Agence de Développement de l'Economie et de l'Environnement de la Province de Hainaut

Source : Quel avenir pour les jeunes agriculteurs? Nous sommes allés à leur rencontre

 

D’après les calculs de l’Institut royal météorologique (IRM), entre le 1er mai et le 1er août, 166 communes wallonnes ont été touchées par un phénomène de sécheresse exceptionnelle, a indiqué lundi le ministre wallon de l’agriculture, René Collin. Ce nombre devrait encore grossir à la fin du mois d’août. Des dédommagements sont espérés pour le début de l’année 2019 par le fonds des calamités agricoles. Les dégâts occasionnés par la sécheresse intense de ces dernières semaines touchent “tout le secteur agricole et l’ensemble des cultures”.

Le gouvernement a sollicité l’appui de la commission européenne pour toute une série de dispositions, comme le paiement des avances dans les deux piliers de la politique agricole commune (Pac), l’obtention d’assouplissements dans toutes les règles de verdissement et la possibilité de valoriser les couverts végétaux qui sont exigés. La décision de la Commission européenne n’est cependant pas attendue avant la fin du mois d’août, précise le ministre.

En Wallonie, René Collin a sollicité l’IRM afin de détermi….

Source : Au moins 166 communes wallonnes touchées par la sécheresse agricole – La Libre

 

La Brasserie Dupont, c’est une histoire de famille. Elle commence dans une ferme de 1759 au milieu des champs du Hainaut, dans le petit village de Tourpes (entre Mons et Tournai). Olivier Dedeycker, le gérant aujourd’hui, a repris le flambeau de son oncle il y a plus de 15 ans: “Notre famille a racheté cette ferme-brasserie il y a un siècle et depuis, ce sont des Dupont qui l’exploitent, je suis de la quatrième génération“.

Une obsession de la tradition

Une quatrième génération gardienne du savoir-faire familial. Olivier Dedeycker a à cœur de le transmettre aux plus jeunes collègues. Certains sont de la famille, “la cinquième génération est déjà là, j’ai des enfants, des neveux qui s’investissent, qui viennent travailler l’été comme jobiste” et d’autres sont des employés extérieurs, Benjamin Masson par exemple, récemment engagé comme brasseur…..

Source : Brasserie Dupont: à contre-courant de la nouvelle vague

Vous êtes un CEO, export manager, export assistant, logistics assistant, … d’une petite ou moyenne entreprise située en Province de Namur et vous souhaitez développer vos activités au niveau européen/international en y intégrant une bonne dose de compréhension interculturelle?

Participez à ce workshop de sensibilisation organisé par le BEP et Enterprise Europe Network à votre attention, le jeudi 13 septembre, de 9h à 13h30 au BEP.

Les clichés ou préjugés, les cadres de référence, peuvent engendrer de nombreux dysfonctionnements ou frustrations.  Venez apprendre à améliorer votre sensibilité interculturelle pour anticiper ou débloquer des situations complexes.  Venez comprendre les enjeux importants de cette dimension pour renforcer/développer/booster votre réseau de partenaires étrangers.

En quelques heures de théorie et d’exercices pratiques, une experte dans le domaine, Ljiljana Simic, spécialiste de la gestion interculturelle, vous apprendra toutes les bonnes pratiques d’une communication interculturelle efficace.

 

Pour en savoir plus/et ou vous inscrire

 

L’industrie alimentaire wallonne sort d’une excellente année 2017, avec des investissements, des exportations et un nombre de travailleurs occupés en hausse, a annoncé Fevia Wallonie, lundi à l’occasion de la Foire agricole de Libramont. Mais de nombreuses entreprises peinent à trouver des travailleurs qualifiés.

Le chiffre d’affaires de l’industrie alimentaire wallonne s’est élevé à 8,7 milliards d’euros (+4%) l’an dernier, pour des investissements records de 458 millions d’euros (+20%) et des exportations de 3,6 milliards d’euros (+3,7%). Le secteur employait l’an dernier plus de 22.000 personnes au sud du pays (+4,4%). “Le secteur va bien. Quasi tous les indicateurs sont au vert”, résume le président de Fevia Wallonie, Guy Paternoster.

