Agence de Développement de l'Economie et de l'Environnement de la Province de Hainaut

Après le succès de l’édition 2015 qui s’est tenue dans le cadre de Mons 2015 – Capitale européenne de la Culture, CULTURALLIA revient, en 2018, dans une édition spécialement dédiée au partenariat transfrontalier, dans le domaine des industries culturelles et créatives.

L’originalité du concept de CULTURALLIA est la rencontre entre le monde de l’économie et celui de la culture au travers de l’organisation d’un forum B2B.

CULTURALLIA 2015 avait rassemblé plus de 400 participants d’une vingtaine de pays / régions et avait planifié plus de 3 400 rendez-vous B2B.

L’édition 2018 qui se déroulera les 4 et 5 octobre 2018 à Mons au Centre des Congrès (MICX), est co-organisée par Hainaut Développement et les partenaires des projets Interreg V France-Wallonie-Vlaanderen, PROGRES et PROTOPITCH 3.0, et s’intègrera dans le programmation de la biennale culturelle de “Mons 2018”.

Le domaine des industries culturelles et créatives comprend une multitude de secteurs, comme l’imprimerie, l’édition, la communication, la publicité, les médias, l’audiovisuel, le cinéma, la musique, les concerts, les festivals, l’enseignement, la formation, le gaming, le serious game, les arts de la scène, la danse, le théâtre, les techniques de sons et lumière, les arts graphiques, les arts plastiques, l’architecture, le design, la mode, la création, les musées, le tourisme, le patrimoine, les attractions, le multimédia, les images, la photographie, l’événementiel,…

Le forum s’étendra sur 2 jours avec au programme le jeudi: une conférence sur “L’intégration du design en entreprise” présentée par la Maison du Design, une conférence sur le “Punk Management” animée par Alain Leduc, une table ronde transfrontalière avec des témoignages, la visite de l’exposition “Niki de Saint-Phalle. Ici tout est possible” (au BAM), sans oublier les moments de networking tout au long de la journée.

La journée du vendredi, quant à elle, sera consacrée aux rendez-vous d’affaires préprogrammés établis sur base d’un catalogue des participants et de leurs choix de rendez-vous.

Le forfait de participation au programme complet du forum, comprenant aussi tout le catering, s’élève à 250 euros HTVA (hors hébergement).

L’objectif est de réunir quelque 200 participants belges et français pour 2 journées d’échanges autour des industries culturelles et créatives.

Participer à CULTURALLIA, c’est bénéficier d’un programme de rendez-vous personnalisé, développer son réseau d’affaires, favoriser les échanges entre le monde culturel et le secteur économique, faire connaître sa technologie, ses compétences et son savoir-faire.

 

Toutes les infos et inscription: www.culturallia.com

 

Après une première édition organisée dans le cadre de Mons 2015, Capitale européenne de la Culture, “Culturallia” reviendra à Mons les 4 et 5 octobre 2018, ont annoncé mardi les organisateurs de Hainaut Développement. L’originalité du concept est la rencontre entre le monde de l’économie et celui de la culture.

Trois ans après sa première édition, Culturallia reviendra à Mons les 4 et 5 octobre au Centre des Congrès (MICX) de Mons. L’événement sera co-organisé par Hainaut Développement et les partenaires des projets Interreg V France-Wallonie-Vlaanderen, “PROGRES” et “PROTOPITCH 3.0”. Culturallia 2018 s’intègrera dans la programmation de la biennale culturelle de “Mons 2018”.

En 2015, l’événement avait rassemblé plus de 400 participants d’une vingtaine de pays et régions et avait planifié plus de 3.400 rendez-vous B2B. L’objectif pour 2018 est de réunir quelque 200 participants belges et français pour deux journées d’échanges autour des industries culturelles et créatives.

