Agence de Développement de l'Economie et de l'Environnement de la Province de Hainaut

 

La deuxième édition du Parlement jeunesse du développement durable qui a rassemblé l’espace de trois journées, 40 étudiants de l’enseignement supérieur universitaire et non universitaire issus de disciplines diverses, s’est clôturée mercredi avec 27 propositions adressées au ministre wallon de l’environnement en charge du développement durable, Carlo Di Antonio.

La création d’un mois de l’agriculture, la création de chèques fruits et légumes en faveur des personnes isolées et à dépenser auprès de producteurs locaux, l’introduction d’un programme scolaire sur le thème de l’alimentation, la valorisation de la transformation des déchets ou encore une réglementation sur l’affectation des terres agricoles font notamment partie des recommandations formulées.

«Je partage la plupart des projets proposés, même s’il faut reconnaître que nous travaillons déjà sur des projets similaires», a déclaré le ministre. Ce dernier s’engage a analyser ces demandes et à informer les étudiants sur l’avancement des projets qui en découleraient, car les étudiants l’ont évoqué, ils espèrent que leur voix sera prise en compte….

Source : Le Parlement jeunesse du développement durable se clôture av… – Toute l’actu 24h/24 sur Lavenir.net

Alors que 40 fermes familiales disparaissent chaque mois, un mouvement urbain veut une agriculture centrée sur la qualité alimentaire. À Liège, un festival pointe les nouveaux liens avec le monde agricole.

En Wallonie et à Bruxelles, 70 à 80 % de ce que nous mangeons provient d’ail-leurs alors que, depuis 10 ans, 40 fermes disparaissent chaque mois entraînant une perte de 3000 emplois par an. » Dans la version 5.0 de leur pièce Nourrir l’humanité, c’est un métier, Alexis Garcia, metteur en scène, et Charles Culot, comédien et fils d’agriculteur, enchaînent les constats « coups de poing ». Surendetté et sous-payé, un certain monde agricole se meurt. Dans le même temps, les cohortes de consommateurs attachés aux produits bio et locaux grossissent, en particulier dans les vil-les. Comment rapprocher les deux ?

En quelques mois, les auteurs de « Nourrir l’humanité, c’est un métier » et les responsables de la Ceinture Aliment-Terre liégeoise ont mis sur pied un festival baptisé « Nourrir Liège 2017 » (lire ci-dessous). Outre la présence de leur parrain José Bové et une foule d’animations et de débats, ce festival met en lumière des initiatives où le monde agricole trouve de nouvelles voies. Avec un défi : comment l’agriculture locale de demain pourra-t-elle nourrir les villes ?

Marché court-circuit

Mis en place l’an passé, ce marché organisé le jeudi après-midi et en soirée au cœur de Liège ne propose que des aliments produits dans un rayon de 50 kilomètres. Ravis de l’initiative de la Ville de Liège, les 24 producteurs redémarrent le 27 avril prochain avec une mise en bouche le 16 mars dans le cadre du festival…

Source : Rapprocher ville et agriculture – lesoir.be

La commune vient de se fixer un objectif ambitieux concernant ses émissions de gaz à effet de serre: -40% d’ici 2030. Tout le monde est concerné: administrations, entreprises et surtout particuliers.

C’est un fameux défi que se lance la commune de Frameries: celui de baisser de 40% les émissions de CO2 d’ici 2030. Et ce sur l’ensemble du territoire de la commune, pas uniquement à l’administration communale.

Cet engagement, la commune l’a pris lors de la Convention des Maires en décembre 2016. Sur base d’initiatives locales et d’investissements dans les énergies renouvelables, les communes signataires ont pris l’engagement de baisser de 40% leur production de CO2. Adhèrent à la Convention des maires 7000 communes du monde entier, dont la plupart sont situées en Europe.

Ce qui a poussé Frameries à s’engager dans cette dynamique? Un principe appelé le surcoût de l’inaction. “En 2013, Frameries a payé une facture d’énergie de 380 000 euros pour tous ses bâtiments, électricité et gaz compris”, explique Alan Willame, le conseiller énergie de la commune. “Et si on ne fait rien pour réduire notre consommation, la facture va continuer d’augmenter puisque le coût de l’énergie ira croissant. Il y a deux scénarios: un optimiste et un négatif. Suivant le scénarion optimiste, on passerait de 380 000 € à 680 000 € d’ici 2030. Suivant le pessimiste, on atteindrait une facture de 4 150 000 €!”…

Source : Frameries se met à l’heure du développement durable – Toute l’actu 24h/24 sur Lavenir.net

On n’est pas des pigeons a analysé le menu d’un enfant. Le constat est édifiant. 38 traces de pesticides se retrouvent dans son assiette tout au long de la journée. Au total, on dénombre 24 substances actives dont certaines dangereuses pour la santé. Si les limites maximales autorisées ne sont jamais dépassées, un tel cocktail pose question.