Une ombre toutefois à ce tableau: le potentiel de croissance de l’industrie agro-alimentaire est menacé par une pénurie de main-d’oeuvre qualifiée. D’autant plus que la pyramide des âges y est défavorable avec désormais 29% des travailleurs âgés de plus de 50 ans. Les métiers liés à la viande (abatteur, découpeur-désosseur) connaissent la pénurie la plus aiguë: 46,7% des offres d’emplois n’ont toujours pas trouvé preneur après six mois.

Les profils de boulangers/pâtissiers, opérateurs/conducteurs et mécaniciens/électriciens sont particulièrement recherchés aussi….

Source : L’industrie alimentaire wallonne est en grande forme mais craint la pénurie d’emplois – Politique Economique – Trends-Tendances.be

Nouvelle procédure de validation – l’exemption TVA réservée aux ventes réalisées au bénéfice des missions diplomatiques, des postes consulaires, des membres du personnel diplomatique, administratif et technique ainsi que des diplomates d’organisations internationales

La législation TVA prévoit une exemption particulière dont peuvent se prévaloir les missions diplomatiques, les ambassades, les organisations internationales ainsi que les membres de leur personnel.

Cette exemption est prévue à l’article 151 de la directive 2006/112/CE, laquelle a été transposée en droit belge, à l’article 42, §3 du Code de la TVA.

Contrairement aux autres exemptions en matière de TVA, le bénéfice de cette exemption doit être revendiqué par l’acheteur sur lequel repose la charge de la preuve.

La manière dont cette preuve doit être apportée a été digitalisée et se fait, désormais, au moyen d’un « E-certificat ».

 Procédure d’exonération applicable avant le 1er janvier 2018 – document n° 450/451

 Auparavant, les organismes et les personnes visés par l’exemption TVA prévue à l’article 42, §3 du Code de la TVA devait explicitement demander au fournisseur l’application de l’exemption précitée aux biens et services achetés.

Le fournisseur/prestataire était en mesure de vendre ses biens et/ou ses services en exemption de la TVA, à condition qu’on lui remettait un formulaire spécifique dûment complété, daté et signé par l’organisme international ou la mission diplomatique/consulaire concernés. Ainsi, un formulaire n° 450 devait être utilisé pour les achats dits officiels alors que le formulaire n°451 était réservé aux achats dits personnels.

Ce formulaire, lorsqu’il était dûment complété et signé, constituait pour le fournisseur, une preuve irréfutable de l’application correcte de l’exemption précitée, formulaire qu’il avait tout intérêt à joindre à chacune des factures établies en exemption de TVA.

Précisons, par souci d’exhaustivité, que les organismes de la Commission européenne visés à l’article 42, §3, 3° du Code de la TVA sont, en exécution d’un accord du 19 février 1995, dispensés de l’utilisation du document précité.

Procédure d’exonération applicable à dater 1er janvier 2018 – le E-Certificat

Cela fait plusieurs années maintenant que l’administration de la TVA souhaitait transiter vers une méthode digitalisée du traitement de la preuve d’exemption de l’article 42, §3 du Code de la TVA.

C’est chose faite maintenant avec l’E-certificat qui atteste le résultat, validé par le SPF Finance, d’une vérification électronique de l’exemption en cause réalisé par le biais d’une firme accréditée.

La nouvelle procédure se distingue essentiellement de l’ancienne procédure par le fait que l’obtention de l’exemption se fait désormais au moyen d’un remboursement de la TVA par l’intermédiaire de la firme accréditée. Autrement dit, l’exemption TVA n’est plus accordée directement par le fournisseur ou le prestataire de services au moment de la vente.