Culturallia a pour ambition de faire se rencontrer les mondes de l’économie et de la culture dans le contexte du développement du secteur des industries culturelles et créatives. Ce secteur comprend de nombreux domaines: le cinéma, la musique, les concerts, les festivals, l’enseignement, la formation, le gaming, le serious game, les arts de la scène, la danse, le théâtre, les techniques de sons et lumière, les arts graphiques, les arts plastiques, l’architecture, le design, la mode, la création, les musées, le tourisme, le patrimoine, les attractions, le multimédia, les images, la photographie, ou encore l’événementiel.

Concrètement, les entreprises participant à Culturallia décrivent leur profil dans un catalogue en ligne et un planning de rendez-vous d’affaires est établi avec les autres participants dans le but de générer des partenariats de développement.

Pour plus d’informations: www.culturallia.com.

Source : Le monde de l’économie rencontrera celui de la culture à Cul… (Mons) – Communes, régions, Belgique, monde, sports – Toute l’actu 24h/24 sur Lavenir.net

De nouvelles règles de certification et de contrôle des produits alimentaires bio vont entrer en vigueur dans l’Union européenne en 2021, après leur approbation jeudi par les députés européens à Strasbourg.

A 466 voix favorables (124 contre), les eurodéputés ont validé, avec quelques amendements, un accord arraché fin juin 2017 entre le Parlement européen et le Conseil de l’UE après plus de trois ans de négociations.

Cet accord, qui doit encore recevoir l’aval purement formel des ministres de l’UE en mai avant de s’appliquer à partir de janvier 2021, vise à renforcer les contrôles le long de la chaîne d’approvisionnement.

Cela doit notamment permettre de garantir que les produits biologiques importés pour pouvoir faire face à l’appétit croissant des consommateurs européens pour le bio soient conformes aux normes de l’UE.

C’est une bonne nouvelle pour les paysans bio, pour les consommateurs et pour l’environnement“, s’est réjoui l’eurodéputé écologiste José Bové.

Un autre enjeu de cette nouvelle réglementation est de faciliter la conversion d’agriculteurs européens vers le bio. Ainsi les petits producteurs pourront obtenir une certification de groupe afin d’économiser temps et argent. L’approvisionnement en semences biologiques et animaux doit être augmenté.

Les agriculteurs seront par ailleurs contraints d’appliquer “un ensemble de nouvelles mesures pour éviter la contamination” par des pesticides chimiques ou des engrais synthétiques, au risque de perdre le statut de produit biologique, explique par ailleurs le Parlement européen.

Néanmoins la question sensible des seuils de pesticides acceptables n’a pas été résolue dans cette révision, face à des avis et des législations très différents selon les Etats.

Le collectif IFOAM-EU, basé à Bruxelles, qui regroupe les différents acteurs de la chaîne de production bio, a estimé, dans un communiqué, qu'”un nombre de points devaient encore être clarifiés” pour s’assurer que cette nouvelle réglementation “soit applicable au travail quotidien de toutes les parties de la chaîne de production du bio“.

Selon ce collectif, l’agriculture bio occupait en 2016 6,7% des terres agricoles européennes et les ventes de produits bio ont atteint 30,7 milliards d’euros, avec une vive…

Source : De nouvelles règles pour l’alimentation bio en Europe dès 2021, avec des contrôles renforcés

Vous avez une idée ? Osez la concrétiser ! Vous avez un projet ? Faites-le décoller !

Et pour vous y aider, Creative Valley met un réseau et des outils créatifs à votre disposition.

Comment ? Le 25 avril, passez une ou deux heures, ou toute la journée pour expérimenter les différentes étapes du parcours de l’entrepreneur, de la transformation d’une idée au projet concret. Venez rencontrer les entrepreneurs qui sont passés par ces étapes et partagez les bonnes (et mauvaises) expériences. Découvrez aussi qui, parmi les partenaires et la communauté de Creative Valley, peut vous donner un coup de pouce, comme ils l’ont fait pour les porteurs de projets que vous découvrirez tout au long de la journée. L’occasion aussi de tester les outils et les bonnes pratiques pour aller plus loin dans vos projets.

