Hainaut Tourisme a présenté son programme 2016 sur le sites des Barrages de l’Eau d’Heure, avec un objectif central, le développement du tourisme en vélo. Ce sont les wallons picards qui sont les plus avancés dans cette stratégie avec 1600 kilomètres de piste vélo dessinés en réseau Points-Nœuds, et dix milles cartes parcours déjà éditée. La formule connait un franc succès et sert d’exemple pour les autres provinces wallonnes qui vont désormais s’atteler à établir le maillage tant attendu par les cyclistes.
Source : Le vélo et ses adeptes, la nouvelle priorité touristique du Hainaut
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“Le guide permanent du développeur économique”Dans cette mise à jour n° 33, les auteurs vous proposent deux articles : – une actualisation d’un article sur les coopérations interentreprises (clusters et groupements d’entreprises, pôles de compétitivité). Au c½ur des questions stratégiques des PME, les modes de développement collaboratif génèrent des projets entrepreneuriaux spécifiques homogènes – les groupements d’entreprises – et hybrides – les pôles et clusters. Leur impact sur le tissu économique local peut être significatif en termes de maintien et de création d’activités, d’entreprises et/ou d’équipements structurants, et donc d’emplois ; – un nouvel article vous est également proposé sur le lien entre économie sociale et solidaire (ESS) et territoires. Nous sommes passés d’une situation où l’ESS était vue sous le (seul) prisme de sa contribution aux besoins sociaux à une situation où les territoires s’intéressent de près à la dimension économique (véritable levier pour renforcer l’économie résidentielle). Les entreprises de l’ESS participent à cette « économie plurielle » dont ont besoin les territoires pour un meilleur équilibre entre croissance, développement et qualité de vie. Au programme de votre prochaine mise à jour : – Dans le cadre de la coopération interentreprises, un éclairage sur la démarche de coconception, alternative à une sous-traitance « pure et dure » qui s’avère de plus en plus risquée pour les entreprises artisanales de production. – Un article sur la transmission d’entreprise : détection, priorisation, accompagnement, mise en relation… Sous réserves de modifications décidées par les directeurs scientifiques, en fonction notamment de l’actualité. |
source : http://www.territorial.fr/uploads/mail_maj_ouvrage.php?id_ouvrage_numero=47
De février à août, les oiseaux en pleine nidification chantent pour attirer leur conjoint et marquer leur territoire.
Des chants d’oiseaux pour décompresserLes oiseaux chanteurs les plus faciles à attirer dans les jardins sont les mésanges charbonnières (succession de notes rythmées assez simples), les mésanges bleues (chant rythmé débutant par une note aiguë, puis des notes plus graves de plus en plus rapides), les rougequeue noirs (débutant comme un « grincement de porte » puis se poursuivant par des notes flûtées), les merles noirs (mélodieux aux notes flûtées), les verdiers d’Europe (son nasal répétitif puis très mélodieux) et les pinsons des arbres (notes descendantes avec une trille finale).
Collinaria, c’est une histoire de passion entre producteurs locaux et restaurateurs du Pays des Collines. Et la Province de Hainaut y joue les bonnes fées. Ainsi de l’histoire de ce viticulteur de Flobecq.
En 2016, il n’existe au monde aucun autre endroit qui compte un tel nombre de brasseries. Pays de la bière, la Wallonie picarde en produit plus de 150 variétés.
Dans quelques semaines, dès qu’elle aura reçu les autorisations des Douanes et accises, «La Fourmi’bière « (Anvaing) deviendra la vingt-troisième brasserie de Wallonie picarde, et même la 24e si on accole «L’art d’en brasser » (Horrues), située à quelques encablures de notre territoire…
Source : Une brasserie belge sur dix est basée en Wallonie picarde – L’avenir
Le ministre de l’Alimentation et de l’Agriculture allemand veut remplacer les dates de péremption par des alternatives plus scientifiques. Un article d’EurActiv Allemagne.
Source : Berlin veut se débarrasser des dates de péremption – EurActiv.fr
Province, région et commune se sont mis d’accord pour proposer un balisage commun et cohérent du bois indivis d’Angre.
