mohout, Entrepreneurship Fellow at Sirris

18:45 Your captains

  • Klingele Chocolade (award Leeuw van de Export) – Eline Blanchaert, Sales Director (B)
  • Lansweeper – Bart Maes, CEO (B)
  • Weba – Stefaan Couvreur, Marketing Director (B)
  • Espaciel – Alexi Herve, Founder (F)
  • Lightspeed – Jan Hollez, Director (B)
  • Silverfin – Joris Van Der Gucht, Co-CEO (B)
  • More to be announced soon!

20:45 Conclusions

21:00 Networking & dj

Fee: 25 euro*

* includes: inspiration, bites, drinks and new friends

source : https://www.eventbrite.nl/e/tickets-born-global-sea-the-world-go-international-4806693951

 

Supported by the Interreg France-Wallonia-Flanders project PROGRES:

 

Roadshow (4 dates)

L’AWEX vous invite à l’une des 4 étapes de son Roadshow

Vous êtes porteur de projet, étudiant-entrepreneur, start-up, PME avec peu ou pas d’expérience à l’international ?

L’export, vous y pensez mais vous n’avez pas encore franchi le pas ?

L’AWEX est là pour vous guider dans cette aventure !

Venez découvrir les étapes et enjeux d’un projet d’exportation, les services à votre disposition pour mettre toutes les chances de votre côté et surtout, laissez-vous inspirer par les témoignages d’entreprises qui ont franchi le cap avec succès.

Inscrivez-vous sans tarder à l’une des 4 sessions organisées près de chez vous : Liège (6/12), Namur (7/12), Tournai (11/12) et Charleroi (13/12).

 

Programme

Introduction : pourquoi exporter ?

  • Pascale Delcomminette, Administratrice générale de l’AWEX

Inscription dans la base de données AWEX via le Centre régional AWEX

  • Liège (6/12) : Marielle Germis
  • Namur (7/12) : Sarah Hautfenne
  • Tournai (11/12) : Pierre Libioulle
  • Charleroi (13/12) : Eric de Clercq

Développer un projet à l’exportation

  • Responsable CR
  • Stéphane Romans, premier attaché du Département des Incitants financiers
  • Liège (6/12) : Rodrigo Dos Santos (AEC à La Haye)
  • Namur (7/12) : Frédéric Biava (AEC au Grand-Duché de Luxembourg)
  • Tournai (11/12) : Isabella Profeta (AEC à Cologne)
  • Charleroi (13/12) : Rodrigo Dos Santos (AEC à la Haye)

Témoignages :

  • Liège (6/12) : Joseph Marra, Technical Business Development Officer GDTech – Alain Niessen, COO Widetech
  • Namur (7/12) : Gilles Bazelaire, CEO Dogstudio – Eric Poskin, Strategic and Corporate Director Vésale Pharma
  • Tournai (11/12) : Thierry Delvigne, Directeur Deltabeam – Sébastien Poliart, Fondateur Quplace
  • Charleroi (13/12) : Arnaud Meulemeester, International Business Dirty Monitor – Pierre Van Wetter, Chief Commercial Officer Sonaca Aircraft

Adapter sa communication à l’international

  • Stéphane Romans

Prospecter à l’étranger

  • Chantal De Bleu, Directeur général a.i. de l’AWEX
  • Stéphane Romans
  • Nicolas Ravenel, Coach Explort

Financer ses projets à l’exportation

  • Stéphane Romans

Questions-réponses

Conclusion par Mme Pascale Delcomminette

Cocktail dînatoire

Participation gratuite mais sur inscription obligatoire

Source : Roadshow (4 dates) – Comment vous lancer à l’international grâce à l’AWEX? Billets, mer le 6 déc. 2017, 16:00 | Eventbrite

Entreprises, professionnels de l’informatique, policiers, étudiants… Prés de 250 personnes se sont retrouvées au MICX, le centre des congrès de Mons, le lundi 6 novembre. Leur préoccupation commune : la cyber sécurité. L’idée de consacrer une journée à ce thème est venue du business club Synergie, son directeur, Franck Alland est architecte.

 

Son bureau a lui-même été victime d’une attaque il y a deux ans: “c’est ce qui nous a sensibilisés à ce problème, une société chinoise a pris possession de notre serveur, pendant des semaines, on ne s’est pas rendus compte de ce qui se passait. On a cru que notre matériel ne fonctionnait pas bien. On a peu perdu de données mais on a perdu beaucoup de temps…”.

Source : Cyber Security Day à Mons, la sécurité informatique des entreprises et de tous

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