Agence de Développement de l'Economie et de l'Environnement de la Province de Hainaut

Nous produisons encore trop de déchets Chaque jour, d’énormes quantités de déchets sont générées : déchets d’emballages, déchets d’objets défectueux et irréparables, déchets alimentaires, déchets industriels, etc. En France, la production de déchets s’élève à 345 millions de tonnes par an, soit 5,3 tonnes rapporté à chaque Français….

Source : Tous mobilisés pour la Semaine Européenne de Réduction des Déchets ! | France Nature Environnement

À Caminando, la rentrée des classes a plus de saveur que dans les écoles conventionnelles. Située en pleine nature, dans le Diois (Drôme), cette école pas comme les autres enseigne aux enfants les mathématiques, le français, mais aussi le jardinage, l’échange et la communication….

.Source : Cette école a tout compris : elle place la nature au centre de l’enseignement | Daily Geek Show

 

La Fondation “Mons 2025“, nouveau nom de la Fondation “Mons 2015“, dont la mission est notamment de perpétuer la dynamique culturelle de la Capitale Européenne de la Culture en 2015, a annoncé mardi la première Biennale “Mons 2018“. Le projet se veut citoyen et sera financièrement alimenté, entre autres, par un solde de quelque 5,2 millions d’euros de Mons 2015.

La Capitale Européenne de la Culture “Mons 2015” se projette dans le futur avec le nouveau nom de sa Fondation, “Mons 2025“, dont les administrateurs ont annoncé mardi, avec les instances de l’opérateur culturel montois, “Le Manège“, le lancement de “Mons 2018“. Dans deux ans, en effet, aura lieu la première “Biennale“, futur grand rendez-vous culturel montois, de dimension internationale et qui perpétuera la dynamique de “Mons 2015“….

Source : Mons, Capitale Européenne de la Culture en 2015, annonce la première biennale “Mons 2018”

Le réchauffement climatique abîme les océans comme jamais, diffusant des maladies aux animaux comme aux êtres humains et menaçant la sécurité alimentaire partout dans le monde, met en garde un rapport scientifique publié lundi.

Source : Des océans “malades” du réchauffement, préviennent des scientifiques – Environnement – LeVif.be

Si le monde des startups vous intéresse, vous n’êtes pas sans connaitre le phénomène NEST’up, ce programme d’accélération propulsé par Creative Wallonia en 2012 et qui a déjà vu naître plusieurs startups à succès comme Do eat, SortList, Koalect, I Love Climbing ou encore le regretté Take Eat Easy. NEST’up à Charleroi Cette nouvelle édition du NEST’up s’installera dans les locaux […]

Source : NEST’up, le booster belge de startups innovantes débarque à Charleroi – Blog de Technofutur TIC

 

Enfiler des lunettes connectées, regarder ses cultures, et savoir en quelques secondes si elles sont malades, de quoi elles souffrent et quel soin leur apporter: l’agriculteur de demain sera-t-il un geek accro à internet?

Ce qui existe et ce qui existera demain

Ce n’est pas pour demain”, reconnaît Pascaline PIERSON, responsable de la “digiferme” installée par Arvalis-Institut du végétal à Saint-Hilaire-en-Wöevre (Meuse). “Mais sans doute pour après-demain”.

Sur cette ferme expérimentale, entourée d’ingénieurs et de techniciens, elle teste ce qui pourrait être l’agriculture de demain: ultra-connectée, moins pénible, mais aussi plus écologique. “Il y a trois niveaux de recherche”, explique Mme PIERSON: “tester l’existant, tester ce qui peut exister demain, et faire de la recherche et du développement”.

C’est via ce troisième axe que sont nées les lunettes connectées, qui permettent notamment de garder les mains libres en envoyant directement les données par commande vocale. La recherche porte aussi beaucoup sur les solutions de pâturages, la ferme comptant quelques 55 têtes de bétail.

Aujourd’hui, la hauteur de l’herbe, ça se mesure à la main”, explique Mme PIERSON. “Notre ambition, c’est de trouver le bon capteur – laser, infrarouge… – qui permette de mesurer”. Et d’imaginer un agriculteur qui attacherait l’outil à ses bottes et saurait, uniquement en se promenant dans ses prés, combien de temps il peut encore laisser ses vaches paître à tel ou tel endroit….

Source: Les fermes connectées, futur de l’agriculture?

source : https://mrmondialisation.org/espagne-succes-dune-cooperative-productrice-denergies-renouvelables/

Déjà très en avance dans le secteur de l’alimentation biologique depuis les années 1990 avec une baisse drastique des prix des produits bio qui a indiscutablement stimulé les ventes, sensibilisé la population et promu l’agriculture biologique dans tout le pays et favorisé les exportations, le Danemark veut aujourd’hui enfoncer le clou et devenir le premier pays européen avec une agriculture 100% écologique.

 

Source : Le Danemark en route vers une agriculture 100% biologique

 

Une ferme en maraîchage, cultivée en permaculture de façon intensive, sans investissement excessif, permet de dégager un salaire décent, en effectuant un nombre d’heures raisonnable dans la profession. Une étude de l’Institut national pour la recherche agronomique (Inra) en fait la démonstration.

Une très petite ferme, essentiellement cultivée à la main, permet à une personne en statut agricole de produire une profusion de fruits et de légumes, de vivre décemment, sans être écrasée de travail. C’est François Léger, enseignant-chercheur à l’Inra et à Agro Paris-Tech[1] qui l’écrit, dans un rapport consacré à l’expérience menée depuis 2006 au Bec Hellouin (Eure). Cette ferme de 20 hectares (dont 12 ha de bois, 4.000 à 7.000 m2 de cultures maraîchères, des pré-vergers et des forêts-jardins[2]) a été popularisée par le film «Demain», dans lequel ses concepteurs exposent notamment les principes de la permaculture. Elle est surtout devenue un objet d’études, pour tenter de produire des données techniques et économiques sur une tendance encore marginale, mais qui se répand ces dernières années: l’installation en maraîchage sur de très petites surfaces, avec des investissements limités.

Source : Agriculture: travailler moins, gagner plus, en produisant mieux – Journal de l’environnement

Les entreprises de moins de cinq ans contribuent à près de 40 % des créations d’emploi en Belgique. Cela mérite sans doute de réfléchir à un ciblage des aides publiques selon l’âge de l’entreprise.

a Banque nationale, le Bureau du Plan, la Commission européenne, tout le monde annonce la création de dizaines de milliers d’emplois en Belgique. Mais quelles entreprises créeront ces emplois ? La réponse s’attarde souvent sur les secteurs d’activité. L’OCDE a choisi d’observer plutôt l’âge des entreprises. Son constat est cinglant : dans les économies développées, les créations d’emploi proviennent surtout des jeunes entreprises. Les PME de moins de cinq ans fournissent 16 % de l’emploi total mais jusqu’à 40 % des nouveaux emplois. En Belgique, le ratio est encore plus favorable aux starters : 10 % de l’emploi total et 38,8 % des nouveaux emplois.

Source : Les start-up dopent l’emploi belge – Entreprises – Trends-Tendances.be

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