Plus facile à dire qu’à faire mais ils l’ont fait ! La Province de Hainaut, la Région Wallonne et la commune d’Honelles ont accordé leurs violons pour proposer un balisage commun et publier une carte des promenades possibles dans le bois d’Angre. Tout bénéfice pour le promeneur.
Source : TéléMB : Angre : le bois est signalé ! – Les reportages
ENVIRONNEMENT. La start-up francilienne Echy a mis au point un dispositif permettant d’éclairer des espaces sombres ou sans fenêtre grâce à la lumière naturelle. Et ce, sans consommer d’énergie !
Peut-être avez-vous déjà travaillé au fond d’un open-space mal éclairé ou pire dans une pièce sans fenêtre… Ces dernières années, la flambée des prix de l’immobilier et les nouveaux modes d’aménagement des espaces de travail ont détérioré le confort des salariés.
Source : Echy : éclairer sans consommer d’énergie, c’est possible
Les pesticides sont interdits depuis le mois de janvier dans les jardins publics. Pour les particuliers, ce sera en 2019.
Comment se passer du Roundup et d’autres tue-limaces chimiques ? La loi va interdire tout ce qui est chimique. C’est déjà le cas depuis trois mois pour les collectivités locales, et ce sera bientôt à le tour des particuliers (en 2019). Les rayons jardinerie dans les magasins ont changé de tête ces derniers temps. Pour bien préparer son jardin, il faut faire analyser sa terre. Des petits kits vous permettent d’envoyer un échantillon à un laboratoire qui va vous dire en trois semaines si vous avez trop ou pas assez de vers de terre, de micro-faune, de minéraux. ..
Source : Pesticides : comment jardiner sans produits chimiques ?
Pratique et bien pensée, la plateforme chezvosproducteurs.fr facilite la vente directe, en créant le lien entre producteurs et consommateurs. Antoine Pineau a déjà une liste d’expériences hallucinante alors qu’il n’a pas atteint la trentaine. Durant ses études à Angers (master Production et technologies végétales), il a aussi développé pendant plusieurs mois une ferme à vocation environnementale au Bénin, et peaufiné son anglais en Irlande. « J’ai fini mon master avec un stage chez InVivo AgroSolutions. Je cherchais les leviers d’actions pour améliorer les pratiques agricoles des fermes Dephy. Puis pendant 6 mois, j’ai étudié les moyens de protection des plantes au sein du Pool Productions Légumières. Enfin, j’ai intégré pendant 18 mois le réseau B-Motived pour tester l’intérêt des produits de biocontrôle en grandes cultures. J’ai terminé cette mission en septembre dernier et je suis parti un mois en Inde pour aider l’ONG Annadana Soil and Seed Savers. » ChezVosProducteurs, plateforme présentée comme un annuaire, qui évoluera vers la vente en ligne Dès son retour, il lance le site internet chezvosproducteurs.fr. Il s’agit d’une plateforme qui met en relation les producteurs et les consommateurs. Aujourd’hui présentée comme un annuaire des producteurs fermiers, elle évoluera très vite vers la vente en ligne. « Je ne suis pas du tout informaticien, j’ai tout appris en autodidacte. Pour moi, ce projet est un acte citoyen. Je suis fils d’éleveur et j’ai grandi dans le Maine-et-Loire. Mes parents avaient des difficultés à vendre leurs produits localement et je voulais concevoir un outil pour rapprocher consommateurs et producteurs. Demain, les circuits courts seront essentiels pour valoriser correctement les produits fermiers de qualité, de saison, avec une traçabilité exemplaire », estime-t-il. 140 membres inscrits en deux mois Enregistrant pour le moment 100 à 150 visites par jour (consommateurs mais aussi restaurateurs), le site internet « chez vos producteurs » réunit déjà 140 producteurs alors que la communication n’a débuté qu’en janvier dernier. Le secret ? Un démarchage efficace pendant le salon de l’agriculture, un bouche à oreille viral, et une communication active sur les réseaux sociaux. « D’ici la fin de l’année, j’espère avoir inscrit 600 producteurs. Le site a déjà une bonne diversité de