La Cour européenne des comptes publie un rapport très critique sur la gestion, le financement et le suivi de la pierre angulaire de l’Union en matière de sauvegarde de la biodiversité. Principaux responsables: les Etats et leur peu d’empressement à mener le processus à terme et à le financer.
Les Etats membres n’ont pas suffisamment bien géré le réseau Natura 2000. Vingt-cinq ans après son entrée dans le droit communautaire, le jugement de la Cour européenne des comptes sur la mise en œuvre de ce réseau de 27.000 sites est sévère. Dans un rapport rendu le 21 février, la «gardienne indépendante des intérêts financiers des citoyens de l’Union» a passé au crible la gestion, le financement et le suivi de cet élément essentiel de la stratégie de l’Union en matière de biodiversité, qui couvre 18% du territoire terrestre et 6% du territoire maritime. Après avoir visité 24 sites et 5 pays[1], enquêté auprès des Etats et de la Commission et auditionné les parties prenantes, le constat des auditeurs européens est peu amène: le potentiel «n’a pas été pleinement exploité».
Natura 2000: les Etats s’en balancent - Journal de l'environnement
Indispensable coordination
La Cour pointe tout d’abord des problèmes de gouvernance. Car la mise en œuvre de Natura 2000 «ne peut réussir que moyennant une coordination intersectorielle efficace», entre les secteurs de l'environnement, de l'agriculture, de l'aménagement urbain, du développement industriel et du tourisme. En France, par exemple, il a été constaté que les services de l'environnement ne disposaient pas de toutes les informations sur la mise en œuvre des mesures agro-environnementales par les autorités agricoles, comme le nombre d'agriculteurs et de zones concernés, les types de mesures et le montant des fonds publics consacrés aux sites Natura 2000. A l’inverse, le pays est cité en exemple pour avoir organisé des consultations locales, afin que les acteurs s’approprient les objectifs de la démarche.
Les Etats trainent
Les Etats ont été négligents: un tiers des 22.419 sites d'importance communautaire reconnus en janvier 2010 n'avaient toujours pas le statut de zone spéciale de conservation en janvier 2016,...
Source : Natura 2000: les Etats s’en balancent - Journal de l'environnement
Le développement durable est au cœur de la démarche du festival LaSemo. Et ce depuis sa création il y a 10 ans. Son déménagement à Enghien n’a rien changé à son ADN. Sa démarche est récompensée aujourd’hui.
C’est au Grand Hornu, vestige de l’époque des charbonnages au coeur du Borinage, que le quatrième prix Hainaut horizons a été décerné ce jeudi. Et une fois encore, c’est la Wallonie picarde qui a été mise à l’honneur. Une habitude, dans la mesure où tous les précédents lauréats du prix étaient déjà issus de cette région.
Cette année, deux des trois finalistes étaient originaires de l’ouest du Hainaut: le groupe Mydibel spécialisé dans la transformation de pommes de terre et le festival LaSemo à Enghien.
C’est finalement ce dernier qui a été choisi, à la surprise de son Directeur Samuel CHAPPEL. « On ne s’y attendait pas, même si on est conscient que LaSemo est un beau projet. On était impressionné par la qualité des autres finalistes. C’était très difficile de comparer vu que nous sommes tous dans des domaines différents ».
Ce qui a fini par faire la différence? « Je crois que le jury a apprécié le fait que le développement durable est au coeur de la création du festival. C’est un engagement que l’on a pris dès le départ, que l’on n’a pas rajouté après ». Le festival s’est effectivement engagé dès le départ à être le plus propre possible et a toujours eu une démarche proactive en matière environnementale. Le développement durable était dans son ADN sur les rives de l’Ourthe et ne l’a pas quitté depuis qu’il s’est installé au Parc d’Enghien, en 2013.
Innover encore après 10 ans
Son défi aujourd’hui,…
Source: LaSemo distingué pour son engagement dans le développement d… – Toute l’actu 24h/24 sur Lavenir.net
La société canadienne McCain, leader mondial de la transformation et de la distribution de pommes de terre, renforce son alliance avec la Belgique, coeur stratégique de son développement en Europe. Nouveaux investissements et engagement de personnel sont prévus sur le site de Leuze-en-Hainaut.
