Agence de Développement de l'Economie et de l'Environnement de la Province de Hainaut

 

Les forêts publiques wallonnes plus facilement vendues à des particuliers ou des investisseurs, ce n’est pas pour tout de suite. La levée de boucliers d’une quinzaine d’associations, essentiellement environnementales, a été entendu par le gouvernement régional, qui va demander le gel d’une proposition de décret pourtant adoptée il y a quelques jours en commission du parlement wallon. Explications.

Sonnette d’alarme

Ce texte co-signé par 4 députés PS et cdH, c’est une modification du Code forestier. Il s’agit, notamment (et pour faire simple), de faciliter la vente de pans de forêts appartenant en partie ou totalement à la région, en donnant les pleins pouvoirs au gouvernement, sans devoir passer par le parlement.

C’est technique, mais en substance, la Wallonie pourrait ainsi se séparer de centaines ou de milliers d’hectares de la forêt d’Anlier, de la forêt de Baudour, de la forêt de la Vecquée à Seraing et Neupré, ou encore de la forêt d’Herbeumont, pour ne citer que quelques exemples….

Source : Le projet de privatisation d’une partie des forêts wallonnes est reporté

Bourse de préactivité, bourse à l’innovation, primes e-business… toutes ces «petites» primes à l’entreprise disparaissent dans leur état actuel ce 31 décembre. Pour être remplacées par quoi?

Les entrepreneurs qui veulent introduire leur dossier en ligne découvrent, étonnés, que la prime qu’ils comptaient solliciter disparaît tout simplement fin 2016. Et qu’ils n’ont aucune garantie que les heures passées à formaliser leur demande puissent déboucher sur un quelconque résultat. Certes, dans le cadre de son vaste Plan PME, le ministre régional de l’Économie a plusieurs fois annoncé son intention – très louable – de simplifier le régime d’aides actuels. Mais la Région wallonne ne brille pas par sa communication proactive sur ce dossier. Même les professionnels de l’accompagnement (incubateurs, centres d’innovation, etc.) sont dans le brouillard. Un « plan de communication » est prêt à être enclenché, mais il dépend encore de l’issue de discussions (budgétaires) essentielles ces prochains jours sur les plafonds et taux d’intervention…

Source : Primes wallonnes: le grand chambardement | Entrepreneuriat – lesoir.be

Source : Merbes-le-Château: projet pilote de tri des déchets organiques – Édition digitale de Charleroi

Avec une équipe internationale de 80 chercheurs, le professeur Marielle Saunois vient de publier le premier bilan complet des émissions de méthane sur Terre. Selon elle, diminuer les émissions de ce gaz polluant est nécessaire et loin d’être impossible.

Le méthane pourrait bien devenir le nouvel ennemi numéro 1. Car si ce gaz polluant contribue pour 20% ‘seulement’ au réchauffement climatique -là où le CO2 en est responsable à 80%- il est 28 fois plus réchauffant que le CO2 sur 100 ans. Or les émissions de méthane sont en pleine augmentation depuis 2006 et explosent carrément depuis 2014. Bref, si l’on veut contenir le réchauffement sous 2°C supplémentaire, l’ambitieux seuil fixé fin 2015 lors de la Cop21 à Paris, la lutte contre les diffusions de méthane doit devenir prioritaire.

LIRE AUSSI >> Climat: la flambée des émissions de méthane inquiète les chercheurs

C’est ce qu’explique l’Inaugural global methane budget, une étude dressant pour la première fois un bilan complet des émissions de méthane sur Terre. L’occasion d’interroger Marielle Saunois, enseignante-chercheuse en physique-chimie de l’atmosphère au LSCE-IPSL, principal auteur de l’étude menée par plus de 80 chercheurs de 15 pays et publiée dans le journal Earth System Science Data.

D’où vient le méthane? …..

Source : “Les solutions pour baisser les émissions de méthane existent” – L’Express

 

Fabriquer un chocolat personnalisé, coacher les coureurs à pied avec une application smartphone, transformer une ancienne caravane en une infrastructure événementielle, vivre un jeu virtuel en grandeur nature, coupler un lavabo et un urinoir. Voici les activités exercées par les cinq start-up lauréates du forum Mind&Market dont l’objectif est de récompenser les projets innovants. Elles sont toutes du Hainaut….

Source : Hainaut : cinq géniaux innovateurs récompensés – nordeclair.be

 

La majorité des salariés connaissent peu la stratégie de RSE au sein de leurs entreprises, mais s’ils en étaient mieux informés, ils seraient prêts à s’engager plus, d’après une étude réalisée par Ekodev et Des Enjeux et des Hommes. En partenariat avec l’institut de sondage ViaVoice, ils ont interrogé plus de mille salariés sur leur perception de la RSE.

La responsabilité sociétale des entreprises ou RSE est l’idée selon laquelle les entreprises doivent “contribuer au développement durable” en intégrant les préoccupations sociales, environnementales et économiques dans leurs activités.

De plus en plus d’entreprises passent aujourd’hui d’une RSE “subie” ou “pour la com à une RSE active devenant stratégique pour leur business, l’innovation, l’attraction et la rétention des talents. Oui mais voilà, les contours de la RSE sont flous et cette notion est encore trop méconnue des salariés eux-mêmes et du grand public. D’où l’intérêt d’y voir plus clair avec des études comme celle-ci….

