Agence de Développement de l'Economie et de l'Environnement de la Province de Hainaut

Rejoignez-nous le 30 Novembre pour une soirée inspirante et décalée animée par des entrepreneurs français et belges qui présenteront leurs succès et leurs échecs dans leur croissance à l’international, avec notamment Omar Mohout !

Thinking about taking your company global?

Happy to present, the 30th of November, inspirational talks by Belgian and French entrepreneurs about international successes, failures, dos and don’ts when crossing borders.

Date: 30th of November 2017

Destination: Aquamuse Kuiperskaai 24 – Ghent

Program:

18:00 Live music & bites

18:30 Introduction by Omar Mohout, Entrepreneurship Fellow at Sirris

18:45 Your captains

  • Klingele Chocolade (award Leeuw van de Export) – Eline Blanchaert, Sales Director (B)
  • Lansweeper – Bart Maes, CEO (B)
  • Weba – Stefaan Couvreur, Marketing Director (B)
  • Espaciel – Alexi Herve, Founder (F)
  • Lightspeed – Jan Hollez, Director (B)
  • Silverfin – Joris Van Der Gucht, Co-CEO (B)
  • More to be announced soon!

20:45 Conclusions

21:00 Networking & dj

Fee: 25 euro*

* includes: inspiration, bites, drinks and new friends

source : https://www.eventbrite.nl/e/tickets-born-global-sea-the-world-go-international-4806693951

 

Supported by the Interreg France-Wallonia-Flanders project PROGRES:

 

Roadshow (4 dates)

L’AWEX vous invite à l’une des 4 étapes de son Roadshow

Vous êtes porteur de projet, étudiant-entrepreneur, start-up, PME avec peu ou pas d’expérience à l’international ?

L’export, vous y pensez mais vous n’avez pas encore franchi le pas ?

L’AWEX est là pour vous guider dans cette aventure !

Venez découvrir les étapes et enjeux d’un projet d’exportation, les services à votre disposition pour mettre toutes les chances de votre côté et surtout, laissez-vous inspirer par les témoignages d’entreprises qui ont franchi le cap avec succès.

Inscrivez-vous sans tarder à l’une des 4 sessions organisées près de chez vous : Liège (6/12), Namur (7/12), Tournai (11/12) et Charleroi (13/12).

 

Programme

Introduction : pourquoi exporter ?

  • Pascale Delcomminette, Administratrice générale de l’AWEX

Inscription dans la base de données AWEX via le Centre régional AWEX

  • Liège (6/12) : Marielle Germis
  • Namur (7/12) : Sarah Hautfenne
  • Tournai (11/12) : Pierre Libioulle
  • Charleroi (13/12) : Eric de Clercq

Développer un projet à l’exportation

  • Responsable CR
  • Stéphane Romans, premier attaché du Département des Incitants financiers
  • Liège (6/12) : Rodrigo Dos Santos (AEC à La Haye)
  • Namur (7/12) : Frédéric Biava (AEC au Grand-Duché de Luxembourg)
  • Tournai (11/12) : Isabella Profeta (AEC à Cologne)
  • Charleroi (13/12) : Rodrigo Dos Santos (AEC à la Haye)

Témoignages :

  • Liège (6/12) : Joseph Marra, Technical Business Development Officer GDTech – Alain Niessen, COO Widetech
  • Namur (7/12) : Gilles Bazelaire, CEO Dogstudio – Eric Poskin, Strategic and Corporate Director Vésale Pharma
  • Tournai (11/12) : Thierry Delvigne, Directeur Deltabeam – Sébastien Poliart, Fondateur Quplace
  • Charleroi (13/12) : Arnaud Meulemeester, International Business Dirty Monitor – Pierre Van Wetter, Chief Commercial Officer Sonaca Aircraft

Adapter sa communication à l’international

  • Stéphane Romans

Prospecter à l’étranger

  • Chantal De Bleu, Directeur général a.i. de l’AWEX
  • Stéphane Romans
  • Nicolas Ravenel, Coach Explort

