Agence de Développement de l'Economie et de l'Environnement de la Province de Hainaut

Les exportations des entreprises wallonnes ont connu une croissance très forte au cours des six premiers mois de cette année. Une hausse de 8,4% sur un an, 23 milliards d’euros pratiquement.

C’est une satisfaction pour Pascale Delcomminette, l’administratrice générale de l’AWEX, l’Agence wallonne à l’exportation. Elle souligne que la majorité des secteurs de notre économie ont contribué à cette hausse des exportations: “Sur les 10 plus grands secteurs d’exportation de la Wallonie, sept sont en croissance, dont le secteur de la chimie, le secteur métallique et le secteur pharmaceutique. Sept secteurs, c’est important et ça veut dire que les secteurs qui comptent en Wallonie sont en hausse“.

Autre motif de satisfaction pour elle : les exportations wallonnes hors de l’Union européenne ont continué à croître, + 22% sur un an grâce notamment à des volumes importants vers les États-Unis. C’est tout de même devenu le quatrième client de la Wallonie. À noter aussi des progressions importantes vers les pays d’Afrique du Nord, à l’exception notoire de l’Algérie.

La France, l’Allemagne et les Pays-Bas

Mais le principal marché reste l’Union européenne. Avec dans l’ordre la France, l’Allemagne et les Pays-Bas. C’est le trio de tête classique, sachant que le Royaume-Uni est notre cinquième partenaire commercial, juste derrière les États-Unis.

Mais ce que Pascale Delcomminette retient surtout du premier semestre, c’est la croissance très forte des exportations wallonnes vers l’Allemagne. “L’Allemagne est souvent considérée comme un marché un peu plus difficile que la France à cause de la barrière de la langue, et donc pour nous c’est un facteur de satisfaction parce que c’est malgré tout un pays qui, à terme, recèlera toujours des perspectives de croissance“.

Cependant, la croissance économique est en train de faiblir assez sensiblement en Allemagne. Il faudra donc voir sur la seconde partie de 2018 et 2019….

Source : Les exportations des entreprises wallonnes en forte hausse

Tous les ans, l’UE importe six millions de tonnes de phosphate, qui sont pulvérisées sur les cultures en tant qu’engrais. Revers de la médaille, le phosphate s’accompagne des substances et métaux lourds toxiques, comme le cadmium. Un constat qui soulève aussi bien des questions d’écologie et de santé que de dépendances géopolitiques.

Après deux ans de négociations, la Commission, le Parlement et le Conseil viennent de se mettre d’accord sur une série de mesures qui permettront de limiter les importations de phosphates, et d’encourager l’utilisation d’engrais organiques au sein de l’Union.

« Nous nous félicitons dans l’ensemble de cet accord, car il représente un équilibre qui permet à l’industrie des engrais minéraux d’aller de l’avant », a déclaré Jacob Hansen, directeur général de Fertilizers Europe, qui représente les fabricants d’engrais.

Avant cette révision, près de la moitié des engrais vendus dans l’UE n’étaient pas couverts par des textes de loi. Le règlement concerne les engrais commercialisables dans l’Union, leur étiquetage et leur emballage. Il a notamment été décidé de le revoir sous l’angle de l’économie circulaire, afin de favoriser les matières premières locales et recyclées.

« Les nouvelles règles incluent des limites raisonnables pour les contaminants et un accès au marché pour tous ces produits qui en étaient exclus. Une seule limite harmonisée est enfin mise en place au niveau européen pour tous les contaminants, notamment pour le cadmium, qui préoccupait le plus les États membres », s’est félicitée Elisabetta Gardini eurodéputée PPE, rapporteure de la commission de l’environnement.

 

Engrais organiques et recyclés

Les engrais « traditionnels », couvert par le règlement de 2003, sont généralement produits par extraction ou par des procédés chimiques gourmands en énergie et émetteurs de CO2. Ces engrais ont jusqu’ici un avantage sur les engrais organiques, plus respectueux de l’environnement, mais qui font l’objet de règles nationales divergentes et ne peuvent donc pas facilement circuler et être vendus….

Source : L’UE offre enfin un cadre juridique aux engrais organiques et recyclés – EURACTIV.fr

La Libre Network

Après des semaines de travail et d’enquête au cœur des entreprises bruxelloises et wallonnes, voici notre dossier sur la problématique de l’énergie !!! Les entreprises belges paient-elles leur énergie plus cher que les autres ? Les acteurs wallons sont-ils vraiment défavorisés par rapport aux flamands ? Comment appréhender la transition énergétique ? Rendez-vous aujourd’hui dans La Libre Belgique pour obtenir des réponses à ces questions !

