Agence de Développement de l'Economie et de l'Environnement de la Province de Hainaut

 

AEPS, leader européen en formation et certification d’anglais pour pilotes d’avions, s’installe à la Réunion, aux Caraïbes et en Nouvelle Calédonie.

AEPS, Aviation English Private School, centre de formation et de certification d’anglais pour pilotes basé à Mons, poursuit son développement dans les DOM-TOM françaises en signant un important partenariat avec un centre de formation en langues étrangères basé sur l’île de La Réunion.

Dès septembre, English Workshop basé à Saint-Denis, chef lieu de l’île de La Réunion, mais également à Boucan-Canot sur la côte ouest formera et certifiera en anglais les pilotes privés et professionnels sous licences européennes évoluant dans l’archipel des Mascareignes.

AEPS: une histoire belge, née à Mons.

Tout est parti en 2016 d’une rencontre entre Olivier Thaon, cofondateur d’AEPS et de Lindsay Finet, pilote de ligne montois volant pour la principale compagnie réunionnaise.

Le premier souhaite poursuivre la croissance de son entreprise dans les DOM-TOM françaises, le second aspire à aider son compatriote à se développer sur l’île de La Réunion où volent de nombreux pilotes privés et professionnels ne maîtrisant pas forcément la langue de Shakespeare.

De la cité du Doudou à Saint-Denis.

Encore fallait-il que le marché local réponde positivement à l’offre proposée et que AEPS puisse trouver un partenaire digne de confiance pour le représenter dans l’archipel des Mascareignes…..

Source : Innovatech – Une innovation montoise se déploie dans l’océan indien

 

 

Les agriculteurs sont invités à apporter leur pierre à l’édifice.

La Province de Hainaut débloque 2,2 millions d’euros pour le dédoublement d’un tronçon rieu de Barges, depuis l’hôpital IMC jusqu’à son rejet dans l’Escaut, afin d’accélérer l’évacuation des eaux et de lutter contre les inondations. Des travaux auxquels participera également financièrement, à une plus petite échelle, la Ville de Tournai. Ce sujet a été débattu ce lundi soir, lors du conseil communal de Tournai.

“Ce projet améliorera le flux du cours d’eau et diminuera les risques d’inondations le long du rieu de Barges, y compris à Esplechin et Froidmont”, se réjouit la conseillère communale Hélène Leleu (MR). “Il serait également utile de nettoyer fréquemment le cours d’eau et de dédoubler les pertuis à certains endroits à Ere.”

La conseillère communale Coralie Ladavid (Ecolo) approuve également les travaux, mais elle émet quelques réserves. “Nous ne sommes pas contre le dédoublement mais cela doit également s’accompagner de projets en amont. Il faut par exemple développer des initiatives comme des haies et des fascines pour éviter les inondations. Des subsides peuvent être obtenus dans ce cadre, et il serait également intéressant de sensibiliser les agriculteurs à cette problématique. Je ne veux pas obliger les agriculteurs à faire ceci ou cela, mais les aider.”….

Source : Les agriculteurs appelés à la rescousse à Tournai – La DH

Un an après la mise en ligne d’Hainaut Stat (le portail cartographique de données sur les communes du Hainaut), Hainaut Développement et l’Observatoire de la Santé ont le plaisir de vous présenter leurs analyses sur les données concernant votre commune. Les 69 fiches communales seront actualisées annuellement et pourront être téléchargées sur “Hainaut Stat”

À Theux, à 30 minutes de Liège en Belgique, la Ferme biologique de Haute Desnié est un sublime exemple de ce que la permaculture permet d’accomplir. Son potager pédagogique en forme de mandala réunit tout ce que devrait être l’agriculture d’aujourd’hui. Un magnifique équilibre entre l’Homme et la nature.

Jean-Cédric Jacmart a longtemps rêvé d’acquérir un endroit sauvage lui permettant de tourner la page de sa vie citadine pour se consacrer pleinement au maraîchage. Suivant les principes de la permaculture qui prône le respect de l’équilibre des écosystèmes, il a ainsi fondé la Ferme de Haute Desnié. Un lieu créé « pour répondre aux nombreux défis auxquels nous sommes confrontés aujourd’hui, et en particulier aux enjeux auxquels nos enfants devront faire face demain. »

Son pari ? Créer l’abondance alimentaire sur un sol argileux peu fertile et transformer la ferme en un lieu de formation, d’éducation et de partage.

Il explique sur son site internet :

« Notre démarche est celle de l’action en conscience et celle d’être orienté « solutions ». Nous aimons partager cette citation inspirante de Bill Mollison, le co-fondateur de la permaculture :​

« Le choix éthique le plus important est celui de prendre la responsabilité de notre propre existence et de celles de nos enfants ».

Nous savons que la tâche est énorme et que le seul moyen d’y parvenir sera de faire de nouveaux choix personnels et collectifs. À l’instar de la légende du colibri, à la ferme-école en permaculture de Desnié, nous faisons notre part. »

Le domaine abrite des chevaux, un troupeau de moutons rustiques, des ruches, une zone de maraîchage professionnelle biologique en permaculture, un jardin pédagogique en forme de mandala, un verger conservatoire et de nombreux arbres et massifs fruitiers, des mares, des haies, ainsi que des zones dédiées à la contemplation du paysage. Sans oublier une brigade de canards coureurs indiens mangeurs de limaces.

