Agence de Développement de l'Economie et de l'Environnement de la Province de Hainaut

Situé sur la dorsale européenne à proximité des aéroports de Bruxelles et Charleroi, le territoire du Cœur du Hainaut dispose de nombreux atouts en matière de multimodalité et de logistique.

Il met à disposition de l’ensemble des acteurs industriels une infrastructure routière, ferroviaire et navigable d’exception. Aussi pour répondre aux impératifs économiques et environnementaux de demain, il développe une offre de services très large, notamment en transport multimodal à destination des industriels implantés – ou qui souhaitent s’implanter – en Cœur du Hainaut.

Traversé par une voie d’eau à grand gabarit, le Cœur du Hainaut comporte outre un important réseau de ports publics deux plates-formes multimodales, soit Garocentre (La Louvière) et Ghlin (Mons). Toutes deux accueillent aujourd’hui un grand nombre d’entreprises telles que H&M, Johnson&Johnson, etc.

Enfin, le Cœur du Hainaut dispose également d’un réseau ferroviaire dense, en développement constant, permettant une liaison directe vers Anvers et aux principales gares de Belgique. En collaboration avec le groupe de travail « Logistique et Transports » du Cœur du Hainaut qui rassemble de nombreux industriels et institutions actives en la matière, IDEA et l’équipe du Cœur du Hainaut ont travaillé à l’édition d’une brochure trilingue et d’une vidéo mettant en valeur l’ensemble des atouts logistiques du territoire.

Bonne découverte!

Plus d’info : info@coeurduhainaut.be – 065/37.58.74

Le concept d’éco-construction, apparu à la fin des années 1960, est une approche spécifique de la conception et de la construction d’un bâtiment reposant sur le respect de l’environnement et des ressources naturelles, et favorisant le confort, la santé et le bien-être de ses occupants dans une optique de durabilité accrue. Il s’agit d’une approche globale.

Les différents niveaux de l’éco-construction

Les différents niveaux de l’éco-construction

Ce que recouvre la notion d’éco-construction

Ce que recouvre la notion d’éco-construction

 

Activités de construction durable MAINTENANT Des changements interviennent toutefois dans l’ordre d’importance des activités et dans le volume de leur progression.
Croissance des activités de construction durable d’ici 2020 La croissance des activités de construction durable aura une incidence sur les besoins en main-d’oeuv
re dans le secteur.
Besoin de main-d’oeuvre?L’éco-construction s’intéresse donc à 6 domaines:

  • – la santé et l’habitabilité,
  • – l’eau,
  • – la matière (matériaux et déchets),
  • – l’énergie,
  • – la biodiversité (présence de nature en ville),
  • – l’urbanisme (la gestion du territoire).

Quelque 70 % des entrepreneurs interrogés lors de l’enquête menée par Idea Consult, sous la direction de Kristof MERTENS, et la Confédération de la Construction répondent qu’ils sont actifs aujourd’hui dans la construction durable.
Les activités de construction durable les plus importantes Le “top 5” actuel des activités de construction durable est établi en tenant compte à la fois du nombre d’entreprises qui exercent ces activités et de l’intensité avec laquelle elles les exercent.

 


Intéressé?
Hainaut Développement
Richard REMISZ
+32 65 342 591

Il est important de savoir que, en Belgique pour exécuter des marchés de travaux atteignant un certain montant, vous devez être titulaire d’un certificat d’agréation. Il s’agit, en quelque sorte, d’un “label de qualité” octroyé par le ministre régional compétent, après avis de la Commission fédérale
d’Agréation. Ce certificat permet au pouvoir adjudicateur de s’assurer que vous possédez bien les capacités techniques et financières suffisantes pour exécuter le marché concerné.

Pour mieux comprendre, prenons un exemple: imaginons que, dans le cadre d’un marché de travaux, le pouvoir adjudicateur demande de fournir une agréation
en sous-catégorie C2 classe 6.

Que signifie cette exigence?
Selon leur nature, les travaux sont rangés en catégories identifiées par des lettres (allant de A à V). La catégorie A correspond aux travaux de dragage, la B aux travaux hydrauliques, la C aux travaux routiers, etc. En outre, certains travaux sont rangés en sous-catégories. Dans notre exemple, la sous-catégorie C2 correspond aux travaux de “distribution d’eau et pose de canalisations diverses”. Cette sous-catégorie est liée à la catégorie C “entreprise générale de travaux routiers” mais les travaux sont à ce point spécifiques qu’ils sont rangés dans une sous-catégorie identifiée par le chiffre 2.

Qu’en est-il de la “classe 6”?
L’importance financière des travaux envisagés détermine la classe dans laquelle l’entrepreneur doit être agréé pour pouvoir répondre au marché. La classe requise par les documents du marché est basée sur le montant estimé du marché. Chaque classe est identifiée par un chiffre. Il en existe 8. Dans notre exemple, la classe 6 correspond à un montant maximum de 3 225 000 €, ce qui signifie que l’estimation du montant du marché par le pouvoir adjudicateur est inférieure à ce montant.