Facture, transition énergétique, approvisionnement, éco responsabilité…Comment les entreprises vivent-elles l’énergie au quotidien ?

Compétitivité, emploi, réchauffement climatique… L’énergie se cache en toile de fond de tous les grands dossiers socioéconomiques actuels, et cristallise autour d’elle une myriade de questionnements. Le mix énergétique représente-t-il le futur pour nos entreprises ? Comment permettre l’émergence d’acteurs florissants et pourvoyeurs d’emplois à l’ère de la transition énergétique ? Dans ce dossier, nous tenterons de répondre à plusieurs interrogations permettant de déterminer la compétitivité de nos entreprises sur l’échiquier énergétique. Et ce, en les confrontant à la réalité du terrain.

Les entreprises implantées en Belgique paient-elles leur énergie plus cher que dans les pays européens voisins ?

C’est un message très largement répandu : les tarifs énergétiques pratiqués en Belgique minent le positionnement et le succès des entreprises implantées sur le territoire national. Cette affirmation semble pourtant avoir été nuancée il y a peu. Dans son étude parue en 2017, PwC a en effet comparé, pour le compte de la Commission de Régulation de l’Électricité et du Gaz (CREG), les prix de l’énergie de différents consommateurs professionnels en Belgique et dans quatre pays voisins (Allemagne, Pays-Bas, France et Royaume-Uni). Il en ressort un bilan mitigé, qui diffère à la fois en fonction de l’énergie déterminée (gaz ou électricité), et des profils de consommation des entreprises (PME ou industriels).

S’agissant des petits consommateurs électriques (type startups ou petites PME), cette étude semble indiquer un manque criant de compétitivité : après l’Allemagne, la Belgique serait effectivement le pays le moins compétitif de ceux étudiés, avec un prix de l’électricité en moyenne 22 % plus chère que la moyenne des pays voisins. Une différence trouvant à s’expliquer par un prix de la commodité sensiblement supérieur, mais aussi et surtout par des tarifs réseau (transport et distribution), des taxes et des prélèvements plus importants en Belgique. Concernant les consommateurs électriques industriels, la situation se complique et les points de vue divergent. Alors qu’une autre étude (celle de Deloitte-Fébeliec 2018) considère que notre pays paierait entre 10,5 % à 34 % de plus pour son électricité que la moyenne des pays analysés, celle de PwC-CREG entend nuancer les choses….

Source : Les entreprises belges face aux défis de l’énergie – La Libre

Vous étiez plus de 200 l’année passée!

L’Innovation Pitch,

  • c’est le laboratoire d’idées en transport, logistique et mobilité
  • c’est la rencontre innovation annuelle du pôle Logistics in Wallonia (8e édition)
  • c’est découvrir 20 pitchs sous le format 3 slides / 3 minutes
  • c’est l’occasion, pour les idées sélectionnées, de présenter votre innovation à la communauté du pôle

Restez compétitif: connectez le futur à votre logistique

Informations et inscriptions

Les bières de Charleroi

Créée en 2016, la Brasserie du Pays noir est une nouvelle venue dans le paysage brassicole hainuyer. Issue de la passion d’un jeune brasseur carolo, elle propose une bière blonde et son homologue brune. Mais la brasserie développe également des bières éphémères ou des productions sur-mesure à la demande. Depuis quelques mois, une partie de la production est réalisée dans ses propres installations à Charleroi, à quelques mètres de la Sambre.

A l’instar des success stories de la Silicon Valley, la Brasserie du Pays noir est née dans le garage de son concepteur, Nicolas Renard. “Depuis 2007, à la fin de mes études (ingénieur industriel, spécialisation brassicole, NDLR), je réalisais de petites productions, des brassins de 20 litres et j’ai fait ça pendant plus ou moins 8-10 ans”, explique le brasseur aujourd’hui âgé de 33 ans.

Mais après cette période où la production était simplement un hobby, cet amoureux de la bière et surtout de sa conception a voulu franchir une nouvelle étape.