Quoi ? Beaucoup de partages d’expériences, une conférence d’un artiste entrepreneur, des sessions d’informations pratiques sur des thématiques-clés comme le numérique, les initiatives sociétales, l’économie circulaire, l’underground (Makers/artistes), l’échec… et une soirée speed-dating.

Pourquoi ? Démystifier l’entrepreneuriat, le rendre accessible à tous… et booster le désir d’entreprendre quel que soit le domaine d’activité !

Pour qui ? Porteurs de projets et entrepreneurs de secteurs variés, commerçants, citoyens, startup, personnes en reconversion, étudiants, artistes, profs, indépendants complémentaires,…

Où ? Anciens Abattoirs de Mons (rue de la Trouille 17 – 7000 Mons)

Quand ? Mercredi 25 avril, entre 8h30 et 21h30. Vous consultez le programme et identifiez le ou les moments de la journée qui vous intéressent.

Gratuit sur inscription : https://goo.gl/yJQ7zf

 

Source : Creative Valley • Agenda

La Commission européenne annonce de nouveaux garde-fous censés garantir une meilleure transparence lors de l’examen de cas liés à la sécurité alimentaire et la délivrance d’autorisations.

 

Selon la Commission européenne, ces nouvelles mesures relatives à la sécurité alimentaire inaugurent « une nouvelle donne pour les consommateurs ».

 

EFSA : l’UE pourra mener ses propres études

Lait infantile contaminé, oeufs contenant du fipronil, viande de cheval au lieu du boeuf dans les steaks hachés… Les scandales alimentaires n’ont pas manqué ces dernières années ! S’y ajoute une profonde insatisfaction qu’une certaine catégorie de la population éprouve à l’égard de l’autorisation pour 5 ans supplémentaires du glyphosate, une décision prise dans des conditions que certains auraient souhaitées plus transparentes.

 

La Commission européenne se saisit donc de la question et propose de nouveaux procédés. Premier pilier de ce chantier : l’EFSA (Autorité européenne de sécurité des aliments), l’agence de l’UE chargée de la délivrance d’autorisations dans le secteur alimentaire, prenait jusqu’ici ses décisions sur la base d’études commandées et financées par les industriels eux-mêmes.Désormais, « dans des cas exceptionnels », des études complémentaires et financées par le budget de l’UE pourront être commandées par l’EFSA.

Les études défavorables pour les industriels ne pourront plus être dissimulées

Autre nouveauté : lors de l’examen de leurs dossiers par l’EFSA, les industriels devront lui soumettre l’ensemble des études portant sur la question, et non plus uniquement les études qu’ils estiment pertinentes. Ce garde-fou est censé empêcher les industriels de dissimuler les résultats des études qu’ils pourraient juger désavantageux pour leurs intérêts. D’autre part, les avis scientifiques formulés par l’EFSA devraient désormais être mieux expliqués, de façon à ce qu’ils soient le plus compréhensibles possible par les consommateurs….

 

Source : Sécurité alimentaire : à la Commission européenne, la EFSA annonce de nouvelles mesures

Pour nourrir le monde tout en sauvant la planète du réchauffement, l’ONU encourage désormais l’agroécologie, un tournant historique après plusieurs décennies de “révolution verte” basée sur l’agriculture intensive pour lutter contre la faim dans le monde.

Des systèmes alimentaires durables

Nous avons besoin de promouvoir des systèmes alimentaires durables (…) et de préserver l’environnement: l’agroécologie peut aider à y parvenir“, a déclaré mardi le directeur-général de l’Agence des Nations unies pour l’agriculture et l’alimentation (FAO) José Graziano da Silva, en ouverture du deuxième symposium international sur l’agroécologie à Rome.