Financer ses projets à l’exportation

  • Stéphane Romans

Questions-réponses

Conclusion par Mme Pascale Delcomminette

Cocktail dînatoire

Participation gratuite mais sur inscription obligatoire

Source : Roadshow (4 dates) – Comment vous lancer à l’international grâce à l’AWEX? Billets, mer le 6 déc. 2017, 16:00 | Eventbrite

Entreprises, professionnels de l’informatique, policiers, étudiants… Prés de 250 personnes se sont retrouvées au MICX, le centre des congrès de Mons, le lundi 6 novembre. Leur préoccupation commune : la cyber sécurité. L’idée de consacrer une journée à ce thème est venue du business club Synergie, son directeur, Franck Alland est architecte.

 

Son bureau a lui-même été victime d’une attaque il y a deux ans: “c’est ce qui nous a sensibilisés à ce problème, une société chinoise a pris possession de notre serveur, pendant des semaines, on ne s’est pas rendus compte de ce qui se passait. On a cru que notre matériel ne fonctionnait pas bien. On a peu perdu de données mais on a perdu beaucoup de temps…”.

Source : Cyber Security Day à Mons, la sécurité informatique des entreprises et de tous

 

Dix-sept nouvelles plateformes ont obtenu leur agrément depuis le mois de juin mais pour certains acteurs, des incertitudes persistent sur l’applicabilité de la loi De Croo.

Depuis l’entrée en vigueur en mars 2017 de la loi dite De Croo, 30 plateformes collaboratives, principalement actives dans la livraison, les services aux personnes et les cours à domicile, ont demandé et obtenu l’agrément auprès du service public fédéral des Finances. “C’est un bon début après quelques mois, estime Alexander De Croo, ministre de l’Agenda digital. Le fait que la plupart des plateformes reconnues soient belges est certainement plus important car l’un des objectifs de la loi, en plus de clarifier les choses pour les utilisateurs occasionnels de ces plateformes sur le plan fiscal, est de soutenir la création de plateformes belges.

Un bel exemple de collaboration entre la France et la Belgique, ça se passe dans les Flandres, autour de Nieurlet. Vendredi ont été présentées les actions menées par la Communauté de commune des hauts de Flandre et sa voisine belge de Flandre occidentale. Des actions pour sauver des espèces menacées, comme le lérot, un petit animal qui ressemble au loir.

La Communauté de commune des Hauts de Flandre et sa voisine belge de Flandre occidentale multiplient depuis des mois les collaborations. En matière environnementale par exemple. Vendredi avait lieu une journée d’échange pour présenter ces actions, notamment la protection d’un petit animal en danger. C’était à Nieurlet. Reportage : à l’adresse https://www.deltafm.fr/info-locale/flandre/belgique-france-sunissent-flandres-sauver-especes-protegees/

Source : Flandre – Belgique et France s’unissent dans les Flandres pour sauver des espèces protégées – Delta FM

Les tartes de Françoise est une entreprise qui produit, de manière artisanale, chaque jour plus de 4000 tartes salées et sucrées dans son atelier central situé à Seneffe. Sur ce volume total, 4 à 5% se retrouve “déclassé”: erreurs dans la réalisation de la recette ou dans les commandes. Et pour éviter le gaspillage, la société fait appel à la bourse aux dons, une plateforme qui gère les surplus des entreprises agroalimentaires pour les redistribuer aux plus nécessiteux.

Marie-Christine Rouge et Jean Quinaux sont bénévoles dans une maison de la Croix-Rouge à Jumet. La bourse aux dons les a alertés de la disponibilité d’une trentaine de tartes. “Ils nous font une proposition en disant quels types de tartes sont disponibles. Et si cela nous intéresse, on coche, on réserve, on téléphone pour savoir quand est-ce qu’on peut venir les chercher. En général, on prend tout.” Cette association caritative vient en aide à 1300 personnes. Cela va du bol de soupe au colis alimentaire. Avec parfois, une petite surprise : un morceau de tarte. “On distribuera cela dès 9h du matin à nos malheureux. Et à midi, il n’y en aura plus.