Source : Permaculture : la Ferme de Desnié en Belgique, un jardin d’Éden

 

Avant de profiter de vos vacances, venez rencontrer des dizaines de clients potentiels !

Si le développement de vos activités est votre principale responsabilité, vous savez que, pour vendre plus, il est impératif de rencontrer plus de personnes susceptibles d’être intéressées par vos services. Mais où rencontrer ces personnes par définition étrangères à votre sphère immédiate ? Dans quel cadre développer de nouvelles relations de confiance qualitatives et durables ?

Une des rares réponses sérieuses et efficaces :

PARTICIPEZ A L’UN DES DISCOVERY MEETING SPEED BUSINESS© !

Les Discovery Meeting©, kezako ?

Imaginés en Brabant wallon, les Discovery Meeting© se sont aujourd’hui imposés dans le monde des affaires comme un des moyens les plus performants, pour tout entrepreneur, d’actualiser et d’étendre son réseau de contacts au service de son succès.

Légère, ludique et terriblement efficiente à la fois, la formule a convaincu un cercle toujours plus large d’acteurs, dans le secteur de la production de biens autant que dans celui de la fourniture de services. Jusqu’à devenir le rendez-vous obligé de ceux qui font des échanges avec leurs pairs la clé de leur développement !

Pour mieux percevoir l’intérêt de ces véritables sessions de travail, visionnez sans tarder la vidéo qui reprend différents témoignages de participants : 

Ce lundi 2 juillet, dans la magnifique salle de séminaire du Bivouac de l’Empereur au pied du célèbre Lion de Waterloo, nous accueillons des sociétés venant de partout en Belgique et même de France.

Une prospection « clé sur porte » vous est proposée. N’hésitez plus et inscrivez dès à présent.

En vous inscrivant tout de suite, vous pouvez réserver votre place pour l’édition du 2 juillet ou pour celle du 28 août à Namur. Et surtout bloquer ainsi l’exclusivité pour votre secteur. Une réelle opportunité ! http://www.discoverymeeting.be/inscription.html

Source : (4) Prospecter ? Oui…pas tout seul. Venez le lundi 2 juillet à Waterloo… | LinkedIn

 

L’APAQ-W (Agence wallonne pour la promotion d’une agriculture de qualité) vient de publier une étude réalisée auprès de 1401 Belges avec le support de la société Dedicated.

elon cette enquête, les consommateurs apprécient les produits issus de l’agriculture de Wallonie pour leur saveur et leur parfum (59%), car ils sont appétissants et sains (58%) et parce que leur origine est précise et identifiable (57%).

62% des personnes interrogées indiquent qu’elles préfèrent les produits en provenance de leur région. Mais où se fournissent-elles ?

79% privilégient les grandes surfaces pour leurs achats alimentaires, devant les commerces de proximité (68%), les marchés traditionnels (54%), les producteurs locaux (39%) ou les magasins bio (29%).

Quand on leur demande ce qui pourrait les pousser à acheter davantage de produits locaux, les sondés réclament une meilleure visibilité dans les magasins (67%), un nombre plus élevé de commerces concernés (67%) et des prix plus accessibles (65%).

Près de 8 Belges sur 10 ne sont par contre pas disposés à parcourir plus de 10 kilomètres pour s’approvisionner en produits locaux.

Menace sur l’avenir

Pour 69% des Belges, agriculteur est un métier pénible à divers égards. Près de ¾ des sondés estiment que les jeunes éprouvent beaucoup de difficultés pour débuter.

Et 51% des personnes qui ont participé à cette étude de l’APAQ-W pensent même que la plupart des enfants d’agriculteurs ne pourront pas reprendre l’exploitation familiale.

Source : Les Belges aiment l’agriculture d’ici, mais craignent pour sa survie

 

 

Aujourd’hui, plus de 10% des surfaces agricoles wallonnes sont dédiées à la culture biologique.

A Wangenies dans l’entité de Fleurus, Thomas et Hélène Geeraerts, fils et filles d’agriculteurs ont décidé, en parallèle de l’exploitation familiale traditionnelle, de cultiver des légumes bios. En 5 ans, ils sont passés de 40 ares à neuf hectares. Thomas et Hélène font pousser une trentaine de légumes dont des panais, des carottes, différentes variétés de choux ou encore des patates douces qui sont essentiellement vendus à des grossistes ou à des coopératives.

La transition vers le bio n’est pas toujours facile et les consommateurs exigent de plus en plus des légumes aussi beaux que ceux cultivés dans la filière traditionnelle mais le jeune couple d’agriculteurs ne regrette rien :

” Thomas est bio ingénieur.  Moi j’ai un Master en gestion mais je suis aussi eco-conseillère, explique Hélène. Nous sommes donc très sensibles à la question de la protection de la terre. Nous voulions nous tourner vers un modèle plus respectueux et plus sain. “

Ces jeunes passionnés sont convaincus que la filière a de l’avenir et misent beaucoup sur la recherche qui permettra, selon eux, de pouvoir mieux lutter contre les maladies et d’améliorer le rendement de la culture biologique.