Maintenant que vous maîtrisez la notion d’agréation, voyons ce à quoi vous devez être attentifs lorsque vous voulez déposer offre. Repartons de notre exemple: les documents du marché exigent une agréation en sous-catégorie C2 classe 6.

Disposez-vous de l’agréation requise?

Oui? Vous pouvez déposer une offre sans autres formalités que celles éventuellement réclamées par l’avis de marché ou le cahier spécial des charges.

Non? Vous pouvez toujours déposer une offre mais il faut, dans ce cas:

  1. introduire une demande d’agréation auprès de la Commission fédérale d’Agréation;
  2. invoquer dans votre soumission l’application de l’article 3 de la loi du 20 mars 1991 et fournir les preuves que vous remplissez les conditions fixées par la loi.

Votre offre sera analysée par le pouvoir adjudicateur et le marché pourra vous être attribué. Néanmoins, au moment de la notification du marché, vous devrez
impérativement disposer du certificat d’agréation.

Il est important de préciser que la classe d’agréation doit correspondre au montant de votre offre. Il se peut que le pouvoir adjudicateur ait sous-estimé ou
surestimé le montant des travaux. Dans notre exemple, si le montant de votre offre est de 1 800 000 €, vous ne devrez pas être agréé en classe 6 comme le prévoient les documents du marché mais en classe 5 puisque votre offre est inférieure au montant maximum correspondant à la classe 5. A l’inverse, si le montant de votre offre est de 3 400 000 €, vous devrez être agréé en classe 7 pour pouvoir déposer offre.

Le pouvoir adjudicateur réclame-t-il d’autres références au niveau de la sélection qualitative?

Il se peut que la production de la seule agréation ne suffise pas à permettre au pouvoir adjudicateur de s’assurer que vous disposez bien des compétences
requises. Dans ce cas, il pourra exiger des références complémentaires. Soyez dès lors attentifs et n’omettez pas de compléter votre offre avec les documents réclamés!

Pour toute information supplémentaire (références légales, modalités d’introduction d’une demande d’agréation, etc.), n’hésitez pas à consulter les sites
suivants:


enmieux.beIntéressé?
Hainaut Développement
Amandine BLANQUET
+32 65 342 619

 

La Cour de justice de l’Union européenne a récemment rendu un arrêt qui rappelle la place importante du droit à déduction dans le système TVA européen (ECJ, affaires jointes C-660/16 et C-661/16, 31 mai 2018).

 Le droit à déduction de la TVA grevant les acomptes payés à un fournisseur/prestataire – situation de la problématique

 Sur le plan des principes, l’émission d’une facture d’acompte relativement à une opération taxable à la TVA rend, en règle, la TVA due dans le chef du fournisseur de bien ou du prestataire de service.

Dans le chef de l’acquéreur ou du preneur, le droit à déduction prend naissance au moment où la TVA devient exigible. Toutefois, ce droit à déduction ne peut valablement être exercé par ce dernier que si les biens et services ainsi achetés sont utilisés pour la réalisation d’opérations ouvrant droit à déduction.

Une problématique se pose toutefois dans le cas où le fournisseur ou le prestataire facture des acomptes à bon droit avec mention de la TVA et qu’il soit forcé de déposer le bilan avant même d’avoir fourni la prestation à son client.

Dans une telle situation, la question se pose de savoir si le client est en droit d’exercer son droit à déduction de la TVA afférente à l’acompte dans la mesure où il n’a pas reçu les biens et/ou les services qu’il a partiellement payés à son fournisseur.

La réponse à cette question peut paraître évidente, mais la réalité est tout autre.

 

Le raisonnement de la Cour de Justice de l’Union européenne

La Cour de Justice commence par rappeler sa jurisprudence sur les règles d’exigibilité de la TVA en matière d’acomptes.

Ainsi, pour que la TVA devienne exigible dans le cas où un acompte est versé avant la réalisation de l’opération (i.e. le fait générateur), il faut que tous les éléments pertinents de la livraison de biens/services soient déjà connus.

A contrario, la facturation d’un acompte relativement à une livraison dont les biens/services ne sont pas définis avec précision ne rend pas la TVA exigible.

Par conséquent, c’est la certitude quant à la réalisation de la livraison ou de la prestation qui conditionne l’exigibilité de la TVA afférente à l’acompte et la naissance corrélative du droit à déduction.