Limiter les pertes dans la fabrication

Cette entreprise produit 1 200 000 tartes par an. Avec so…

Source : Seneffe: Les tartes de Françoise, un exemple anti-gaspi

Pour Stephan Justin, cette nouvelle "va changer la donne" car il constate une demande de plus en plus grande pour du bois wallon labellisé FSC, ce qui n'existait pas jusqu'alors.

Pour Stephan Justin, cette nouvelle “va changer la donne” car il constate une demande de plus en plus grande pour du bois wallon labellisé FSC, ce qui n’existait pas jusqu’alors. – © BelgaLe projet “Sylva Nova“, qui regroupe diverses forêts privées en Wallonie, vient d’obtenir la certification Forest Stewardship Council (FSC) qui atteste de la gestion durable des forêts, annonce mardi l’ONG FSC dans un communiqué. Il s’agit d’une première au sud du pays, la Région wallonne ayant opté pour ses forêts pour un autre label, PEFC (Programme for the endorsement of Forest Certification Schemes).

La certification FSC atteste que la forêt labellisée répond aux exigences imposées en termes de gestion forestière durable. Le bois qui quitte la forêt reçoit le même label. Pour obtenir la certification, le propriétaire doit démontrer qu’il gère sa forêt de manière durable, explique Stéphan Justin, coordinateur de projets pour FSC Belgique. Il doit par exemple déclarer les arbres qui seront prélevés et expliquer pourquoi, comment la biodiversité sera préservée…

L’obtention de cette certification par un groupe de propriétaires privés permet d’ouvrir le marché wallon à ce label, d’autres propriétaires pouvant désormais se joindre à l’initiative. “Le coût de la certification pour un seul petit propriétaire reste important“, souligne Stéphan Justin. La certification groupée facilite la procédure….

Source : Des forêts privées wallonnes pour la première fois certifiées “gestion durable”

Les panneaux solaires ont une durée de vie de 30 ans en moyenne. Avec la fin de vie des premiers panneaux installés dans les années 80, l’industrie du solaire rentre aujourd’hui dans une période charnière. Comment se structure la filière du recyclage des panneaux photovoltaïques dans le monde ? Quels sont les enjeux économiques et environnementaux ? Alcimed, société de conseil en innovation et développement de nouveaux marchés, revient sur l’après-vie des panneaux solaires PV et la structuration des activités de recyclage associées.

L’explosion du marché du solaire PV est exponentielle : 9 GW installés en 2007, 290 GW en 2016, et le solaire a encore de beaux jours devant lui. L’IRENA prévoit près de 3 TW installés d’ici 2030 et plus de 6 TW en 2050 ! Cette croissance est soutenue principalement par la Chine (1700 GW), l’Inde (600 GW), les USA (600 GW), le Japon (350 GW) et l’Allemagne (110 GW). Depuis les années 60 et les premiers panneaux solaires installés sur les satellites spatiaux jusqu’aux 290 GW installés en 2016, l’industrie du solaire photovoltaïque a parcouru un long chemin sur la route de l’industrialisation et de l’enjeu clef du recyclage. Sans recyclage la promesse d’une énergie renouvelable ayant un meilleur impact sur l’environnement est fortement ébranlée.

Une activité consolidée par PV Cycle au niveau monde…

Fin 2016, ce sont entre 43 000 et 250 000 tonnes de panneaux qui ont été désinstallés, correspondant à moins de 0,6% de la masse totale installée la même année. En 2030, ce chiffre passera à 4% et en 2050, ce sont 60 à 78 millions de tonnes qui seront décommissionées d’après les estimations de l’IRENA[1]. L’activité de collecte et de recyclage des panneaux solaires PV est largement dominée sur le plan mondial par l’association européenne PV Cycle. Véritable consortium d’acteurs, PV Cycle promeut des procédés permettant de récupérer 96% des matériaux des panneaux en Silicium (les panneaux en base Silicium représentent près de 85% de l’ensemble des panneaux solaires). Les 4% restants, correspondant à du verre et des feuilles EVA, peuvent être utilisés dans un processus de récupération d’énergie. Des rendements pouvant même atteindre 98% sont obtenus pour les panneaux à base non-Silicium. En partenariat avec PV Cycle France, Veolia a ouvert le premier centre de recyclage de panneaux solaires PV en France en mars 2017. Cette unité, qui montera en puissance pendant les 4 prochaines années, permettra le recyclage de 4 000 tonnes de matériaux par an à partir de 2021.