Fondée en 1957 au Canada, McCain est aujourd’hui le plus grand producteur mondial de frites et de spécialités dérivées de la pomme de terre. En 2013, McCain reprenait la société Lutosa de Leuze-en-Hainaut et la direction européenne de McCain vient d’annoncer que cette alliance avec la Belgique allait non seulement se poursuivre mais surtout se renforcer.
Depuis la reprise de Lutosa, McCain a investi une centaine de millions d’euros sur son site de Leuze-en-Hainaut. Son plan d’investissement 2013-2018 en prévoyant 175 millions au total, les récents et futurs investissements du géant canadien porteront sur la création de nouvelles infrastructures de réception, le triage et le lavage des pommes de terre,…
Source : McCain investit 100 millions chez Lutosa | Wallonia.be

“Ayant un parcours atypique, je vais vous raconter un de mes parcours de vie, celui du danseur avant l’entrepreneur, ce que j’ai pu en comprendre, les mécaniques et le fonctionnement des artistes sur un plateau”
“Déjà et avant tout, sachez que la culture est une aventure formidable que je conseillerais à n’importe qui, aller vous confronter à vous-même, aller à leur rencontre, essayer, transcender votre corps et votre esprit, libérez-vous au travers d’un art quel qu’il soit, vous y trouverez surement beaucoup de réponses pour vos entreprises et pour vous-même. C’est un chemin formidable dans la compréhension de soi, “attention, je suis jeune, j’ai encore beaucoup de choses à apprendre” mais l’art m’a permis d’assumer une complexité que je rencontre chez beaucoup d’entrepreneurs au même titre que la science ou la philosophie.”
Alors pourquoi l’ART ! Parce que c’est un mouvement perpétuel, qui existe depuis la nuit des temps, hédoniste, porteur de sens, qui fédère et transcende, une ambition d’être et de devenir autre chose, différemment, un corps spirituel, un esprit libre, une quête identitaire en quelque sorte….
Source : https://www.linkedin.com/pulse/lart-a-t-il-quelque-chose-%C3%A0-apprendre-lentreprise-thomas-lafosse
Un duo de restauratrices lance le Panier toqué, pour cuisiner vite, bien et sainement.
Voilà une bonne idée ! Catherine Pélissier et Emmanuelle Durand lancent le Panier toqué. Il s’agit d’un petit kit avec les ingrédients secs et une fiche pratique pour réaliser une recette. En prime, une vidéo sur leur page Facebook permet de réaliser le plat pas à pas.
Pour l’heure, on trouve ces paniers au magasin de producteurs la Ferme de Vialard à Sarlat. Ils devraient rapidement se trouver dans de nombreux points de vente : bouchers, magasins de producteurs, poissonneries, épiceries fines…
Catherine Pélissier et Emmanuelle Durand, qui ont également une activité de traiteur et un restaurant à Sarlat, La Maison Dupéliac, y travaillent depuis plus de deux ans. Elles ont fait appel au financement participatif pour monter leur projet, qui a reçu en 2015 le premier prix Innovation commerciale au concours Novus Aquitaine, qui soutient l’innovation artisanale dans la région.
Source : Vidéo. Sarlat : des kits de recette pour valoriser les produits locaux – Sud Ouest.fr
Projet mené en partenariat avec Hainaut Développement .
Un verger citoyen dans le parc de Châtelet, un projet qui devient réalité… A terme, cela signifie que tous ceux qui le souhaitent pourront venir y cueillir des pommes, des cerises, des poires et des prunes… Ce sont les élèves de l’école d’horticulture de Châtelet qui s’occupent de la plantation de A à Z: creuser les trous, protéger les racines contre les rongeurs, placer les tuteurs et, évidemment planter les différentes essences de fruitiers. Une opération qui devrait être terminée à la fin de la semaine prochaine. Mais pour la récolte, il faudra patienter quelques années.
