Agence de Développement de l'Economie et de l'Environnement de la Province de Hainaut

A l’occasion de la Journée mondiale de la science au service de la paix et du développement, zoom sur les végétaux qui transforment le CO2 en calcaire.

Les végétaux dits « oxalogènes » ont la propriété de transformer, avec l’aide de champignons et de bactéries, le CO2 en calcaire. A Haïti, grâce au projet « Arbres sauveurs », des milliers des noyers Maya oxalogènes ont été plantés avec un triple but : permettre la reforestation, lutter contre le changement climatique par la captation du CO2 et apporter une source de nourriture à des populations en insécurité alimentaire grâce aux noix de ces arbres, qui peuvent être transformées en farine. Explications dans une vidéo proposée par Universcience.tv dans le cadre de la Journée mondiale de la science au service de la paix et du développement, jeudi 10 novembre.
En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/sciences/video/2016/11/10/ces-arbres-sauveurs-qui-stockent-le-co2-dans-le-sol_5028808_1650684.html#zK874EA4HVhHeC2v.99

Source : Ces arbres « sauveurs » qui stockent le dioxyde de carbone dans le sol

concours

Journée de l’arbre 27/11 J-1 mois !!!

Concours photo sur le thème de l’arbre

L’érable au fil des saisons

 

Dans le cadre de la journée de l’arbre qui se tiendra le dimanche 27 novembre 2016, Hainaut Développement lance un concours photo autour du thème de l’arbre avec un focus sur l’érable à l’honneur cette année.

Le concours permettra de désigner 2 lauréats :

  • Le prix du Like sera décerné à la photo d’un arbre qui aura obtenu le plus de “J’aime” sur la page Facebook de l’événement “Journée de l’Arbre et des Saveurs locales 2016”
    ⇒Le gagnant du prix du Like recevra un Pass Accrobranches pour 4 personnes
  • Le prix du jury Hainaut Développement récompensera la plus belle photo d’un érable
    ⇒Le gagnant du prix du jury recevra un érable d’une valeur de 150€

Conditions de participation :

  • Poster une photo d’un arbre de manière générale ou plus particulièrement d’un érable sur la page Facebook de l’événement “Journée de l’Arbre et des Saveurs locales 2016” du 27 octobre au 20 novembre 2016 inclus en mentionnant le hashtag #jda2016
  • Partager la page de l’événement “Journée de l’Arbre et des Saveurs locales 2016” et inviter vos amis à liker votre photo
  • Accepter de laisser les droits d’utilisation de votre photo à Hainaut Développement
  • S’engager à fournir le fichier photo en haute définition pour les 2 lauréats
  • Résider en Belgique

Une seule photo sera autorisée par participant.

La page du concours : https://www.facebook.com/events/547093382150212/

Le règlement du concours est disponible via le lien suivant: https://www.hainaut-developpement.be/hdtemp/newsletters/HD/2016/jda/Reglement.pdf

 

 

Au-delà de l’apparent consensus politique sur la nécessité d’accélérer la lutte contre le changement climatique, le monde économique est-il réellement en train d’opérer un tournant vers un modèle de moins en moins émetteur de CO2? Des signaux vont dans le bon sens, d’autres non.

Des signaux encourageants:

– MAITRISE DES ÉMISSIONS

Les émissions du secteur énergétique (2/3 des émissions mondiales) ont stagné en 2015 pour la 2e année consécutive, avec une croissance économique mondiale de 3%, confirmant l’amorce d’un découplage.

– RECORDS DANS LES RENOUVELABLES

Avec 286 milliards de dollars investis et 153 nouveaux gigawatts installés, 2015 a été une année record pour les énergies renouvelables, notamment dans les pays émergents. Les prévisions pour 2020 ont été revues à la hausse. Elles représentent actuellement 15% de la production d’énergie et 23% de la production d’électricité.

– CHUTE DU COUT DU SOLAIRE

Entre 2009 et 2015, le coût du solaire a chuté de 80%. Cette énergie est devenue compétitive par rapport au gaz et au charbon dans certains pays (Chili, Emirats, Inde, etc.). Une centrale à Abou Dhabi détient le record du mégawattheure solaire le moins cher: environ 23 dollars.