BRASSERIE DU PAYS NOIREn 2015, mon épouse et moi, nous nous sommes posé la question: est-il possible de faire grandir le projet sans être étouffés par toutes les contraintes liées à la production de bières? “. Durant
un an et demi, la production du jeune brasseur a pris de l’ampleur tout en restant relativement limitée. “Nous brassions des brassins de 70 litres deux fois par jour, le week-end“. Une quantité limitée qui a très vite rencontré un beau succès mais qui demandait déjà beaucoup de travail pour un couple qui menait en parallèle une carrière professionnelle, tout en fondant également une famille. Le brasseur était donc arrivé au moment du choix: se limiter à une production artisanale sans visée commerciale ou au contraire, en faire un véritable projet professionnel! Et c’est la deuxième option que Nicolas Renard a choisie. “Nous étions, mon épouse et moi, peu épanouis dans nos job respectifs et s’investir dans ce projet brassicole représentait un beau défi pour nous“. La Brasserie du Pays noir était née!

Sans hésiter, le brasseur a choisi de miser à fond sur l’identité carolo. Le nom de la brasserie et son visuel ne laissent planer aucun doute: Charleroi est au coeur du projet. L’étiquette évoque à la fois la place Charles II mais aussi le passé industriel de la ville. Et petite particularité, la contre-étiquette relate une anecdote liée à la cité. Exemple: qui était Joseph Tiroux, qui a donné son nom au plus célèbre boulevard carolo? “Aujourd’hui, nous recevons même des propositions d’anecdotes. C’est sympa et ça contribue à faire connaître nos bières“, explique le brasseur.

Restait à choisir la meilleure option pour la production. Un choix qui ne s’est réellement pas vraiment posé tant les investissements de départ sont difficilement envisageables pour un jeune brasseur sans capital à investir. “S’équiper entièrement représentait un investissement de plusieurs centaines de milliers d’euros, impossible pour nous évidemment. Nous avons donc choisi de sous-traiter notre production“. Depuis juillet 2016, date de lancement officielle de la Brasserie du Pays noir, la production est réalisée dans les installations dans la brasserie Belgo-Sapiens à Nivelles. Sort alors des cuves nivelloises, la Blonde du Pays noir, rejointe à l’automne 2017 par sa soeur brune, deux bières à haute fermentation titrant à 7 %.

Face au succès rencontré par ses deux bières, la brasserie a franchi un nouveau cap en mars de cette année en s’installant à Marcinelle, le long de la Sambre, dans ses propres installations. Sur place, Nicolas Renard peut laisser libre cours à sa créativité en réalisant des productions uniques, éphémères de 1 000 litres. “Toutes les six à huit semaines, nous proposons une nouvelle bière. Ca permet de se renouveler et de toujours susciter la curiosité car une bière peut avoir très vite du succès mais le phénomène peut aussi très rapidement s’inverser“, explique le brasseur. La Blonde, elle, est toujours brassée à Nivelles. “En 2017, nous avons vendu 450 hectolitres de blonde, ici, dans nos installations, nous avons actuellement une capacité de production de 500 hectolitres“. La brasserie de Marcinelle est donc pour l’instant consacrée aux productions éphémères et bientôt au brassage également de la brune. Des bières qui se retrouvent dans les rayons des supermarchés de la région de Charleroi mais aussi dans des établissements HORECA même si le brasseur l’avoue, il est particulièrement difficile d’y trouver sa place en dehors des circuits classiques sur lesquels les grandes brasseries ou de puissants intermédiaires ont la mainmise.

Nicolas RenardMais la Brasserie du Pays noir, ce sont aussi des bières personnalisées. “Nous brassons ici des bières sur-mesure, des bières à façon, développées exclusivement pour un client. Ce sont des produits où il y a une réelle demande. La recette est élaborée avec le client et elle lui est réservée“. Une production individualisée qui débute à partir de 450 litres. La brasserie développe aussi des recettes partagées pour des personnes à la recherche d’une bière exclusive mais qui n’ont pas besoin d’un volume de minimum 450 litres. Dans cette formule, le “droit d’entrée” n’est plus que de 50 litres. Une proposition qui rencontre beaucoup de succès notamment dans le cadre de fêtes familiales, mariages, baptêmes, etc. A terme, Nicolas Renard envisage aussi de proposer des ateliers de création de bière où en l’espace d’une journée ou d’une demi-journée, les participants pourraient réaliser leur propre bière à partir des ingrédients de base, le tout encadré par le  brasseur. Une manière aussi pour lui de partager sa passion.