Le fonctionnement de la nouvelle procédure se décline comme suit :

  • Le fournisseur/prestataire livre le bien/service avec application de la TVA ;
  • L’acheteur soumet une demande de remboursement auprès d’une firme accréditée ;
  • La firme accréditée vérifie dans la base de données du SPF Finances si la personne concernée est affectée à une mission diplomatique/consulaire ;
  • Le cas échéant, la firme accréditée contacte le fournisseur et lui communique un e-certificat ;
  • Le fournisseur établit une note de crédit et une nouvelle facture en exemption de TVA ;
  • Le fournisseur rembourse le montant de TVA à la firme accréditée qui reverse ce montant, déduction faite d’une commission, au bénéficiaire/acheteur.

A noter que qu’il existe plusieurs exceptions à l’utilisation du E-Certificat, pour lesquelles l’ancienne procédure décrite au point précédent reste d’application.

Pour un aperçu desdites exceptions nous vous renvoyons à la communication publiée par le SPF Finances en date du 21 juillet 2018.

 

Fondée en 1842, l’entreprise Lebailly exploite deux carrières d’argile à Hautrage et produit une large gamme de produits. Au coeur de son activité, se trouvent les briques réfractaires. Un secteur dans lequel elle a développé une expertise dont la réputation dépasse largement les frontières belges. Et, depuis quelques années, la sa Lebailly a lancé une nouvelle série de produits: “Les Terres d’Hautrage”.

Lebailly“Nous avions la matière première: l’argile, les outils de production et un marché qui se crée”. Pour Pierre FLAMENT, Responsable des Terres d’Hautrage au sein de Lebailly, l’entreprise installée à Tertre avait toutes les cartes en main pour développer cette nouvelle gamme de produits. Une production qui s’articule aujourd’hui en deux grandes catégories: les briques de terres crues et les enduits. Des matériaux qui, outre le fait que leur méthode de fabrication génère nettement moins de CO que des produits traditionnels, offrent des caractéristiques particulièrement intéressantes pour le secteur de l’éco-construction.

Première propriété des briques de terres crues pressées au sein de Lebailly: leur inertie thermique. “Les briques de terres crues permettent de stabiliser la température dans un bâtiment qui est correctement isolé”, indique Pierre FLAMENT. Un atout notamment pour les constructions passives. Les briques permettent donc de réguler naturellement la température au sein d’un bâtiment en relâchant progressivement de la chaleur emmagasinée, par exemple, par un mur dressé face à une baie orientée au sud. Et, contrairement à ce qu’on pourrait croire, les briques en terre crue sont adaptées à plusieurs usages, y compris la construction de murs porteurs.

En dehors de la construction, les briques en terres crues trouvent également un débouché dans les poêles de masse qui sont un système de chauffage au bois. “Historiquement, ils sont particulièrement répandus dans les pays de l’Est et les pays nordiques. Concrètement, on effectue une flambée vive et courte avec du bois sec de qualité et la maçonnerie de poêle va absorber la chaleur de cette flambée et la restituer progressivement”, explique Pierre FLAMENT. Dans les poêles de masse, Lebailly fournit les briques réfractaires pour la maçonnerie intérieure et les briques de terre crue pour une deuxième enveloppe. Des poêles qui dépassent régulièrement une tonne. Des installations de chauffage qui, par leur encombrement, doivent être intégrées dès la conception d’un bâtiment ou lors d’une rénovation importante.

En parallèle des briques, la gamme Terres d’Hautrage compte également des enduits d’argile parmi ses produits, un secteur qui représente la part la plus importante des Terres d’Hautrage.
Des enduits prévus pour être appliqués comme couche de base et/ou de finition intérieure. Et comme pour les briques, ce sont les propriétés thermiques des enduits qui sont mises en avant. “L’avantage le plus important des matériaux à base d’argile est qu’ils sont “intelligents”, c’est-à-dire qu’ils vont réguler l’humidité de l’atmosphère d’une pièce”, explique Pierre FLAMENT. “Là où de l’enduit est appliqué, il n’y pas de condensation sur les murs. L’argile va absorber l’eau et à l’inverse, s’il fait trop sec, l’argile va diffuser de la vapeur d’eau pour humidifier l’air. La sensation de confort est également renforcée. Ainsi, on peut chauffer légèrement moins une pièce dont les murs ont été enduits avec, à la clef, des économies d’énergie qui peuvent être importantes”. Afin de rencontrer un maximum de besoins, les enduits se divisent en trois catégories: les enduits de base, l’enduit torchis et les enduits “trad”. Des enduits qui peuvent donc
être appliqués sur quasiment toutes les surfaces.