C’est une enquête d’envergure. Pour la mener à bien, l’émission de consommation a collaboré avec Magali Jacobs, nutritionniste à l’Institut Paul Lambin et le Professeur Bruno Schiffers, responsable du laboratoire de Phytopharmacie à Gembloux Agro-Bio Tech – ULg. Ils ont élaboré ensemble un menu crédible pour un enfant de huit ans. “Je suis partie pour ce travail des résultats de l’enquête de consommation alimentaire qui a été réalisée en Belgique en 2014. Ce n’est pas une alimentation idéale mais ça représentait ce que les petits garçons de huit ans mangent vraiment en Belgique“, nous explique la nutritionniste. Le Professeur Schiffers a quant à lui adapté ce menu en privilégiant certains aliments courants où les risques de contamination étaient probables. …

Source : https://www.rtbf.be/info/societe/onpdp/detail_sur-une-journee-votre-enfant-avale-38-residus-de-pesticides?id=9551112

“Epiderme” vivant de notre planète, le sol est l’un des rares milieux naturels à ne faire l’objet d’aucune protection juridique au niveau européen.

On marche dessus tous les jours, il nous nourrit, nous soigne, nous habille… Le sol est un élément essentiel de la biodiversité. D’une épaisseur pouvant aller de quelques centimètres à quelques mètres, il abrite de nombreuses matières premières essentielles à la survie de l’homme et contient 25% des espèces de la planète, selon l’Ademe (Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie).

Elément essentiel de notre écosystème, le sol fournit 95% de notre alimentation, il participe à la purification de l’eau de pluie, permet, en l’absorbant, d’éviter des inondations et préserve l’homme des aléas climatiques. A l’heure actuelle, 70% des antibiotiques que nous utilisons sont issus de champignons et de bactéries découverts dans le sol, détaille France Nature Environnement

Vers une réglementation européenne…

Source : VIDEO. Le sol, un trésor à préserver

 

L’activité humaine perturbe complètement le cycle des glaciations. Notre planète devrait rentrer dans une période de refroidissement, mais ce n’est pas le cas. Les conditions ne sont en effet pas réunies car il y a trop de CO2 dans l’atmosphère, rapporte une étude de l’UCL.

Tout d’abord, comment fonctionne ce cycle de périodes glaciaires de la Terre? C’est une succession de froid, glace et de fonte de ces glaces. Ce refroidissement s’étale sur de longues périodes, un cycle s’étend sur 100 000 ans. Tout débute avec la glaciation, comme l’explique Michel Crucifix, chercheur de l’UCL: “Il faut imaginer l’équivalent de dix fois le Groenland sur la Scandinavie et puis vous imaginez quinze fois le Groenla…

Source : La Terre saute une période de glaciation à cause de l’activité humaine

La Commission vient de publier la troisième édition de l’indice de compétitivité des 263 « régions » européennes. En considérant que « la compétitivité régionale est la capacité d’une région à offrir un environnement attrayant et durable dans lequel les entreprises et les résidents puissent vivre et travailler ».

Bonne ou mauvaise nouvelle ? Les provinces wallonnes (c’est à ce niveau administratif que l’Europe intègre la Belgique dans ce classement) se situent dans la moyenne et en milieu de classement : de la 121e à la 147e place. Sans surprise, les provinces flamandes se situent bien au-dessus, toutes dans le premier quart des 263 entités recensées….

Source : Bruxelles dans le top 20 européen des villes attractives | Economie – lesoir.be

 

L’électricité produite à partir de la biomasse représente 35,4% de la production électrique renouvelable en Wallonie (comprenant la biomasse, l’éolien, le photovoltaïque et l’hydroélectrique), ce qui correspond aux besoins en électricité de plus de 248 000 ménages wallons (soit 16% des ménages au sud du pays), selon des chiffres publiés jeudi par l’ASBL ValBiom (valorisation de la biomasse), active comme facilitateur bioénergies pour la Wallonie.

La chaleur produite à partir de biomasse représente quant à elle 96,2% de la production totale de chaleur renouvelable wallonne (comprenant la biomasse, le solaire thermique, les pompes à chaleur et la géothermie).

La biomasse: 86% du renouvelable

Ainsi, 82,6% des énergies renouvelables consommées en Wallonie proviennent de la biomasse, selon un panorama de la filière dressé par ValBiom….

Source : La biomasse assure les besoins en électricité de 250 000 ménages wallons

DIGITAL La Belgique se familiarise avec des formes de financement prometteuses.

Alors que le secteur bancaire est soumis à de fortes pressions à la fois réglementaires et financières, le secteur des FinTechs, et plus particulièrement celui du crowdfunding (littéralement, “financement par la foule”), commence à prendre sa place sur le marché des crédits et de l’investissement. Les montants souscrits par ce biais étaient d’environ 4 millions d’euros en 2015 et sont passés à 10,9 millions d’euros en 2016, soit une croissance de 150 %.

Trois plateformes

Ces chiffres sont encore faibles par rapport à ceux enregistrés dans les pays anglo-saxons ou face aux montants des crédits octroyés par le secteur bancaire, mais ils démontrent que les Belges commencent à se familiariser avec ce genre de pratiques. Ce sont ainsi 489 entreprises (contre 35 en 2015) qui ont eu recours à ce type de financement en 2016….

Source : Le marché du crowdfunding décolle en Belgique – La Libre.be

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