Aujourd’hui, la brasserie est donc en plein développement et vise un objectif de rentabilité dans moins de deux ans. Outre le brasseur, l’équipe est constituée d’un commercial à plein temps et sera bientôt renforcée tant au niveau de la production que de la gestion administrative, assurée pour l’instant par le brasseur et son épouse. Avec un fil rouge et un moteur principal: la passion. Pas question pour eux de développer une brasserie géante et de viser des volumes de production énormes. L’objectif est clairement de porter un projet viable à visage humain où l’équipe pourra trouver un juste équilibre entre vie professionnelle et vie privée, le tout bien ancré sur ses terres carolos.

www.brasserie-paysnoir.be

Aurélien LAURENT

Vincent De Busscher

Le 1er mai 2018, les vignes du tout nouveau vignoble de Nouvelles (Mons) ont été plantées. Situé à mi-chemin entre le vignobles des Agaises (Ruffus) et celui du Chant d’Eole, ce nouveau venu proposera un vin pétillant produit selon la méthode champenoise. Avec une particularité: il est planté sur le site reconnu patrimoire mondial à l’UNESCO des minières néolithiques de Spiennes.

Pour Vincent De Busscher, la création du vignoble de Nouvelles, c’est avant tout une histoire d’amitié. L’amitié entre Vincent et la famille champenoise Potié. Durant dix ans, Vincent De Busscher s’est rendu à Condé-sur-Marne pour les vendanges. De fil en aiguille, la relation entre le vendangeur belge et les propriétaires s’est transformée en histoire d’amitié. Vincent a ainsi pu découvrir au plus près les différentes facettes du travail de la vigne et du vin: taille, effeuillage, palissage, pressoir, cuveries, fermentations, embouteillages, etc.

Une rencontre et une amitié qui ont donné naissance à une passion. Une passion qui a rapidement fait germer dans l’esprit du Belge l’envie de planter des vignes de l’autre côté de la frontière. “Le processus a pris du temps car il a fallu trouver un terrain implanté sur le terroir idéal, c’est-à-dire avec des sols similaires à ceux de la Champagne”, explique Vincent De Busscher. Et face aux prix inabordable des terres, la solution est passée par la collaboration avec un important propriétaire terrien de Nouvelles sur l’entité de Mons qui détenait un terrain de 4 hectares idéalement situé sur un coteau exposé au sud.

Mais malgré son expérience lors de ses visites en Champagne, Vincent De Busscher n’a pas voulu jouer à l’apprenti vigneron et a logiquement sollicité ses amis de Condé-sur-Marne. “Les démarches ont pris tellement de temps pour trouver un terrain que mes amis producteurs étaient proches de la retraite. C’est donc la jeune génération, à travers Laurianne (fille de mes amis champenois), qui a choisi de s’associer à mon projet”.

Les bulles de NouvellesLe 1er mai, la grande aventure a débuté avec la plantation de 17 500 pieds répartis entre les cépages traditionnels de Champagne: le chardonnay, le pinot noir et le pinot meunier. Des jeunes vignes qui ont déjà connu un été difficile puisqu’elles ont dû affronter de plein fouet la sécheresse du mois de juillet. “Nous sommes passés à deux doigts de tout perdre“, explique Vincent De Busscher. Les vignes étant encore peu enracinées, elles ne sont pas encore capables de constituer des réserves d’eau. La petite équipe a donc du sortir les grands moyens afin d’arroser à plusieurs reprises le vignoble. “Les pinots meuniers et les chardonnays ont bien résisté, mais les pinots noirs ont souffert”, constate le néo-viticulteur. Le vignoble de Nouvelles aura donc vécu une naissance chahutée. Mais pas de quoi refroidir l’enthousiasme de Vincent De Busscher et de son associée, bien décidés à produire un vin pas tout à fait comme les autres. “Outre le fait d’être situé sur un terroir  similaire à celui de la craie de Champagne, nos vignes sont plantées sur le site des minières de Spiennes, le sol est donc également constitué de silex ce qui donnera des vins tendus, assez minéraux”, précise la Champenoise Laurianne Lejour-Potié. Avec la particularité sans doute unique au monde d’avoir un vignoble situé sur un site UNESCO.

Et le vin que produiront Vincent et Laurianne sera respectueux de l’environnement avec une viticulture intégrée. “Nous nous sommes adjoint l’expertise de la faculté de Gembloux afin de  n’employer que des produits bio reconnus en Belgique et nous utiliserons un pulvérisateur équipé de panneaux récupérateurs”, ajoute le viticulteur. Un dispositif qui limite au maximum la dispersion et qui sera employé pour la première fois dans un vignoble belge.