Le système de production alimentaire basé sur des systèmes agricoles utilisant beaucoup d’intrants et de ressources a eu un prix élevé pour l’environnement. Le résultat a été que les sols, les forêts, l’eau, la qualité de l’air et la biodiversité continuent de se dégrader alors que l’augmentation de la production à tout prix n’a pas éradiqué la faim“, a-t-il ajouté.

L’agroécologie tourne le dos au productivisme encouragé par l’agrochimie et la mécanisation agricole depuis la fin de la deuxième guerre mondiale, en faisant appel aux connaissances locales des agriculteurs et des scientifiques, à de meilleurs soins du sol pour qu’il soit plus fertile et stocke plus de carbone, à une biodiversité des espèces plantées et à une réduction de la dépendance envers les engrais synthétiques.

Nous devons nous écarter du système de monoculture tel qu’il a dominé le siècle précédent“, a pour sa part souligné le président du Fida (Fonds international de développement agricole) Gilbert Houngbo, une autre agence onusienne chargée de soute…

 

Source : Agriculture: l’ONU se convertit à l’agroécologie

La BERD, c’est la banque européenne pour la reconstruction et le développement, un institution qui a été créée dans la foulée de la chute du mur de Berlin pour aider initialement au évdeloppement économique des pays de l’est de l’Europe.  L’institution qui fédère plusieurs dizaines de pays et deux institutions internationales  dont la Commission européenne investit aujourd’hui des milliards d’euros dans des projets d’infrastructure, des entreprises, … dans des pays allant du Maroc à la Mongolie.

Ces projets ainsi que les études préalables et la consultance associée, sont autant d’opportunités de marchés pour des entreprises spécialisées.
C’est ce qu’on bien compris les 27 entreprises belges dont 9 wallonnes actives dans le domaine de l’environnement et de la green energy qui se sont déplacées à Londres ces 22 et 23 mars derniers dans le cadre d’une mission organisée conjointement par FIT, l’AWEX, BIE, BECI et EEN Wallonie.

Au programme, dans les locaux de l’Ambassade de Belgique , une rencontre avec des entreprises anglaises mobilisées par notre partenaire EEN local, la London Chamber of Commerce.  Et le lendemain, découverte de la banque, présentations générales et rencontres avec les chargés de projet de la banque.

Avec au final, des entreprises wallonnes très satisfaites de leur déplacement et se promettant d’en tirer parti le plus rapidement et le plus efficacement possible.

 

Tout le programme : https://www.hainaut-developpement.be/agenda/mission-dentreprises-a-banque-europeenne-reconstruction-developpement-londres/

 

A Courtrai Expo se tenait  une nouvelle édition du B2B organisé conjointement par les partenaires belges d’EEN à l’occasion du salon Tavola consacré à l’épicerie fine.

Succès à nouveau dans une version orientée cette fois complètement vers les besoins des distributeurs inscrits avec au final 173 participants de 17 pays et plus de 160 rendez-vous internationaux réalisés.  Et probablement l’annonce d’accords de partenariat transnationaux lors du suivi individuel que les partenaires feront dans les prochaines semaines et prochains mois, comme c’est le cas lors de chacune de nos actions de B2B.

 

Plus d’infos : https://www.facebook.com/note.php?note_id=582387292127984

Source : Petit retour sur les B2B EEN à Tavola

kesako?Labels

Parmi la pléthore de labels de qualité, des plus sérieux aux parfois les plus farfelus, la Commission européenne a proposé 3 systèmes de reconnaissance concernant les produits du terroir visant à promouvoir et protéger les désignations des produits agricoles et denrées alimentaires de qualité.

 

Ces systèmes ont également pour objectif de favoriser la diversification de la production agricole et de protéger les produits contre les usurpations et les imitations.