Source : Un verger citoyen s’implante dans le parc de Châtelet – Télésambre
Jean-Baptiste Thomaes du Mylord est présent aux journées internationales de l’élevage et de l’agriculture.
Ces 4 et 5 février se tiennent les journées internationales de l’élevage et de l’agriculture de Tournai. De nombreux exposants sont présents avec machines agricoles, matériel, aliments, ou encore animaux.
Hainaut Développement propose un stand particulier qui met à l’honneur le Blanc Bleu Belge. Durant deux jours, il est cuisiné par de grands chefs, en présence des éleveurs et des bouchers. Ce samedi, c’est Jean-Baptiste Thomaes du Mylord qui est derrière les fourneaux. Dimanche, c’est Tanguy de Turck du Vieux Château qui cuisine cette viande bien de chez nous.
Yves-Marie Desbruyères, agriculteur et membre d’Hainaut Développement, explique la philosophie de ce stand.
Source : Le Blanc Bleu Belge cuisiné par de grands chefs au salon de l’agriculture
Tournai Expo a vibré ce week-end pour les Journées internationales de l’élevage et de l’agriculture de Tournai. Parmi les nombreux exposants présents, la Province de Hainaut. Elle militait pour le Blanc Bleu Belge de qualité. Et pour se faire entendre, elle avait convié de grands chefs sur son stand.
Source : La province de Hainaut défend le Blanc Bleu Belge au salon de l’agriculture
UCM a réalisé une enquête auprès de 284 patrons de PME et d’indépendants francophones, en collaboration avec l’AdN et l’AEI.
Les résultats confirment certaines tendances dont on avait déjà conscience mais révèlent également des chiffres et des constats parfois étonnants.
88 % des personnes interrogées disent accorder de l’importance à la sécurité informatique de leur entreprise.
La majorité disent en outre être conscientes (voire persuadées) que la cybersécurité ne concerne pas uniquement les grandes structures – une bonne chose en soi.
Seuls 2,2% du panel considèrent que la cybersécurité est pas un risque qui ne touche que les grandes entreprises. Mais, de manière plus étonnante, on trouve aussi parmi les réponses un interloquant 16,7% qui disent estimer que “la cybercriminalité n’existe pas”.
Les mesures de sécurité prises au sein de leur société?
- 94 % utilisent un anti-virus ou d’un logiciel anti-spam
- 70,4 % protègent leurs accès WiFi
- 62,8 % mettent régulièrement à jour leurs logiciels
- 58 % réalisent des sauvegardes hebdomadaires de leurs données
- 46,4% vérifient l’auteur des mails qu’elles reçoivent
- 45,6% confient la sauvegarde de leurs données à un site ou serveur en dehors de leurs murs
- 45,6% également disent recourir à des mots de passe complexes
- 17,2% (seulement) veillent à informer ou sensibiliser régulièrement leurs collaborateurs
- 10,8% (beaucoup trop peu également) procèdent régulièrement à des tests de sécurité
- 10,4% cryptent leurs données stockées
- 10% opèrent un traçage des connexions Internet.
Qui prend en charge la gestion de cette sécurité? La grande majorité des personnes interrogées (indépendants comme PME) – et cela n’étonnera personne – s’en chargent elles-mêmes, personnellement (62,3%). Dans 3,1% des cas, c’est un collègue.
13,6% font appel à une société spécialisée et 9,7% à un intervenant (individuel) externe.
Il y a malgré tout 5,8% des personnes sondées qui déclarent que “personne ne gère leur sécurité” et 1,6% qui disent qu’elles “n’en ont pas besoin.”
De plus en plus cibles et victimes
50,9% des PME interrogées avouent avoir rencontré un souci lié à la cybersécurité….
SOURCE : https://www.regional-it.be/detached/cybersecurite-pme-demandent-aide/
Prêt depuis 2012, le nouveau parc d’activités de l’IDEA à Mons a été inauguré officiellement ce mercredi 8 février. Il est uniquement alimenté via la géothermie. Une première en Belgique. Reste maintenant à remplir le zoning.
Source : Mons: le parc Geothermia enfin inauguré – Toute l’actu 24h/24 sur Lavenir.net