Et la start-up vinicole montoise n’entend pas s’arrêter en si bon chemin puisqu’elle est déjà à la recherche d’autres terrains pour s’implanter. “Nous débutons les discussions avec de nouveaux propriétaires. Nous espérons planter quatre nouveaux hectares en 2019 et quatre autres en 2020”, s’enthousiasme Vincent De Busscher. Le jeune domaine est également à la recherche d’un terrain ou d’un site où implanter son chai. Les projets ne manquent donc pas! Avec en ligne de mire la dégustation des premières bulles de Nouvelles d’ici trois ans. Un laps de temps qui permettra au domaine de se trouver… un nom!

Aurélien LAURENT

L’offre électroniqueComme vous le savez peut-être, la transmission obligatoire d’une demande de participation/offre par des moyens de communication électroniques (articles 14 loi 17 juin 2016 et 41 et suivants AR 18/04/2017) constitue l’une des nouveautés de la législation relative aux marchés publics entrée en vigueur le 30 juin 2017. Une période transitoire avait été prévue afin de permettre aux pouvoirs adjudicateurs et aux opérateurs économiques de s’adapter à ce changement. Cette période touche à sa fin, à tout le moins pour les marchés faisant l’objet d’une publicité européenne.1 En effet, pour ces marchés publics, cette obligation sera effective à partir du 18 octobre 2018 et s’étendra à l’ensemble des marchés faisant l’objet d’une publication dès le 1er janvier 2020.

Pour vous lancer dans l’aventure, rendez-vous sur le site2: https://eten.publicprocurement.be/etendering/

Par où commencer?
Pas de panique, des outils pour vous guider dans cette nouvelle démarche existent. Outre des manuels explicatifs3, un site de démonstration est également mis à votre disposition. Celui-ci permet de tester le dépôt d’une demande de participation/offre dans le même environnement virtuel que celui du site officiel.4
Le site étant assez intuitif, il vous est vivement conseillé de l’utiliser afin de vous familiariser avec l’outil.

Les avantages
L’utilisation des moyens électroniques dans le cadre du dépôt de votre demande de participation/offre présente de nombreux avantages: réduction des coûts (moins de papier, pas de frais d’envoi), signature de l’offre en ligne (où que vous soyez), accusé de réception pour chaque document envoyé, pas de perte de documents, PV d’ouverture des offres consultable en ligne, etc.
Une fois l’outil maîtrisé, vous réaliserez le gain de temps qu’il peut générer.

De quoi avez-vous besoin?

Concrètement
L’ensemble des documents constituant votre offre sera généré et/ou chargé sur la plateforme.
Le formulaire de soumission sous format papier va donc disparaître. Ce document sera généré automatiquement sur base des données que vous encoderez sur le site.

Pour pouvoir introduire votre demande de participation/offre sur la plateforme, l’ensemble des documents réclamés par le pouvoir adjudicateur dans l’avis de marché/dans le cahier spécial des charges (DUME, déclaration sur l’honneur, offre de prix, documents relatifs aux critères d’attribution, etc) doivent être préalablement complétés et enregistrés sur votre ordinateur/clé usb.
Une fois que l’ensemble des données sont encodées et les documents chargés, vous devrez signer de manière électronique le rapport de dépôt. Il s’agit du seul document devant faire l’objet d’une signature électronique. Ce qui signifie que vous ne devrez pas signer individuellement l’offre, ses annexes et le cas échéant, le DUME. Ces documents sont signés de manière globale par l’apposition d’une signature sur le rapport de dépôt.5 Ce rapport reprend: le statut de votre demande de participation/offre, le formulaire de soumission électronique, les noms, tailles, etc. des documents chargés et des documents supprimés ainsi que l’historique de votre dossier. La signature de ce rapport de dépôt pourra se faire notamment au moyen d’un lecteur de carte ID (d’autres moyens sont possibles, voir le manuel).

Pour mieux appréhender chaque étape du dépôt d’une demande de participation/offre sur e-tendering, une fiche technique est disponible sur le site
www.marchespublics-pme.be dans l’onglet “publications“.

Intéressé?
Hainaut Développement
Amandine BLANQUET
+32 65 342 619


 

1 Pour rappel, les seuils de publicité européenne sont les suivants: 5 548 000 € pour les marchés publics de travaux et 221 000 € pour les marchés publics de fournitures et services.
2 Pour plus d’informations relatives à la plateforme électronique des marchés publics “e-procurement”, voir article B2H n° 38.
5 Article 42 de l’arrêté royal du 18 avril 2017 relatif à la passation des marchés publics dans les secteurs classiques

La Fondation  pour  les  Générations  Futures  organise,  le 10  décembre  prochain  à  Bruxelles,  son premier  Future Generations  Summit .

