Agence de Développement de l'Economie et de l'Environnement de la Province de Hainaut


REScoop Wallonie: Zoé a appris un beau mot : coopération. Mais qu’est-ce que ça veut dire exactement ? Comment ça marche, une coopérative ? Découvrez-le avec Zoé…

#Hainaut-Développement apporte son soutien à l’organisation du 1er salon « Vins et gourmandises de Wallonie les 19 et 20/11 à l’ancien terminal de l’aéroport de #BSCA.

 

REScoop Wallonie

Zoé a appris un beau mot : coopération. Mais qu’est-ce que ça veut dire exactement ? Comment ça marche, une coopérative ?

Découvrez-le avec Zoé… www.rescoop-wallonie.be #RESco

 

 

La COP 22 a fait le point sur les efforts entrepris depuis un an pour stopper la déforestation. Si des initiatives ont bien été prises, il n’est pas certain que plus un hectare de forêt ne disparaisse en 2030.

ALLIANCES. L’objectif de zéro déforestation en 2030, l’an dernier à la COP21 de Paris, tout le monde l’a réclamé : ONG bien sûr, mais aussi industriels (de l’huile de palme ou du bois d’œuvre), financiers et Etats. Et puis tout le monde est rentré chez soi. Que s’est-il passé depuis ? Pas mal de choses a affirmé mardi à Marrakech des représentants d’Etats les mieux lotis en couverts forestiers. « La mise en place d’alliances entre entreprises privées, communautés autochtones et ONG ont permis de sacraliser la protection de 125 millions d’hectares de forêts, ce qui nous met en ligne pour atteindre 350 millions d’hectares en 2030 », a affirmé Stewart Maginnis, directeur du programme forêt à l’UICN. Cette protection permet de stocker 1,6 milliard de tonnes de CO2 par an, soit 30 milliards de tonnes d’émissions évitées entre 2011 et 2030. Par ailleurs, 114 Etats ont inclus des objectifs de protection de leurs forêts dans leurs contributions nationales de réduction de gaz à effet de serre, ce qui équivaut à 160 millions d’hectares protégés supplémentaires….

Source : La mise en œuvre de l’accord de Paris ambitionne de cesser la déforestation – Sciencesetavenir.fr

A l’occasion de la Journée mondiale de la science au service de la paix et du développement, zoom sur les végétaux qui transforment le CO2 en calcaire.

Les végétaux dits « oxalogènes » ont la propriété de transformer, avec l’aide de champignons et de bactéries, le CO2 en calcaire. A Haïti, grâce au projet « Arbres sauveurs », des milliers des noyers Maya oxalogènes ont été plantés avec un triple but : permettre la reforestation, lutter contre le changement climatique par la captation du CO2 et apporter une source de nourriture à des populations en insécurité alimentaire grâce aux noix de ces arbres, qui peuvent être transformées en farine. Explications dans une vidéo proposée par Universcience.tv dans le cadre de la Journée mondiale de la science au service de la paix et du développement, jeudi 10 novembre.
En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/sciences/video/2016/11/10/ces-arbres-sauveurs-qui-stockent-le-co2-dans-le-sol_5028808_1650684.html#zK874EA4HVhHeC2v.99

Source : Ces arbres « sauveurs » qui stockent le dioxyde de carbone dans le sol

concours

Journée de l’arbre 27/11 J-1 mois !!!

Concours photo sur le thème de l’arbre

L’érable au fil des saisons

 

Dans le cadre de la journée de l’arbre qui se tiendra le dimanche 27 novembre 2016, Hainaut Développement lance un concours photo autour du thème de l’arbre avec un focus sur l’érable à l’honneur cette année.

Le concours permettra de désigner 2 lauréats :

  • Le prix du Like sera décerné à la photo d’un arbre qui aura obtenu le plus de “J’aime” sur la page Facebook de l’événement “Journée de l’Arbre et des Saveurs locales 2016”
    ⇒Le gagnant du prix du Like recevra un Pass Accrobranches pour 4 personnes
  • Le prix du jury Hainaut Développement récompensera la plus belle photo d’un érable
    ⇒Le gagnant du prix du jury recevra un érable d’une valeur de 150€

Conditions de participation :

  • Poster une photo d’un arbre de manière générale ou plus particulièrement d’un érable sur la page Facebook de l’événement “Journée de l’Arbre et des Saveurs locales 2016” du 27 octobre au 20 novembre 2016 inclus en mentionnant le hashtag #jda2016
  • Partager la page de l’événement “Journée de l’Arbre et des Saveurs locales 2016” et inviter vos amis à liker votre photo
  • Accepter de laisser les droits d’utilisation de votre photo à Hainaut Développement
  • S’engager à fournir le fichier photo en haute définition pour les 2 lauréats
  • Résider en Belgique

Une seule photo sera autorisée par participant.

La page du concours : https://www.facebook.com/events/547093382150212/

Le règlement du concours est disponible via le lien suivant: https://www.hainaut-developpement.be/hdtemp/newsletters/HD/2016/jda/Reglement.pdf

 

 

Au-delà de l’apparent consensus politique sur la nécessité d’accélérer la lutte contre le changement climatique, le monde économique est-il réellement en train d’opérer un tournant vers un modèle de moins en moins émetteur de CO2? Des signaux vont dans le bon sens, d’autres non.

Des signaux encourageants:

– MAITRISE DES ÉMISSIONS

Les émissions du secteur énergétique (2/3 des émissions mondiales) ont stagné en 2015 pour la 2e année consécutive, avec une croissance économique mondiale de 3%, confirmant l’amorce d’un découplage.