  • l’Appellation d’Origine protégée (AOP) désigne la dénomination d’un produit dont   toutes les étapes de fabrication ont lieu dans une aire géographique définie, avec   un savoir-faire connu et reconnu. Il doit exister un lien exclusif entre le produit et  son terroir d’origine.
  • L’Indication géographique protégée (IGP) désigne les produits dont les caractéristiques sont étroitement liées à une zone géographique déterminée, dans   laquelle se déroule au moins une étape de leur élaboration. Le lien entre le produit et son terroir d’origine n’est pas exclusif.
  • La Spécialité traditionnelle garantie (STG) permet de protéger une méthode de fabrication ou une composition traditionnelle d’un produit, sans lien avec une aire géographique.

La valorisation des produits du terroir: AOP, IGP,STG…Afin d’aider au montage des dossiers auprès de l’Union européenne et de parcourir plus aisément les méandres administratifs, la Wallonie a crée la “CAIG”, la Cellule d’Appui aux Indications géographiques, en collaboration avec les universités de Namur et de Liège (via son pôle Gembloux Agro-Bio Tech). Cette instance aide les groupements de producteurs à rédiger leur cahier de charge en fonction de la réglementation européenne encadrant l’usage des indications géographiques, à décrire les spécificités du produit et ses caractéristiques et à étayer et documenter l’ancienneté du produit.

Au niveau hainuyer, plusieurs groupements de producteurs ont souhaité introduire une demande d’aide auprès de la CAIG. Parmi ceux-ci, à l’heure actuelle, un seul produit doit encore passer le cap de l’acceptation finale par l’Union européenne: l’Escavèche de Chimay. Ce dossier est porté par 3 producteurs dont en Hainaut, l’Escavèche du Val d’Oise.

Après des années de démarches et d’accompagnement par Hainaut Développement, notamment, et sans coup de théâtre, ce produit pourrait bénéficier prochainement, et de manière officielle, de l’Indication géographique protégée (IGP), ce qui lui permettra de préserver sa spécificité territoriale et de promouvoir ses bienfaits auprès des professionnels mais également des particuliers.

Les candidatures relatives aux bières dites “de saison”, de la “blanche saucisse” et du “pagnon borain” sont en cours de suivi auprès de la CAIG. Puissent ces dossiers aboutir aussi positivement que celui de l’Escavèche de Chimay…

Martin PAUL – Hainaut Développement

PERMANENCE EXPORT

L’AWEX, en partenariat avec la Fondation Chimay Wartoise, le Géco et Hainaut Développement, met ses compétences à votre service pour vous conseiller, répondre à toutes vos questions en matière d’exportation, de réglementation européenne ou d’économie. Nous sommes là pour vous aider à mettre en place une stratégie d’exportation qui vous corresponde!

Nous serons à Chimay les mardis:

06/03 – 03/04 – 08/05 – 05/06/2018

 

Adresse: Hainaut Développement – Antenne Sud Hainaut – rue Rogier 10 – 6460 Chimay

Inscription indispensable

PERSONNE DE CONTACT: Benoît DESPIEGELEER – 071/277.108 –

Ces permanences sont accessibles gratuitement aux entreprises ou aux porteurs de projet à potentiel d’internationalisation. Elles sont organisées chaque premier mardi du mois à l’exception du mardi 1er mai qui est férié. Votre Centre Régional AWEX de Charleroi reste à votre disposition pour tout renseignement (071/277.100 – charleroi@awex.be). Details #772 Ouvert Priorité: Priorité Normale Type de demande: News: mise à jour Demandeur: Aurore Bayet Opérateur: Valérie Delferière Visibilité: Publique Date de création: 16 mars 2018 10 h 16 min Ouvert depuis: 19 mars 2018 9 h 06 min Dernière mise à jour: 21 mars 2018 17 h 35 min Fichiers attachés 29244...n.jpg (114.94 Kb) Download There are 1 files attached with total size of 0.11 Mb Actions Mode Edition Fermer Permanences Export à Chimay

 

 

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