Osez la  transition  vers  un  monde  plus  soutenable  et  Inspirez  votre  envie  de  changement  avec  la  rencontre  de 30  initiatives  de  terrain;  Coopéco, le lauréat de la cinquième édition du Prix Hainaut horizons  représentera le Hainaut.

3  ateliers  thématiques  et  une  conférence  dédiée au  pouvoir  transformateur de  l’argent intéressera  tous  ceux  qui  recherchent les dernières bonnes pratiques en matière de  finance  responsable  et  durable.   L’invité  principal  sera  David  Pitt-Watson  (UK),  auteur,  orateur,  et  expert  en  investissements  responsables.

Consultez le  programme  et  inscrivez-vous   avant  le  5  décembre!

Source : Future Generations  Summit – Hainaut horizons

PME NEXTParticipez à l’évènement incontournable des PME

15 novembre 2018

Quelles solutions pour les PME francophones face à la transformation digitale ?

En une après-midi, venez assister à 4sessions thématiques concrètes et 2 discours inspirants, bénéficiez des conseils  d’un panel d’experts et profitez d’un moment d’échange unique avec plus de 300 chefs d’entreprises dans un cadre enchanteur. Le but ? Donner les clefs des enjeux de demain pour les PME et devenir un véritable acteur de la transformation digitale pour ne plus la subir.

 

1 après-midi

Votre temps est précieux. Nous vous proposons un programme condensé qui couvre les enjeux les plus importants pour une PME en seulement une après-midi.

15 orateurs exceptionnels

Ils sont les meilleurs dans ce qu’ils font. Venez profiter des conseils de chacun dans son domaine de prédilection.

300 dirigeants de PME

Un networking de qualité. 300 dirigeants de PME seront présent. De quoi entretenir son réseau et se faire connaître rapidement.

Information et inscription : https://www.pmenext.be/

 

 

Quelles sont les possibilités d’accès aux marchés publics pour les TPME ?

Quelles sont les possibilités d’accès aux marchés publics pour les TPME ?

Chaque année, la commande publique représente plus de 40 milliards d’euros.

Marchés de travaux, de fournitures, de services… De l’architecte à l’entrepreneur, tous les métiers de la construction sont concernés !

Pourtant, de très nombreuses TPME pensent souvent, à tort, que les marchés publics ne sont réservés qu’aux grandes entreprises. Certes, répondre seul à un marché public n’est pas toujours envisageable. Mais il existe d’autres solutions, comme de s’associer à d’autres entités, ou de travailler en sous-traitance !

Pour sa deuxième édition des Rdv du bois, Ligne Bois vous invite à découvrir les alternatives qui s’offrent aux métiers de la construction en matière d’accès aux marchés publics ce 15 novembre dès 18h dans l’espace de rencontre Créagora.

DÉROULEMENT DE LA SOIRÉE

Les juristes Amandine BLANQUET et Virginie BOURGOIS (Hainaut Développement) vous informeront sur les possibilités d’accès aux marchés publics par regroupement ou sous-traitance.

Les entrepreneurs Laurent RICHE (Stabilame), Thomas SCORIER (TS Construct), Stéphane JOURDAIN (J2A), Luc ROSE (Rose’s Natural Homes) et Pierre-Antoine CORDY (Ney and Partners WOW) partageront avec vous leurs expériences. La Confédération Construction sera également présente pour apporter toutes les réponses à vos questions relatives aux procédures d’agréation en marchés publics.

Sachant que la foi peut renverser des montagnes, cette soirée sera agrémentée par la présence du mentaliste Benjamin GHISLAIN qui explorera avec vous les limites et le pouvoir de l’esprit humain.

Nous clôturerons ce rendez-vous par un moment convivial d’échanges et de networking autour d’un buffet et d’un open bar, accompagné du saxophoniste MR. CY SUPERSAX.

Avec le soutien de :

SD WORX

SONAMA

EVENT4BIZ

Réservez d’ores et déjà votre soirée car le nombre de places est limité !

Quand ? 15 novembre 2018 à partir de 18h00

Où ? Creagora – Rue de Fernelmont 40 – 5020 NAMUR

35€ HTVA pour les affiliés – 50€ HTVA pour les non-affiliés

 

Inscription : https://www.eventbrite.be/e/2e-rdv-du-bois-tickets-50395881438

Aller au contenu principal