– PRODUIRE EN CONSOMMANT MOINS

Selon l’Agence internationale de l’énergie, l’intensité énergétique (quantité d’énergie par unité de PIB), ne cesse de baisser (- 1,8% en 2015), une conséquence des 221 milliards d’euros investis dans l’efficacité énergétique l’an dernier…..

Source : Climat: le match entre l’économie verte et les énergies fossiles – La Libre.be

Selon une étude de l’ONG Nature Conservancy, en investissant à peine 3,6 euros par habitant dans la plantation d’arbres, les villes pourraient sauver entre 11 000 et 37 000 vies par an.

Développement du réseau de transports en commun, des services d’autopartage, aménagement de pistes cyclables, de zones piétonnes, restriction de la circulation dans le centre-ville, couverture de voies rapides… Les villes se montrent de plus en plus soucieuses d’améliorer la qualité de l’air sur leur territoire. Dans le même temps, sous l’effet du changement climatique, elles sont appelées à connaître des épisodes caniculaires de plus en plus fréquents et de plus en plus intenses.
En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/planete/article/2016/11/03/les-arbres-rafraichissent-l-air-des-villes-tout-en-reduisant-leur-pollution_5024971_3244.html#k9IAbPg14yXGlZDw.99

Source : Les arbres rafraîchissent l’air des villes tout en réduisant leur pollution

La réglementation qui définit les conditions d’utilisation des produits phytosanitaires va faire l’objet d’une révision d’ici la fin de l’année notamment la partie concernant l’agriculture bio. Une réforme qui fait débat.

A partir du 6 janvier prochain, la réglementation européenne concernant l’application des produits phytosanitaires en France arrive à son terme. La Commission, le Parlement et le Conseil européen se réunissent, en ce moment, à huis clos pour établir un nouveau règlement d’ici la fin de l’année. Cette nouvelle réforme inquiète les associations environnementales.Il y a peu de temps encore, l’Europe avait envisagé d’assouplir ses critères pour l’obtention d’un label bio. L’agriculture biologique risque de perdre la qualité sanitaire et l’intégrité de ses produit. Un marché du bio qui risque d’être contestée tandis qu’elle connaît une forte progression depuis quelques années.

Vers une réglementation plus indulgente ?

Adoptée en 2007, la réglementation sur les OGM et pesticides proposée par la député européen, Christine Lagarde, autorise la présence de ces derniers à hauteur de 0,9% dans les produits bio. On estime qu’en dessous de 1%, la présence d’OGM et pesticides n’est que sous forme de traces. Aujourd’hui encore, les produits labellisés biologiques respectent, tous sans exception, cette réglementation.

Pourtant, une nouvelle réglementation sur l’utilisation des produits phytosanitaires risque de  bouleverser l’avenir de l’agriculture biologique. Les institutions européennes s’interrogent sur l’éventuelle instauration d’un seuil de produits non autorisés (OGM et pesticides) qui aujourd’hui, pourtant, fait perdre la certification bio d’un produit. Une question qui vient heurter les pratiques de l’agriculture biologique et provoquer de virulentes réactions au sein des associations environnementales…

Source : L’Europe envisage d’instaurer des seuils de pesticides dans l’agriculture bio | Bio à la une

 

La capitale du Grand-Duché, avec ses 22.000 arbres, est la ville la plus boisée du continent. Pour les gérer, Luxembourg a fait appel à la technologie de geoVAL.

L’écran de l’ordinateur de Roland Kirch se remplit de cercles. De grands cercles, de petits cercles, chacun d’une couleur différente, et chacun contenant un chiffre. Bienvenue au bureau d’enregistrement des arbres de la ville de Luxembourg. Avec ses 111.000 habitants, la capitale du Grand-Duché abrite à présent quelque 20.000 arbres, et Kirch, qui est responsable de la gestion des arbres au Service des parcs de la ville, en ­connaît beaucoup personnellement.