LebaillyLes produits des Terres d’Hautrage permettent donc de multiples débouchés et, plus particulièrement, dans le secteur de l’éco-construction. Mais malgré des indéniables qualités, les briques et enduits qui sortent des ateliers de Lebailly peinent à trouver des clients. Du moins de manière importante. “Le marché de la construction évolue très lentement, déplore Pierre FLAMENT. Il est difficile de faire évoluer les habitudes des architectes ou des professionnels du secteur. Aujourd’hui, les écoles d’architecture sont plus ouvertes et les étudiants sont beaucoup plus demandeurs et plus réceptifs par rapport aux nouvelles techniques. Mais il faudra encore attendre un certain temps pour profiter des retombées de cette évolution des mentalités”.

Deuxième obstacle identifié par Pierre FLAMENT: l’absence de base réglementaire ou de certification pour ces nouveaux matériaux. Un flou qui n’encourage pas les professionnels à franchir le pas et à utiliser ces techniques pourtant plus performantes à bien des niveaux que d’autres, plus traditionnelles. Néanmoins, les choses évoluent positivement et Les Terres d’Hautrage, comme d’autres acteurs de l’éco-construction, misent beaucoup sur l’inscription de ces nouveaux matériaux dans le cahier des charges type du service public à l’horizon 2022. Une reconnaissance qui pourrait doper le recours à ces produits novateurs. “Il y a beaucoup d’initiatives qui se mettent en place mais il faut du temps pour qu’elles portent leurs fruits”, analyse Pierre FLAMENT.

Aurélien LAURENT

Dans le cadre du programme sur le marché français de la construction , nous organiserons une mission fin novembre au Build & Connect à Strasbourg.

Cette mission comprendra, outre l’accès aux conférences du congrès, des visites de sites/batiments remarquables à Strasbourg et dans les alentours, des rendez-vous d’affaires sur-mesure et d’autres moments de networking. Grâce à la collaboration des clusters Cap Construction (BE), Eco-construction (BE), Fibre Energivie (FR), au soutien d’Enterprise Europe Network (Hainaut Développement, CCILB, BEP et CCI Grand-Est), du programme Interreg V BATIC² et de l’AWEX, nous sommes en train de vous concocter un programme plus détaillé pour vous revenir dès la rentrée !

Prenez note dès à présent des dates de l’événement et bloquez votre agenda du 26 au 29 novembre 2018.

Nous vous souhaitons de bonnes vacances !

L’entreprise COPASS est installée dans le zoning de Strépy-Bracquegnies depuis 2006.
Entreprise générale de construction, elle est spécialisée dans la conception et la réalisation de bâtiments passifs ou à très basse énergie ainsi que dans les  constructions à ossature en bois. Une PME familiale qui, via sa maison mère FALCO, est également active dans les constructions traditionnelles.