… malgré une réglementation très hétérogène !

En Europe, l’activité de recyclage des panneaux solaires PV n’est encadrée par la directive WEEE (produits électriques et électroniques) que depuis 2012. Cette directive impose aux producteurs de panneaux solaires, quelle que soit leur localisation en Europe, de financer les coûts de collecte et de recyclage des panneaux solaires en fin de vie en Europe. La commission européenne a récemment fait appel aux organisations de standardisation européennes afin de développer des standards spécifiques relatifs à la directive WEEE.

Aux Etats-Unis, il n’existe pas d’équivalent de cette directive au niveau fédéral. Cependant, la Californie a récemment promulgué une loi encadrant l’après-vie des panneaux solaires, et il est attendu que de nouveaux états suivent ce mouvement[2]. « Le Japon, pourtant pionnier dans le développement du solaire PV, ne possède pas non plus de cadre réglementaire pour la gestion de fin de vie des panneaux mais a simplement édité une feuille de route pour la promotion d’un schéma de collecte et recyclage. Enfin, en Chine et en Inde les panneaux solaires sont traités comme déchets généraux » précise Julien Lefebure, consultant chez Alcimed.

Un gisement de création de valeur économique et sociale

L’implémentation globale d’une filière du recyclage des panneaux PV permet non seulement d’adresser le challenge écologique, mais aussi de créer une chaîne de valeur économique complète et de « boucler la boucle » de la durabilité de cette source d’énergie. Une étude de l’IRENA estime…

Source : Recyclage, la face encore cachée du solaire (Tecsol blog)

Une présentation très pédagogique de la Région ARA sur l’économie de proximité

Plus de la moitié (56%) des Belges sont prêts à payer plus pour leur alimentation si cette plus-value va directement dans la poche des agriculteurs, ressort-il d’un sondage commandé par Bayer et diffusé ce lundi à l’occasion d’un sommet sur les jeunes agriculteurs que l’entreprise agrochimique organise toute la semaine à Bruxelles.

Les Belges identifient l’obtention d’un prix équitable comme le principal défi pour les agriculteurs. Plus de la moitié sont prêts à payer plus pour leur nourriture si cela bénéficie directement aux agriculteurs. Mais le prix des denrées alimentaires reste leur deuxième critère d’achat (69%), après la fraicheur (73%). Pour stimuler l’agriculture durable, 60% des Belges estiment que les pouvoirs publics doivent garantir des prix corrects aux agriculteurs et 41% aimeraient que les autorités misent davantage sur les filières courtes. Leurs priorités en matière de durabilité sont l’environnement (46%), le bien-être animal (41%) et la sécurité alimentaire (41%).

La population avoue connaître assez mal le monde agricole, surtout à Bruxelles, montre aussi le sondage réalisé en juillet par Indiville auprès de 1.111 Belges âgés entre 16 et 66 ans, avec une légère surreprésentation des jeunes. Les Bruxellois s’attribuent en moyenne une note de 3,9 sur 10, contre 4,4 en Wallonie et 4,6 en Flandre. À peine un Belge sur 10 estime que le secteur agricole évolue rapidement. Pourtant, d’après les groupes de discussion menés par Bayer avec des membres de la Fédération des jeunes agriculteurs (FJA) et de son homologue flamand, le Groene Kring, les jeunes agriculteurs eux-mêmes….

Source : Plus de la moitié des Belges sont prêts à payer plus au profit des agriculteurs – Belgique – LeVif.be

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