– RECORDS DANS LES RENOUVELABLES

Avec 286 milliards de dollars investis et 153 nouveaux gigawatts installés, 2015 a été une année record pour les énergies renouvelables, notamment dans les pays émergents. Les prévisions pour 2020 ont été revues à la hausse. Elles représentent actuellement 15% de la production d’énergie et 23% de la production d’électricité.

– CHUTE DU COUT DU SOLAIRE

Entre 2009 et 2015, le coût du solaire a chuté de 80%. Cette énergie est devenue compétitive par rapport au gaz et au charbon dans certains pays (Chili, Emirats, Inde, etc.). Une centrale à Abou Dhabi détient le record du mégawattheure solaire le moins cher: environ 23 dollars.

– PRODUIRE EN CONSOMMANT MOINS

Selon l’Agence internationale de l’énergie, l’intensité énergétique (quantité d’énergie par unité de PIB), ne cesse de baisser (- 1,8% en 2015), une conséquence des 221 milliards d’euros investis dans l’efficacité énergétique l’an dernier…..

Source : Climat: le match entre l’économie verte et les énergies fossiles – La Libre.be

Selon une étude de l’ONG Nature Conservancy, en investissant à peine 3,6 euros par habitant dans la plantation d’arbres, les villes pourraient sauver entre 11 000 et 37 000 vies par an.

Développement du réseau de transports en commun, des services d’autopartage, aménagement de pistes cyclables, de zones piétonnes, restriction de la circulation dans le centre-ville, couverture de voies rapides… Les villes se montrent de plus en plus soucieuses d’améliorer la qualité de l’air sur leur territoire. Dans le même temps, sous l’effet du changement climatique, elles sont appelées à connaître des épisodes caniculaires de plus en plus fréquents et de plus en plus intenses.
En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/planete/article/2016/11/03/les-arbres-rafraichissent-l-air-des-villes-tout-en-reduisant-leur-pollution_5024971_3244.html#k9IAbPg14yXGlZDw.99

Source : Les arbres rafraîchissent l’air des villes tout en réduisant leur pollution

La réglementation qui définit les conditions d’utilisation des produits phytosanitaires va faire l’objet d’une révision d’ici la fin de l’année notamment la partie concernant l’agriculture bio. Une réforme qui fait débat.

A partir du 6 janvier prochain, la réglementation européenne concernant l’application des produits phytosanitaires en France arrive à son terme. La Commission, le Parlement et le Conseil européen se réunissent, en ce moment, à huis clos pour établir un nouveau règlement d’ici la fin de l’année. Cette nouvelle réforme inquiète les associations environnementales.Il y a peu de temps encore, l’Europe avait envisagé d’assouplir ses critères pour l’obtention d’un label bio. L’agriculture biologique risque de perdre la qualité sanitaire et l’intégrité de ses produit. Un marché du bio qui risque d’être contestée tandis qu’elle connaît une forte progression depuis quelques années.

Vers une réglementation plus indulgente ?

Adoptée en 2007, la réglementation sur les OGM et pesticides proposée par la député européen, Christine Lagarde, autorise la présence de ces derniers à hauteur de 0,9% dans les produits bio. On estime qu’en dessous de 1%, la présence d’OGM et pesticides n’est que sous forme de traces. Aujourd’hui encore, les produits labellisés biologiques respectent, tous sans exception, cette réglementation.

Pourtant, une nouvelle réglementation sur l’utilisation des produits phytosanitaires risque de  bouleverser l’avenir de l’agriculture biologique. Les institutions européennes s’interrogent sur l’éventuelle instauration d’un seuil de produits non autorisés (OGM et pesticides) qui aujourd’hui, pourtant, fait perdre la certification bio d’un produit. Une question qui vient heurter les pratiques de l’agriculture biologique et provoquer de virulentes réactions au sein des associations environnementales…

Source : L’Europe envisage d’instaurer des seuils de pesticides dans l’agriculture bio | Bio à la une

 

La capitale du Grand-Duché, avec ses 22.000 arbres, est la ville la plus boisée du continent. Pour les gérer, Luxembourg a fait appel à la technologie de geoVAL.

L’écran de l’ordinateur de Roland Kirch se remplit de cercles. De grands cercles, de petits cercles, chacun d’une couleur différente, et chacun contenant un chiffre. Bienvenue au bureau d’enregistrement des arbres de la ville de Luxembourg. Avec ses 111.000 habitants, la capitale du Grand-Duché abrite à présent quelque 20.000 arbres, et Kirch, qui est responsable de la gestion des arbres au Service des parcs de la ville, en ­connaît beaucoup personnellement.

La ville de Luxembourg, qui s’étend sur une superficie d’environ 5.000 hectares, peut se vanter d’avoir à peu près 970 hectares de forêt, ce qui est une proportion unique en Europe. Les équipes travaillant avec Roland Kirch s’occupent sans relâche de prendre soin des arbres de la ville, en particulier ceux qui bordent les rues et les terrains de jeux, ainsi que ceux qui poussent dans les parcs et d’autres endroits fréquentés par les piétons. En tant qu’inspecteur arboricole certifié, il sait combien il peut être difficile de déterminer si un arbre est malade ou pas. « Ainsi, l’anthracnose (Kretzschmaria deusta) ne peut pas toujours être identifiée de l’extérieur », commente l’expert. « Le champignon détruit l’arbre de l’intérieur, et peut l’affaiblir à un tel point qu’il arrive que l’arbre tombe soudain, sans prévenir. » Dans de tels cas, des appareils de tomographie sonore sont utilisés….

Source : Quand le numérique gère les arbres de la ville de Luxembourg, Énergie – Environnement

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