 

Les conclusions de la Cour de Justice de l’Union européenne

 

La Cour conclut par dire que le droit à déduction de la TVA afférente au versement d’un acompte ne peut être refusé à l’acquéreur potentiel dès lors que cet acompte a été versé et encaissé et que, au moment de ce versement, tous les éléments pertinents de la future livraison pouvaient être considérés comme étant connus par ledit acquéreur et que cette livraison apparaissant alors certaine.

En revanche, la Cour est d’avis que le bénéfice du droit à déduction doit être refusé à l’assujetti s’il est établi, au regard d’éléments objectifs, que, au moment du versement de l’acompte, cet assujetti savait ou ne pouvait raisonnablement ignorer que cette livraison ou cette prestation était susceptible de ne pas se réaliser.

 

AEPS, leader européen en formation et certification d’anglais pour pilotes d’avions, s’installe à la Réunion, aux Caraïbes et en Nouvelle Calédonie.

AEPS, Aviation English Private School, centre de formation et de certification d’anglais pour pilotes basé à Mons, poursuit son développement dans les DOM-TOM françaises en signant un important partenariat avec un centre de formation en langues étrangères basé sur l’île de La Réunion.

Dès septembre, English Workshop basé à Saint-Denis, chef lieu de l’île de La Réunion, mais également à Boucan-Canot sur la côte ouest formera et certifiera en anglais les pilotes privés et professionnels sous licences européennes évoluant dans l’archipel des Mascareignes.

AEPS: une histoire belge, née à Mons.

Tout est parti en 2016 d’une rencontre entre Olivier Thaon, cofondateur d’AEPS et de Lindsay Finet, pilote de ligne montois volant pour la principale compagnie réunionnaise.

Le premier souhaite poursuivre la croissance de son entreprise dans les DOM-TOM françaises, le second aspire à aider son compatriote à se développer sur l’île de La Réunion où volent de nombreux pilotes privés et professionnels ne maîtrisant pas forcément la langue de Shakespeare.

De la cité du Doudou à Saint-Denis.

Encore fallait-il que le marché local réponde positivement à l’offre proposée et que AEPS puisse trouver un partenaire digne de confiance pour le représenter dans l’archipel des Mascareignes…..

Source : Innovatech – Une innovation montoise se déploie dans l’océan indien

 

 

Les agriculteurs sont invités à apporter leur pierre à l’édifice.

La Province de Hainaut débloque 2,2 millions d’euros pour le dédoublement d’un tronçon rieu de Barges, depuis l’hôpital IMC jusqu’à son rejet dans l’Escaut, afin d’accélérer l’évacuation des eaux et de lutter contre les inondations. Des travaux auxquels participera également financièrement, à une plus petite échelle, la Ville de Tournai. Ce sujet a été débattu ce lundi soir, lors du conseil communal de Tournai.

“Ce projet améliorera le flux du cours d’eau et diminuera les risques d’inondations le long du rieu de Barges, y compris à Esplechin et Froidmont”, se réjouit la conseillère communale Hélène Leleu (MR). “Il serait également utile de nettoyer fréquemment le cours d’eau et de dédoubler les pertuis à certains endroits à Ere.”

La conseillère communale Coralie Ladavid (Ecolo) approuve également les travaux, mais elle émet quelques réserves. “Nous ne sommes pas contre le dédoublement mais cela doit également s’accompagner de projets en amont. Il faut par exemple développer des initiatives comme des haies et des fascines pour éviter les inondations. Des subsides peuvent être obtenus dans ce cadre, et il serait également intéressant de sensibiliser les agriculteurs à cette problématique. Je ne veux pas obliger les agriculteurs à faire ceci ou cela, mais les aider.”….

Source : Les agriculteurs appelés à la rescousse à Tournai – La DH

Un an après la mise en ligne d’Hainaut Stat (le portail cartographique de données sur les communes du Hainaut), Hainaut Développement et l’Observatoire de la Santé ont le plaisir de vous présenter leurs analyses sur les données concernant votre commune. Les 69 fiches communales seront actualisées annuellement et pourront être téléchargées sur “Hainaut Stat”

À Theux, à 30 minutes de Liège en Belgique, la Ferme biologique de Haute Desnié est un sublime exemple de ce que la permaculture permet d’accomplir. Son potager pédagogique en forme de mandala réunit tout ce que devrait être l’agriculture d’aujourd’hui. Un magnifique équilibre entre l’Homme et la nature.

Jean-Cédric Jacmart a longtemps rêvé d’acquérir un endroit sauvage lui permettant de tourner la page de sa vie citadine pour se consacrer pleinement au maraîchage. Suivant les principes de la permaculture qui prône le respect de l’équilibre des écosystèmes, il a ainsi fondé la Ferme de Haute Desnié. Un lieu créé « pour répondre aux nombreux défis auxquels nous sommes confrontés aujourd’hui, et en particulier aux enjeux auxquels nos enfants devront faire face demain. »

Son pari ? Créer l’abondance alimentaire sur un sol argileux peu fertile et transformer la ferme en un lieu de formation, d’éducation et de partage.