copass

Pour Timé FALCONI, Gérant et Fondateur de COPASS, tout ou presque a commencé avec le documentaire de l’ancien Vice-Président des Etats-Unis, Al GORE, consacré aux changements climatiques. “Une vérité qui dérange” a réveillé une fibre écologique qui sommeillait depuis un moment chez le jeune entrepreneur louviérois. “Avec ce documentaire d’Al GORE, j’ai vraiment eu un déclic, je savais qu’il y avait quelque chose à faire dans le domaine des économies d’énergie mais là, j’ai décidé de franchir le pas”. COPASS allait donc voir le jour dans le giron de l’entreprise familiale FALCO, active dans la construction depuis 1983.
L’une des spécialités de COPASS est les maisons à ossatures en bois. Des structures fabriquées de A à Z au sein de l’entreprise. “Nous recevons le bois directement ici, dans nos ateliers; un bois qui vient généralement de France et, plus spécifiquement, d’Alsace”, explique Timé FALCONI. Le bois est ensuite
transformé et assemblé avant de partir vers le chantier. “Il faut, en moyenne, entre un et trois jours pour assembler une maison à ossature bois, selon l’importance du chantier”, précise Timé FALCONI. Des maisons qui, outre le gain de temps au niveau de la construction, représentent aussi et surtout une économie très importante en termes d’empreinte énergétique. “Une maison à ossature bois, ce sont facilement 30 tonnes de CO emprisonnés, on tourne aux alentours de 900 kilos de CO par m³ de bois! Sans parler des économies d’énergie en termes de chauffage”, insiste le patron de COPASS.

copassL’autre domaine de prédilection de COPASS, ce sont évidemment les maisons passives. Un secteur qui poursuit son développement et où l’entreprise familiale
a développé une solide expertise. Avec un atout majeur dans son jeu: la maîtrise de quasiment toutes les techniques. “Nous avons, en interne, presque l’ensemble des corps de métier, on évite ainsi beaucoup de pertes de temps ou même de mauvaises surprises pour nos clients”, indique le gérant de COPASS. Pour  l’entreprise, assumer ses responsabilités en menant à bien les projets à leur terme est l’unique priorité.

Et la PME, de par sa flexibilité et sa large palette de métiers met un point d’honneur à trouver les solutions les mieux adaptées pour ses clients. “L’idée n’est pas de proposer le projet le moins cher possible ou, au contraire, avec le budget le plus élevé, mais bien de trouver les meilleures solutions par rapport aux attentes et aux possibilités de nos clients”. Néanmoins, le patron de COPASS regrette qu’aujourd’hui beaucoup de candidats bâtisseurs essayent de faire sortir de terre la plus grande maison possible, tout en compressant au maximum les coûts avec, souvent, une qualité au rabais. “Mieux vaut envisager un projet un peu plus
restreint en termes de volume mais de meilleure qualité plutôt que de vouloir un palais au rabais”, insiste Timé FALCONI. Et le patron d’ajouter “d’autant
qu’une maison plus petite, tout en étant adaptée aux besoins de ses propriétaires, profite de nombreux avantages et notamment en termes d’économies d’énergie”.

Dans un secteur très concurrentiel, COPASS tire donc son épingle du jeu en proposant son expertise et ses compétences. Mais aussi sa passion car, pour Timé FALCONI, son entreprise est, avant tout, “son bébé”. Une société dans laquelle il s’investit sans compter et où il apporte ses idées toujours plus novatrices. Un précurseur qui doit parfois jongler et, il l’avoue lui-même, avec les évolutions souvent trop lentes du secteur de la construction. Sans parler des adaptations réglementaires ou législatives propres aux nouvelles techniques qui se mettent en place parfois beaucoup trop lentement aux yeux de ce jeune patron de 35 ans. Mais pas de quoi freiner l’enthousiasme et la passion de cet entrepreneur touché depuis longtemps par le virus de la construction.

Aurélien LAURENT

Dans le cadre du projet européen “Filière Agroalimentaire Durable- Transfrontalière (AD-T) , une enquête transfrontalière est menée entre la Région Hauts-de-France et la Belgique. Ce travail de recherche se centre sur la notion d’alimentation durable et de qualité, et il a pour ambition d’analyser les ressorts des choix de consommation alimentaire des habitants des zones proches de la frontière franco-belge.
Vos réponses seront systématiquement anonymisées et confidentielles.

 

Remplissez l’enquète >>>>>

Au nom de l’ensemble des partenaires, merci pour votre participation.

 

Pour toute question, contactez Laurie Dilbeck tél: +32 65 342 621 – email : laurie.dilbeck@hainaut.be

Filière AD-T

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