La ville de Luxembourg, qui s’étend sur une superficie d’environ 5.000 hectares, peut se vanter d’avoir à peu près 970 hectares de forêt, ce qui est une proportion unique en Europe. Les équipes travaillant avec Roland Kirch s’occupent sans relâche de prendre soin des arbres de la ville, en particulier ceux qui bordent les rues et les terrains de jeux, ainsi que ceux qui poussent dans les parcs et d’autres endroits fréquentés par les piétons. En tant qu’inspecteur arboricole certifié, il sait combien il peut être difficile de déterminer si un arbre est malade ou pas. « Ainsi, l’anthracnose (Kretzschmaria deusta) ne peut pas toujours être identifiée de l’extérieur », commente l’expert. « Le champignon détruit l’arbre de l’intérieur, et peut l’affaiblir à un tel point qu’il arrive que l’arbre tombe soudain, sans prévenir. » Dans de tels cas, des appareils de tomographie sonore sont utilisés….

Source : Quand le numérique gère les arbres de la ville de Luxembourg, Énergie – Environnement

La start-up liégeoise Hytchers développe une application logistique à destination des e-commerçants. Particularité : la livraison sera effectuée par Monsieur Toutlemonde, sur le modèle collaboratif à la Blablacar, sauf que les colis remplacent les personnes.

Beaucoup d’e-commerçants belges se plaignent des frais logistiques, relativement élevés dans notre pays comparés à certains pays voisins, surtout pour les expéditions internationales, même à 10 km de la frontière.

Antoine Dessart et Jonas Douin, ingénieurs civils qui se sont rencontrés au Master en entrepreneuriat d’HEC Liège, explorent le modèle collaboratif pour alléger les coûts de livraison de colis pour les PME.

Leur start-up Hytchers, actuellement accompagnée au Venturelab, l’incubateur liégeois pour étudiants et jeunes diplômés, se prépare à lancer une version bêta d’une application qui mettra en rapport e-commerçants et automobilistes désireux de ‘rentabiliser’ leurs trajets en emportant l’un ou l’autre colis….

Source : Un « Blablacar du colis » ciblant les e-commerçants belges | Entrepreneuriat – lesoir.be

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“Un seul clic malencontreux peut suffire à paralyser l’activité de votre société et mettre ses avoirs en péril !’’

 
La cybercriminalité, un sujet parfois méconnu mais pourtant d’actualité.  En partenariat avec Synergie, la Regional Computer Crime Unit de la Police Judiciaire Fédérale de Mons vous présentera ses activités et vous donnera des conseils et bonnes pratiques pour réagir à un incident informatique en s’appuyant sur des exemples concrets.

Source : Agenda | Synergie PME

Etudiant-EntrepreneurA partir du 1er janvier 2017, un statut fiscal un peu particulier verra le jour, celui de l’étudiant-entrepreneur. C’est en tout cas ce qu’a annoncé la Haute Ecole provinciale de Hainaut-Condorcet dans le cadre d’une série d’ateliers animés destinés à ses étudiants de terminale, toutes sections confondues, lors de la journée de l’entrepreneuriat.  Un véritable succès pour une première avec, environ, 500 inscrits!

L’esprit d’entreprise fait partie intégrante du projet pédagogique de Hainaut Enseignement. La Haute Ecole Condorcet prévoit des aménagements afin de permettre à ses étudiants-entrepreneurs de poursuivre leur cursusus tout en développant leur business !

Avantages

Marc Vandercammen est référent entrepreneurial à Condorcet. “Moyennant certaines conditions que l’etudiant-entrepreneur devra respecter, la Haute Ecole va lui accorder des avantages”. Par exemple, des dispenses à certains cours pratiques obligatoires ou des sessions d’examens déplacées. “Par ailleurs, ils auront l’opportunité de réaliser des stages et un travail de fin d’études en lien avec leur entreprise”. Le TFE entrepreneurial comprendra deux parties. “La première devra concerner le métier faisant l’objet des études : diététicien, assistant social, enseignant…”. La seconde partie sera un business plan. “S’il réussit son TFE, l’étudiant pourra l’utiliser comme document officiel pour trouver des investisseurs”. La Haute Ecole semble déjà avoir établi des accords avec des incubateurs d’entreprises, comme Héraclès à Charleroi. “Des coachs accompagneront les étudiants dans leurs démarches, ils bénéficieront d’un accès à des locaux pour travailler ou rencontrer des clients”, ajoute le coordinateur du projet.

A noter, également, que les compétences acquises dans le cadre de ce statut donneront accès à l’attribution de crédits comptablisés pour la réussite des études.