En Wallonie, 1750 agriculteurs ont comme Thomas et Hélène opté pour le bio. L’objectif du secteur est d’attendre les 2000 producteurs d’ici 2 ans. …

Source : Semaine du bio : rencontre avec un jeune couple d’agriculteurs passionnés !

Le potentiel de recyclage de l’acier et de l’aluminium est important. [Shutterstock]

Réutiliser plastique et métal pourrait permettre à l’UE de neutraliser ses émissions d’ici 2050.

Une nouvelle étude de Material Economics estime qu’en augmentant son taux de recyclage, l’UE pourrait réduire ses émissions industrielles de plus de 50 %. Au lieu de se concentrer uniquement sur la décarbonation du volet de l’approvisionnement, qui inclut une énergie plus propre, il est nécessaire de se pencher sur le potentiel du volet de la demande, insistent les auteurs de l’étude.

En réutilisant et en recyclant davantage quatre des matériaux les plus générateurs d’émissions, l’acier, le plastique, l’aluminium et le ciment, l’UE pourrait réduire l’empreinte carbone de son industrie de 56 %, soit l’équivalent d’environ 300 millions de tonnes (mégatonnes) de CO2 par an d’ici la moitié du siècle.

À eux seuls, la réutilisation et le recyclage permettraient de réduire les émissions annuelles de 178 mégatonnes. Des processus plus efficaces et des modèles d’entreprises réformés mèneraient quant à eux à des réductions de 56 et 62 mégatonnes, respectivement.

Selon les estimations, la production de matériaux devrait générer pas moins de 900 milliards de tonnes (gigatonnes) de CO2 d’ici la fin du siècle si la tendance actuelle persiste. Pour amener ce chiffre au volume plus gérable de 600 gigatonnes, il est essentiel de s’appuyer davantage sur l’économie circulaire, estiment les auteurs de l’enquête.

Si celle-ci reconnait qu’il est difficile de rendre le secteur du ciment plus efficace, elle souligne que le potentiel est énorme pour les secteurs de l’acier, de l’aluminium et du plastique, si ces matériaux sont recyclés de manière à préserver leurs qualités.

L’étude indique que 56 % des plastiques pourraient être mécaniquement recyclés et que les processus de conception et de désassemblage en fin de vie doivent changer, afin de rendre le recyclage économiquement viable. Pour l’acier et l’aluminium, le taux de recyclage possible est de 70 et 50 %.

Le renforcement des capacités de recyclage ne sera néanmoins pas possible sans investissement. À long terme, une hausse du prix du carbone serait également utile. Une tonne de carbone vaut actuellement 15 euros dans le cadre de l’ETS, un record depuis sept ans.

spoirs pour 2050

La Commission européenne est justement en train de revoir sa stratégie climatique, qui date de 2011, afin de l’aligner sur l’Accord de Paris.

Les fonctionnaires de l’exécutif auraient déjà été….

Source : L’économie circulaire pourrait permettre de neutraliser les émissions de CO2 – EURACTIV.fr

Appel aux candidats!

Votre entreprise travaille au quotidien avec des substances dangereuses mais offre un environnement de travail sain?
Alors, témoignez de votre bonne gestion en rentrant votre candidature pour le prix des bonnes pratique “Lieux de travail sains”.

Prix des bonnes pratiques «Lieux de travail sains»

https://osha.europa.eu/fr/healthy-workplaces-campaigns/awards/good-practice-awards

Les entreprises qui opèrent la transition vers un modèle circulaire se retrouvent en concurrence avec des firmes qui tirent toujours profit du modèle linéaire. En revanche, elles bénéficient de l’intérêt croissant d’un secteur financier désireux de soutenir les activités circulaires.

Les modèles économiques durables suscitent un intérêt disproportionné par rapport à la taille réelle de l’économie circulaire, c’est évident. “Pourtant, le fait qu’il soit possible de gagner de l’argent avec un modèle circulaire innovant n’est presque plus remis en doute”, assure Aglaia Fischer, Project Manager Circular Finance au sein du Sustainable Finance Lab néerlandais.

“Certes, de nombreuses questions subsistent. Nous ne savons pas suffisamment à quoi ressembleront ces nouveaux modèles économiques circulaires. Techniquement, de nombreux points doivent encore être clarifiés. Comment maintenir plus longtemps des produits en circulation? Comment récupérer les matériaux utilisés dans des produits finis? Et à quel coût? À ce jour, tous les secteurs n’ont pas répondu à ces questions. Loin de là.”

Motifs d’optimisme

Aglaia Fischer entrevoit cependant des raisons d’être optimiste. “Le secteur financier commence à réaliser que les plus grandes opportunités d’investissement résident aujourd’hui dans les modèles durables et circulaires…..

Source : “Les plus grandes opportunités d’investissement résident dans des modèles circulaires”

Aller au contenu principal