Source: http://www.socialter.fr/fr/module/99999672/317/les_salaris_prts__simpliquer_plus_dans_lentreprise_responsable_malgr_une_mconnaissance_de_la_rse_

C’est ce que montre l’ étude d’une scientifique australienne.Une nouvelle étude étonnante menée par une scientifique australienne Monica Gagliano vient ébranler notre conception de la végétation. Elle a démontré qu’un type de plante, le mimosa pudica, était capable d’intégrer des informations et de les retenir pendant plusieurs semaines. Cette découverte étonnante remet en question l’idée que les végétaux ne disposent pas d’une forme d’intelligence.

Le mimosa pudica a la particularité de fermer ses feuilles quand un élément extérieur vient le perturber ou le toucher. Les scientifiques y voient une technique de protection d’autodéfense face aux prédateurs. Pour Monica Gagliano, professeure de biologie à l’Université d’Australie Occidentale, la particularité de ce végétal était surtout un moyen de tester son intelligence. Pour ce faire, la chercheuse a mis au point une sorte d’ascenseur à sensations fortes pour le mimosa. L’objectif : tester si celui-ci réagit en rétractant ses feuilles. Ce fut le cas….

Source : Les plantes ont une mémoire – DH.be

La Commission européenne a donné son feu vert au financement belge de la production d’énergie en mer. Selon la Commission, le soutien aux projets éoliens Norther et Rentel et le système de certificats de la CREG pour l’énergie en mer sont compatibles avec les lignes directrices européennes concernant les aides d’Etat à la protection de …

Source : La Belgique va investir dans la production d’énergie en mer | Metro

 

La «COP13 biodiversité» se tient ces jours-ci au Mexique dans l’indifférence générale, alors que les espèces disparaissent à un rythme inquiétant. Entretien avec Yann Laurans, économiste et spécialiste du sujet à l’Institut du développement durable et des relations internationales (Iddri).

Un mois après la tenue à Marrakech de la COP 22 (la 22conférence de l’ONU sur les changements climatiques), le monde se réunit à nouveau pour parler d’environnement. Mais cette fois-ci, cela se passe à Cancún, au Mexique. Et cette fois-ci, il est question de biodiversité. La 13conférence des parties de la Convention sur la diversité biologique, surnommée «COP 13 biodiversité», s’est ouverte dimanche et se tient jusqu’au 17 décembre. Dans l’indifférence générale. Pourtant, les espèces et écosystèmes disparaissent à un rythme ahurissant et inédit. Dernière illustration en date : le caribou et le papillon monarque désormais «en voie de disparition». L’urgence est là, autant que sur le climat. Et les enjeux sont au moins aussi cruciaux, les deux sujets étant d’ailleurs liés. Entretien avec Yann Laurans, directeur biodiversité à l’Institut du développement durable et des relations internationales (Iddri), à Paris.

Une COP biodiversité, est-ce l’équivalent d’une COP sur le climat ?

Oui, elle découle des trois conventions signées à Rio durant l’historique Sommet de la Terre de 1992. Il y en a une sur le climat, une sur la désertification, et celle-ci, sur la diversité biologique. Cette convention réunit presque toute la planète, à l’exception des Etats-Unis, George Bush Sr ne l’ayant pas fait ratifier. Par celle-ci, nos gouvernements se sont engagés à arrêter la destruction de notre patrimoine naturel commun. Ils se retrouvent tous les deux ans, contre tous les ans pour les conférences climat.

Que peut-on en attendre de cette COP ?

A la fois pas grand-chose et beaucoup. Pas grand-chose parce que cette convention laisse toute latitude aux Etats de mener leurs politiques. Beaucoup parce que pendant ce type d’événement, la communauté internationale forge ses idées communes sur ce que doit être la politique de la biodiversité. Et de manière diffuse, ces idées influent sur les politiques des gouvernements en matière de conservation, de développement, de recherche. Plusieurs sujets sont apparus durant les COP du passé, qui ont fait l’objet de négociations poussées et d’engagements croissants. Par exemple, la reconnaissance des droits des peuples indigènes et des communautés locales à être associés à toute utilisation du patrimoine biologique et génétique qui se trouve sur leurs terres, et qui a donné lieu, en France, à certaines des dispositions de la récente « loi biodiversité ». Ou bien l’utilisation des instruments économiques pour rémunérer les acteurs qui font des efforts pour la biodiversité.

Les précédentes COP n’ont pourtant pas permis d’enrayer la perte de biodiversité…

Source : Environnement : «Notre alimentation est la clé majeure pour protéger la biodiversité» – Libération

 

 

VLa Commission européenne a décidé mercredi que la législation existante de l’UE sur la protection de la nature et de la biodiversité ne sera pas remise à plat, une victoire pour les défenseurs de l’environnement après deux ans de campagne acharnée.

L’exécutif européen, soucieux d’alléger certaines charges administratives dans les domaines concernés, avait lancé en 2014 l’examen des directives Oiseaux (datant de 1979) et Habitats (1992), deux grands textes fondateurs de la protection de la nature en Europe.

“La Commission va développer un plan d’action pour corriger les carences rencontrées dans l’application” des deux directives, a expliqué le porte-parole de la Commission Margaritis Schinas lors d’un point presse.

Le passage en revue des directives avait donné lieu à une mobilisation sans précédent des défenseurs de l’environnement, avec la formation d’une coalition de 200 ONG dans les différents pays membres de l’UE….

Source : VICTOIRE pour les défenseurs de l’environnement: la loi sur la protection de la nature ne changera pas – RTL Info

Aller au contenu principal