Il explique sur son site internet :

« Notre démarche est celle de l’action en conscience et celle d’être orienté « solutions ». Nous aimons partager cette citation inspirante de Bill Mollison, le co-fondateur de la permaculture :​

« Le choix éthique le plus important est celui de prendre la responsabilité de notre propre existence et de celles de nos enfants ».

Nous savons que la tâche est énorme et que le seul moyen d’y parvenir sera de faire de nouveaux choix personnels et collectifs. À l’instar de la légende du colibri, à la ferme-école en permaculture de Desnié, nous faisons notre part. »

Le domaine abrite des chevaux, un troupeau de moutons rustiques, des ruches, une zone de maraîchage professionnelle biologique en permaculture, un jardin pédagogique en forme de mandala, un verger conservatoire et de nombreux arbres et massifs fruitiers, des mares, des haies, ainsi que des zones dédiées à la contemplation du paysage. Sans oublier une brigade de canards coureurs indiens mangeurs de limaces.

Source : Permaculture : la Ferme de Desnié en Belgique, un jardin d’Éden

 

Avant de profiter de vos vacances, venez rencontrer des dizaines de clients potentiels !

Si le développement de vos activités est votre principale responsabilité, vous savez que, pour vendre plus, il est impératif de rencontrer plus de personnes susceptibles d’être intéressées par vos services. Mais où rencontrer ces personnes par définition étrangères à votre sphère immédiate ? Dans quel cadre développer de nouvelles relations de confiance qualitatives et durables ?

Une des rares réponses sérieuses et efficaces :

PARTICIPEZ A L’UN DES DISCOVERY MEETING SPEED BUSINESS© !

Les Discovery Meeting©, kezako ?

Imaginés en Brabant wallon, les Discovery Meeting© se sont aujourd’hui imposés dans le monde des affaires comme un des moyens les plus performants, pour tout entrepreneur, d’actualiser et d’étendre son réseau de contacts au service de son succès.

Légère, ludique et terriblement efficiente à la fois, la formule a convaincu un cercle toujours plus large d’acteurs, dans le secteur de la production de biens autant que dans celui de la fourniture de services. Jusqu’à devenir le rendez-vous obligé de ceux qui font des échanges avec leurs pairs la clé de leur développement !

Pour mieux percevoir l’intérêt de ces véritables sessions de travail, visionnez sans tarder la vidéo qui reprend différents témoignages de participants : 

Ce lundi 2 juillet, dans la magnifique salle de séminaire du Bivouac de l’Empereur au pied du célèbre Lion de Waterloo, nous accueillons des sociétés venant de partout en Belgique et même de France.

Une prospection « clé sur porte » vous est proposée. N’hésitez plus et inscrivez dès à présent.

En vous inscrivant tout de suite, vous pouvez réserver votre place pour l’édition du 2 juillet ou pour celle du 28 août à Namur. Et surtout bloquer ainsi l’exclusivité pour votre secteur. Une réelle opportunité ! http://www.discoverymeeting.be/inscription.html

Source : (4) Prospecter ? Oui…pas tout seul. Venez le lundi 2 juillet à Waterloo… | LinkedIn

 

L’APAQ-W (Agence wallonne pour la promotion d’une agriculture de qualité) vient de publier une étude réalisée auprès de 1401 Belges avec le support de la société Dedicated.

elon cette enquête, les consommateurs apprécient les produits issus de l’agriculture de Wallonie pour leur saveur et leur parfum (59%), car ils sont appétissants et sains (58%) et parce que leur origine est précise et identifiable (57%).

62% des personnes interrogées indiquent qu’elles préfèrent les produits en provenance de leur région. Mais où se fournissent-elles ?

79% privilégient les grandes surfaces pour leurs achats alimentaires, devant les commerces de proximité (68%), les marchés traditionnels (54%), les producteurs locaux (39%) ou les magasins bio (29%).

Quand on leur demande ce qui pourrait les pousser à acheter davantage de produits locaux, les sondés réclament une meilleure visibilité dans les magasins (67%), un nombre plus élevé de commerces concernés (67%) et des prix plus accessibles (65%).

Près de 8 Belges sur 10 ne sont par contre pas disposés à parcourir plus de 10 kilomètres pour s’approvisionner en produits locaux.

Menace sur l’avenir

Pour 69% des Belges, agriculteur est un métier pénible à divers égards. Près de ¾ des sondés estiment que les jeunes éprouvent beaucoup de difficultés pour débuter.

Et 51% des personnes qui ont participé à cette étude de l’APAQ-W pensent même que la plupart des enfants d’agriculteurs ne pourront pas reprendre l’exploitation familiale.

Source : Les Belges aiment l’agriculture d’ici, mais craignent pour sa survie

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