produits mais pour être encore plus proche des consommateurs, il faudrait encore densifier le nombre d’éleveurs, de maraîchers, de produits typiques régionaux…», projette Antoine Pineau. Pour s’inscrire, les agriculteurs signent une charte éthique qui exclut les produits issus de l’agriculture intensive ou transformés loin des lieux de production. La charte incite aussi à une communication claire sur les modes de production. De nombreux services Il suffit d’une dizaines de minutes pour créer sa page sur le site, sachant qu’un module d’assistance est disponible en permanence au bas de la page. « J’ai envoyé un questionnaire de satisfaction aux 100 premiers membres et tous s’estimaient satisfaits du design du site. Il est lisible pour les clients, simple, ergonomique et facile à prendre en main », se réjouit Antoine Pineau. Les consommateurs peuvent notamment trouver en un clic des produits fermiers assez rares sur le marché : fleur de sel de Vendée, moutarde au piment d’Espelette, viande de cabri ou de vaches maraîchines, glaces fermières, sève de bouleau, safran… Il y a même une dizaine de producteurs de fleurs ! Sur sa page personnelle, on peut décrire la ferme en quelques mots et quelques photos, afficher ses coordonnées, ses réseaux sociaux, ses horaires d’ouverture et ses prix. Il est possible ensuite d’ajouter des actualités pour maintenir le lien avec leurs internautes. Une carte interactive permet de localiser précisément l’itinéraire jusqu’à la ferme et le client peut lister tous les producteurs proches de son domicile. On peut aussi retrouver les producteurs par thématique, à l’aide de mots clés doublés d’items : agriculture biologique, vente à la ferme, vente par livraison… Pour aller plus loin dans l’interaction, le producteur dispose d’un calendrier pour indiquer ses prochaines portes ouvertes. Le consommateur peut partager les pages sur les réseaux sociaux et laisser un avis, à la façon de TripAdvisor. « Au final, ces pages personnelles sur le site font office de véritable site internet », conclut le concepteur de Chez vos producteurs. Enfin, un blog animé par Antoine Pineau permettra de générer du trafic sur le site internet. A terme, il pourrait devenir un forum d’échange autour des circuit courts. Des retombées commerciales directes Déjà 20 % des producteurs inscrits ont reçu une commande via le site, ou ont été contactés par des consommateurs. D’ici deux mois, il sera possible de vendre ses produits fermiers en ligne, ce que souhaiteraient 65 % des producteurs inscrits. « C’était l’idée de départ. Je ne connaissais aucun site qui recensait des producteurs au niveau national et permettait d’acheter des produits. Ce sera désormais possible. » Concrètement, les producteurs auront accès au back-office du site internet pour traiter les commandes et les produits seraient acheminés par Chrono Fresh, le nouveau service de la poste pour l’acheminement des produits frais. « Les clients recevront les produits dès le lendemain de la commande. Bien sûr, cela inclut des frais de livraison supplémentaires et le service ne sera pas gratuit », prévient Antoine Pineau qui réfléchit encore au mode de rétribution du site : par abonnement ou commission sur les ventes. Cependant, dans tous les cas, les producteurs pourront toujours éditer leur page gratuitement. Après avoir investi 1500 euros dans le lancement du site internet (hébergement, développement sur les réseaux sociaux…), Antoine Pineau songe au crowdfunding pour assurer l’avenir du site. En savoir plus : http://www.chezvosproducteurs.fr (site internet chezvosproducteurs) ; https://www.facebook.com/chezvosproducteurs (page Facebook) ; @vos_producteurs (compte Twitter). Ci-dessous, copie d’écran de la page d’accueil du site internet Chez Vos Producteurs. Vente Directe, Produits Fermiers , Communication, Vente En Ligne, Commercialisation, Circuit Court Source : ChezVosProducteurs crée le lien entre consommateurs et producteurs – Wikiagri.fr