Un véritable contrat entre l’école et l’étudiant

Pour bénéficier de pareils avantages, l’étudiant-entrepreneur doit évidemment s’engager à respecter certaines conditions. D’abord, rentrer un dossier de candidature qui fera l’objet d’une sélection devant commission. “Il devra rendre un planning des tâches à réaliser pour les 12 mois à venir”, précise Marc Vandercammen. Et d’ajouter que “le business proposé par l’étudiant doit tenter d’apporter une solution à un problème. Il doit être acceptable au niveau des valeurs et de l’éthique”. Maxime, qui participe à l’atelier, est étudiant ingénieur industriel. “Je souhaite développer une activité liée aux produits “bio”, aux entreprises locales et de proximité”.

Environ 100 jeunes ont marqué un intérêt par rapport à l’atelier etudiant-entrepreneur. Il est évident que tous ne vont pas lancer leur business. ” Au-delà de vouloir créer sa propre entreprise, c’est avant tout une démarche intellectuelle”, précise l’enseignant. Les étudiants semblent réaliser de manière très mature que l’entrepreneuriat est une dynamique à adopter au quotidien dans un job : “ils savent qu’ils sont maîtres de leur destin et qu’eux seuls peuvent mettre en place ce qu’il faut pour se plaire là où ils travaillent ou aller là où ils se plairaient davantage”.

Infos :

0475/78 44 51

Source : Etudiant-entrepreneur, un nouveau statut fiscal? | Dialogue@Hainaut

Soirée d'échange Proxial entre les producteurs locaux et les mess des écoles provincialesLe projet Proxial, mené par la Province de Hainaut, vise à développer une alimentation saine, durable et responsable dans ses écoles depuis environ deux ans. Objectif : intégrer davantage de produits frais, de saison et peu transformés dans l’assiette des jeunes. Un véritable système de management de développement durable dans l’enseignement provincial.

Sa mise en place nécessite le rassemblement des compétences et la formation du personnel de cuisine, du personnel enseignant et des autres partenanires chargés d’accompagnés les élèves. Une démarche déjà d’application au mess de l’école de nursing de Tournai.

Motivation et gestion autonome

“Nous travaillons avec 40 fournisseurs locaux et régionaux”, explique Marie-Ange Voet, gestionnaire du messe et de l’internant de l’IESPP Tournai. Ses cuisiniers utilisent des produits bio et de saison. “Cela fonctionne car mes équipes acceptent de ne pas utliser du “tout fait”. Ca prend plus de temps, il faut des moyens humains pour y arriver”. Autre clé du succès : une autonomie de gestion dans le choix des produits. “On doit savoir s’adapter à notre public”.

Proximité, gage de qualité ?

“Nous travaillons avec le boulanger du coin et le seul poissonnier de la région”, confie la gestionnaire. “Cela crée inévitablement une proximité avec nos fournisseurs”. Une négociation et des échanges qui favorisent la qualité dans l’assiette. “Nos yaourts viennent de la ferme”. Au début, il semble que les jeunes étaeint réticents, habitués au packaging des grandes marques. “On a continué à servir les deux pendant un temps, on les a mis dans des coupelles”. Au final, c’est le local qu’il a emporté auprès des élèves !

Manger local ne coûte pas plus cher

“A Tournai, on cuisine et on sert le légume de la semaine”. Il est disponible en quantité chez le producteur et à un prix plus qu’abordable. “On le décline différemment au fil des jours”. Les jeunes adhèrent, ils découvrent des nouveautés : “Ils connaissent tous la courgette farcie, ils adorent à présent le flan de courgette !”

Les responsable du projet Proxial estiment que l’implication des parents apparaît comme un défi essentiel auquel chaque école doit se confronter. “La sauce prend à Tournai, on a un véritable return. Les parents viennent nous demander les coordonnées de nos producteurs car leurs enfants sont satisfaits”.

Des réticences dues aux contrôles de l’AFSCA pourraient être un frein à la motivation des autres mess dans démarche. Marie-Ange Voet conseille simplement à ses collègues  qui vont se lancer de “séparer la zone de lavage des fruits et légumes de la zone de découpage”.

A l’heure où les médias ne parlent que de commerce global, Hainaut Enseignement veut donner la priorité aux productions de proximité dans le but de promouvoir l’agriculture et l’économie locale.

Source : Manger local à l’école | Dialogue@Hainaut

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